Mort De Gervaise

A 30 ans Émile Zola, né à Paris le 2 avril 1840 et mort à Paris le 29 septembre 1902. Il est d'abord connu comme journaliste et critique d'art et littéraire, métier qui fait de lui un prosateur reconnu et considéré comme le chef de file du naturalisme. C’est au collège d’Aix-en-Provence qu’il se lie d'amitié avec Paul Cézanne, qui restera son ami proche jusqu'en 1886. Ce dernier l'initiera aux arts graphiques, et plus particulièrement à la peinture. Ami à qui il doit de rencontrer des

de l'homme, le travail de la femme, le travail de l'âge mûr, le travail de la vieillesse, le travail de l'enfance, le travail de l'infirme, et souvent pas de pain, et souvent pas de feu, et cette femme aveugle, entre ses deux enfants dont l'un est mort et l'autre va mourir, et ce filetier5 phtisique6 agonisant, et cette mère épileptique qui a trois enfants et qui gagne trois sous par jour ! Figurez-vous tout cela et si vous vous récriez, et si vous doutez, et si vous niez... Ah ! Vous niez ! Eh

traits : partie du harnais qui sert à tirer un véhicule. 3. tombereaux : charrette entourée de planches servant à porter du sable, des pierres... 4. tablier : désigne la plate-forme qui constitue le plancher d'un pont. Texte B : Zola, L'Assommoir. [Gervaise, blanchisseuse dans le quartier de la Goutte d'Or à Paris, attend au petit matin son amant Auguste Lantier qui, pour la première fois, n'est pas rentré de la nuit. Elle le guette depuis sa fenêtre.]   L'hôtel se trouvait sur le boulevard de la Chapelle

problèmes philosophiques. Musique : Le naturalisme regroupe différents compositeur proposant des œuvres, ce qui permet différents styles musicales. 2) Auteurs et biographie Emile Zola : Emile Zola est né à Paris le 2 avril 1840, et il est mort à Paris le 29 septembre 1902. Son père est italien, et il est fils unique. C’est un écrivain, journaliste et c’est aussi un homme politique français du XIX ème siècle. Il est considéré comme l’inventeur du mouvement littéraire : le naturalisme. Emile

réaliste (le mouvement réaliste littéraire présente les rudeté des choses de la vie sans chercher à les masquer). Et les réalisme c'est la même chose que la naturalisme. Puis Zola décrit beaucoup les détails de l'environnement au lavoir où se rend Gervaise. La dureté de la tâche et l'ingratitude de cela. Zola décrit aussi ce qui était très courant à cette époque : le peuple ouvrier désespéré qui tombe dans l'alcool. Bref je suis pas en seconde donc je ne peux pas te rédiger mes idées avec un paragraphe

menaçant est aussi mis en avant par l'utilisation d'expansion du nom tel que ''sombre'', ''grise'' ou encore ''grognant'' et aussi par la forte présence de la mort qui est notamment traduit par l'utilisation de comparaisons et de personnifications tel que '' c'est comme une haleine de mort qui souffle le long des rues'' ainsi que ''il y a un froid de mort'' ou encore ''c'était comme un tombeau'' et aussi par la métaphore in absentia de la noyade ''s'étourdissant à voir couler […] le flot ininterrompu d'hommes''

-images -> de plus en plus cruelles: "ils auraient vendu de leurs chair" -> prostitution de Gervaise -> annonce la prostitution de nana C) le tableau final - fin du paragraphe : elargissement du tableau  - elargissement spatial : grande maison ouvrière, sanglots du desespoire -> sinistre "musique du malheur"  -image -> rapprochement avec l'air d'orgies d'un enterrement  - angoisse du terme -> mort morale  ->ltif de la fin du monde  -terme : apocalypse des pauvres : vrai jour du jugement

Le roman et par exemple les ouvrages historique ne s’opposent pas , il se complètent Le roman peut être aussi un moyen pour exposer et défendre ses idée, critiquer et dépeindre la société « Au milieu de cette existence enragée par la misère, Gervaise souffrait encore des faims qu'elle entendait râler autour d'elle. Ce coin de la maison était le coin des pouilleux, où trois ou quatre ménages semblaient s'être donné le mot pour ne pas avoir du pain tous les jours. Les portes avaient beau s'ouvrir

dans sa conscience, en assistant à ces hontes, lui semblaient si abominables ! Elle aimait mieux les mourir. Il n’y avait plus que le sommeil au monde pour lui faire tout oublier, le sommeil congestionné de l’Ivrognerie qui berce avec les bras de la Mort. Là, dans ce verre, qu’elle se forçait à boire et qu’elle vidait avec frénésie, ses souffrances, ses douleurs, tout son horrible présent allait se noyer, disparaître. Dans une demi-heure, sa pensée ne penserait plus, sa vie n’existerait plus ; rien

peut quand même saisir la difficulté des conditions de vie de Gervaise et la précarité de la santé de père Bru. Par ailleurs, les personnages sont également importants dans la bonne argumentation du roman. Zola utilise donc des personnages simples et attachants. En effet, le père Bru est abandonné de tous car il n’est plus utile à la société du fait de sa vieillesse, il mène donc une vie de souffrance et de pauvreté en attendant que la mort l’emporte. La condition de ce personnage inspire forcément