Morphine

Heroin L’héroïne est un dérivé de la morphine et l’une des drogues extraites du pavot. On l’injecte ou on la fume, ou, comme on dit, on «chasse le dragon». Effets: Se 'piquer' à l'héroïne provoque une montée rapide d’excitation suivie par un sentiment de paix et de rêverie. On se sent au chaud, détendu et assoupi. La douleur, l’agression et la libido sont réduites. Effets secondaires: Les effets secondaires de l'héroïne et des autres opiacés (comme la morphine et la méthadone) comprennent la constipation

fins thérapeutiques notamment en tant qu’analgésique depuis l’Antiquité jusqu’au début du XXème siècle. L’alcaloïde à l’origine des propriétés de l’opium est la morphine et a été isolé par Sertürner en 1819. L’héroïne ou diacétylmorphine est un opiacé semi-synthétique qui a été produit pour la première fois à partir de la morphine par acétylation en 1874 par le chimiste anglais C. R. Alder Wright. Cette substance extraordinaire était très utilisée à l’époque pour guérir les morphinomanes d’où

plaisir, incitant à un usage répétitif qui conduit à instaurer la permanence de cet effet d’où la dépendance. La drogue se présente sous différents aspects : elle se trouve à l’état de plantes, telles que la marijuana, de médicaments, tels que la morphine, de poudre, comme la cocaïne … Ils existent de nombreuses drogues : elles peuvent s’inhaler, se fumer, s’injecter par perfusion etc... Voici quelques exemples de drogues que vous pouvez voir tels que la cigarette, l'alcool, le cannabis etc

illégaux 2 s’ils sont vendus dans la rue. Par exemple, les tranquillisants comme le Valium ou encore la morphine. Une drogue illégale est un produit dont la consommation et la vente sont interdites par la loi. Par exemple, la cocaïne, l’héroïne et le cannabis. Toutefois, il ne faudrait pas croire qu’une drogue légale est nécessairement moins dangereuse qu’une drogue illégale. En effet, la morphine qui est légale lorsqu’elle est prescrite est beaucoup plus dangereuse que le cannabis. DROGUES ET MÉDICAMENTS

la douleur. Des formations sont également proposées au corps médical et à leurs futurs membres sur la prise en charge de la douleur. Elle comprend l’utilisation du mélange équimolaire oxygène-protoxyde d’azote, des pompes PCA qui délivrent de la morphine ainsi que les outils qui permettent d’évaluer la douleur. L’UETD cherche chaque année à faire progresser la prise en charge de la douleur chez l’enfant en lançant toute sorte d’enquête dans les services concernés ainsi que des travaux de recherche

anxieux. Le 10/05/2002, un bilan sanguin a été effectué et il était bon : - Leucocytes : 12 900 - Plaquettes : 202 000 - Créatinine : 9 - Potassium : 3.9 De plus, le patient était toujours très douloureux ( En 8/10) et une dose de 7mg de morphine lui a été administrés à 9h. Le patient s’est senti mieux dans l’après-midi. Le 11/05/2002, M.L ressent toujours une petite douleur qu’il estime être de 2 sur 10. Des antalgiques de palier 1 et 2 lui sont administrés. Il reste anxieux et algique

«Drogue et décadence», qu'à la fin du XIXe siècle «la connexion entre morphinomanie et sexualité féminine, y compris sous forme de lesbianisme, paraît acquise». Et d'ajouter un peu plus loin, en s'appuyant sur Méphistophéla de Catulle Mendès, que «la morphine a en effet, dans [l'imaginaire des écrivains], ceci de commun avec l'homosexualité féminine qu'elle crée entre les femmes qui s'y adonnent une connivence intime, que n'engendrent ni l'opium ni le haschich, et qu'elle leur procure une forme d'extase

différentes sortes. Il y a, en Amérique latine, la cocaïne (450 tonnes par an) et elle approvisionne en priorité le continent nord américain. Il y a encore d'autres zones de production de drogue. Il y a la culture du pavot que l'on transforme en opium, morphine et héroïne. Elle se pratique au Moyen-Orient (Afghanistan, Iran, Pakistan), en Inde, au Népal et surtout dans le triangle d'or (Birmanie, Laos, et Thaïlande). Ils fournissent 1850 tonnes d'opium par an. Il y a les gros trafiquants comme : Hong-Kong

toxiques autant en intoxication qu’en sevrage. Une évaluation médicale par un professionnel de la santé est nécessaire pour sevrer le client. Codéine Dilaudid® Héroïne Méthadone Morphine Percodan® Smack* Supeudol® Suboxone Oxycontin Oxycodone • • • • • Soulagement de la douleur Traitement de substitution Héroïne : 8 h Morphine et codéine : 1-3 jours Méthadone : 2-4 jours • • • • • • Désinhibition • Réduction de la douleur • Relaxation • Impression de chaleur • Dissociation de l’environnement • Ralentissement

amphétamines Ils favorisent la communication, l'introspection, les contacts sociaux, l'empathie et la sensation de pouvoir s'exprimer librement Dépendance psychique et physique Syndrome de sevrage idem Culture d’opium Héroïne HEROÏNE n° 4 Morphine base MORPHINE BASE Effets des opiacés *Un sentiment de bien-être, une euphorie *Une pâleur, hypotension, bradycardie, sensation de chaleur, myosis, hypo sialorrhée, constipation, dysurie et bradypnée Dépendance psychique et physique Syndrome de sevrage