Mort de rire

l’officier : Permettez-vous que j’aille / Rapporter cette montre à ma mère chez nous ? » (v.8-9) : L’enfant fait une proposition : rapporter la montre. On pense qu’il veut s’enfuir. La montre est un bien précieux : il pense aux autres qui vivront après sa mort. « - Tu veux t’enfuir, - Je vais revenir. – Ces voyous / Ont peur ! Où loges-tu ? – Là près de la fontaine. / Et je vais revenir, monsieur le capitaine. / Va-t’en drôle ! – L’enfant s’en va. – Piège grossier !» (v.10-13) : échange vif : l’enfant prévient

Renaissance. Des 2 principaux héros sont Pantagruel et Gargantua. On retrouve dasn ses œuvres les thèmes de l’éducation, de la religion. Virtuose du langage, créateur de mots, les œuvres de R. donnent aussi bien à rire qu’à penser. Extrait étudié : chap 20 de G. : après la mort de son précédent précepteur (Jabelin), G. aprait plus stupide qu’avant. Aussi, on lui trouve un nw maitre : Ponocrates. Ds l’extrait, il se contente d’observer les habitudes prises pa Gargantua et les conséquences de

Et Emma se mit à rire, d'un rire atroce, frénétique, désespéré, croyant voir la face hideuse du misérable, qui se dressait dans les ténèbres éternelles comme un épouvantement. Il souffla bien fort ce jour-là. Et le jupon court s'envola ! Une convulsion la rabattit sur le matelas. Tous s'approchèrent. Elle n'existait plus. 19/10 Explication Dans cette fin tragique pour Emma, tout prend un caractère atroce. On a l'impression que l'héroïne est possédée « rire atroce », c'est un

d’une pièce de théâtre ne servent ils qu’à faire rire ? Du rire, ce propre de l’homme, . Le théâtre est le genre littéraire par excellence pour le rire, ave ‘‘Il faut se méfier des comiques, parce que quelques fois ils disent des choses pour plaisanter’’, dit Paul Eluard. En effet, on peut très bien considérer que la portée du comique s’arrête à sa définition : ‘‘qui fait rire, qui amuse’’. Depuis toujours, la comédie a servi à rire … Pour rire. Ainsi, les comédies d’Aristophane ne sont pas des

l'histoire. Elle représente des situations dont les spectateurs connaissent l'issue, mettant des héros aux prises avec le destin, à l'instant "le plus tragique de sa destinée". La fin est "dramatique", la crise s'achève violemment, en général par la mort du héro. La tragédie commence par l'entrée du cœur chantée et dansée, mais avant, il y a deux ou trois scènes parlées afin d'expliquer l'histoire et de plonger le spectateur dans l'ambiance. Après l'entrée du chœur, il y a une alternance entre

correction commentaire : la mort de Nana. Nana, Emile Zola,1881 ANALYSE DU TEXTE ( BROUILLON) Composition : extrait de roman naturaliste . mort du personnage principal et excipait du roman : fin d'un monde , d'une époque texte narratif ( 3 personnages qui fuient : valorisation de l'horreur et de la solitude de Nana) Rose = témoin de l'horreur" mais part : Nana finit absolument seule Mais paragraphe principal = texte descriptif. Portrait , tableau d'un morte . Aspect pictural Narrateur

Hitler et les Alliés menés par Churchill et De Gaule ne fatiguait pas. E) Analyse de l'oeuvre : Ce film est à la fois une comédie, un film qui nous fait rire, un conte, une critique de l'idéologie nazie et de la Shoah, il nous fait aussi nous poser la question:Peut-on rire de tout ? 1. Une comédie : Ce film nous fait rire car son début est joyeux, et le personnage de Guido est très attachant et plein d'imagination. Il est à la fois un personnage spirituel, courageux et candide. Guido

j'ai mis que le rire etait comunicatif, qu'il ya avait 5 comiques différents ( tu met exactement leur titre) et ensuite les 4 textes qu'elle nous a donné la prof, bah sur chaque textes tu met c'est quel comique J'ai pas de scanne L'avare c comique de mot ou de situation le Mariage de Figaro comique de geste On purge bébé comique de situation Rhinocéros comique de répétition Introduction : * La comédie est un genre qui n’a jamais cessé de plaire ,il existe même parfois dans la comédie

Dupay. Je vous écris suite au commentaire que vous avez fait dans le quotidien littéraire » sur mon œuvre « Un enterrement à Ornans ». Vous dites que « le laid, le trivial et est l’ignoble. Une toile qui ne peut qu’inspirer le dégoût et provoquer le rire ». Vous êtes présomptueux de dire que ma toile est déplaisante à quiconque pose les yeux dessus. Que je ne mérite point ma renommée après avoir réalisé une œuvre aussi honteuse que celle-ci. Que je ne sois pas digne d’être l’héritier d’anciens aussi

[Chien noir au sol. (fin de la pièce)] Intérêt = de droite à gauche, personnages de plus en plus invalides : Clov debout (mais ne peut s’asseoir), Hamm (paralytique) assis, les parents dans les poubelles, ici, de plus, enterrées (renforce l’image de la mort). L’alignement des personnages forme une ligne oblique, descendante, figurant le déclin des humains, voire de l’humanité. 2) Mise en place des personnages : Clov est actif. Déplacement circulaire. Tourne en rond. Tâches répétitives. Personnage