Mort De Gervaise

l’alcool comme l’illustre Emile Zola dans L'Assommoir. À la fin du roman, après la mort de son mari, Gervaise devenu alcoolique souffre de la faim ; complètement démunie, elle en vient à se prostituer pour survivre. L’histoire de cette femme nous montre que sa douleur physique l’amène à faire des choix afin de subsister dans ces temps difficiles. Mais malgré sa volonté cela n’arrangera pas sa situation financière. Gervaise se retrouve à la rue elle meurt victime de la faim et de la misère. Personne ne

romans réalistes qui décrivent des êtres de basses condition sociale. Par exemple Emile ZOLA dans l'Assommoir . Gervaise sombre dans l'alcool et la fainéantise pour oublier ses problèmes qui la tourmente et aussi pour oublier sa famille. Á travers cette vision négative Zola dénonce "le relachement des liens familiaux" et "la déchéance fatale d'une famille ouvrière". Zola cite que Gervaise "connait la déchéance finale en se prostituant dans la rue ,ou elle est trouvée morte de faim et de misère.".

Introduction Emile Zola est né à Paris, le 2 Avril 1840 et mort, le 29 Septembre 1902 à l’âge de 62 ans. C’était un écrivain, journaliste et homme public français, considéré comme chef et créateur du Naturalisme. C’est également l’un des romanciers les plus populaires de France ; l’un des plus publiés, traduits et commentés au niveau mondial. Les succès et les échecs d’Emile Zola En 1867, Zola publie son premier roman naturaliste, Thérèse Raquin , qui raconte un meutre sordide et la

Il va aussi s’intéresser au déterminisme lié au milieu ds lequel les individus évoluent. L’Assommoir, paru en 1877, met en scène Gervaise, une blanchisseuse qui vit ds le quartier de la goutte d’or à Paris et dont la vie sera détruite par l’alcool. Son mari, Coupeau, zingueur, va sombrer ds l’alcoolisme suite à une accident qui l’empêche de travailler. Plus tard, Gervaise, succombera aussi à la fascination de l’alambic ; son mari va l’entraîner ds sa déchéance. Présentation du passage : Le passage

L’Assommoir, ch. 10 : les hivers des pauvres  PP 377Situation : Gervaise s’est laissée aller à faire des dettes, à moins bien travailler, elle a cédé à Lantier installé chez elle. Finalement, elle a dû abandonner la boutique et s’installer « dans le coin des pouilleux ». Elle est redevenue ouvrière mais néglige son travail. Coupeau ne travaille pas régulièrement. Ils ont quand même fêté la communion de Nana. Le passage résume les deux années qui suivent en évoquant la dureté des hivers pour les

que c’était une beauté parfaite, puisqu’elle donna de l’admiration dans un lieu où l’on était si accoutumé à voir de belles personnes. Elle était de la même maison que le vidame de Chartres et une des plus grandes héritières de France. Son père était mort jeune, et l’avait laissée sous la conduite de Mme de Chartres, sa femme, dont le bien, la vertu et le mérite étaient extraordinaires. Après avoir perdu son mari, elle avait passé plusieurs années sans revenir à la cour. Pendant cette absence, elle

donnant donc le caractère de héros. Le héros, presque dans tous les cas, s’accompagne d’une connotation mythique. Le héros, très souvent, fait référence à un être fabuleux, la plupart du temps d'origine demi-divine et demi-humaine, glorifié après sa mort. C’est le cas d’Ulysse dans L’Odyssée, d’Homère. Ce personnage combat des monstres et des dieux comme Poséidon et son fils Cyclope, survivant à toutes les péripéties et les mésaventures auxquelles il doit faire face pour, enfin, être auprès de son

que l'existence entière y disparût. ». Le texte de Zola rend, quant à lui, une impression de violence sourde. L'inquiétude liée à la mort y est presque palpable, avec le champ lexical de la violence et du meurtre: «abattoirs», «sanglants», «massacrées», «cris d'assassinés», «corps», «troué» et «couteau». On sent bien que tous ces détails sont relevés par Gervaise. Guettant son mari, elle observe le paysage («regardait», «suivait du regard», «fouillait»), mais sa vision est déformée par l'inquiétude

employé pour que le lecteur puisse se mettre dans la peau du personnage. « L'assommoir », Émile Zola : Gervaise, maman de deux enfants, est délaissée par son amant Lantier. Elle épouse un ouvrier, Coupeau, qui a une vie heureuse grâce à sa blanchisserie. Coupeau ,ayant fait une chute accidentelle d'un toit le laissant convalescent, se mit à boire alors qu'il ne buvait pas. Gervaise retrouve Lantier à une fête et croit pouvoir se consoler en se lançant dans une nouvelle histoire avec lui

l'abri de toute difficulté jusqu'à sa mort. Ses romans publiés en feuilletons lui rapportent mille cinq-cents francs en moyenne et ses droits d'auteurs cinquante centimes par volume vendu. Il tire aussi des revenus conséquents de l'adaptation de ses romans au théâtre ainsi que de leurs nombreuses traductions. En quelques années, les revenus annuels de Zola augmentent rapidement au point d'atteindre des montants de l'ordre de cent cinquante mille francs Sa mort Le 29 septembre 1902, de retour de Médan