Mort De Simone De Bovary Par Flaubert

bourgeoise fait partie de la nouvelle élite sociale, ses valeurs sont celles de : -l’épargne -le travail -la mesure (refus excès). - la famille !La Famille est une arche sainte qui permet que l’acquis ne se volatilise pas. L’épargne par-delà la mort (héritage). Légitimation des hiérarchies : doit se construire autour de hiérarchie ac le père à la tête. On pense que la hiérarchie familiale est le reflet en petit de la hiérarchie sociale, famille base de la hiérarchie sociale, d’où le terme de

impérieuse écrase autrui sous le poids des choses. VII : Une femme parle et souffre de se sentir jugée par un homme qui ne parle pas. VIII : Un grand-père, qui promène son petit-enfant, exerce sur lui une protection étouffante, et lui parle de sa mort. IX : Un homme parle à une femme pour qu'elle ne parle pas. X : Des femmes jacassent dans un salon de thé. XI : Une femme est assoiffée d'«intellectualité». XII : Un professeur du Collège de France vide «de leur puissance et de leur mystère» Proust

LECTURE D’UN SECOND CORPUS BAC Corpus sur le héros au combat, comprenant le texte ci-contre et les suivants : Devoir à la maison à partir de ce premier corpus. • Victor Hugo, Les Misérables, La mort de Gavroche, 1862. • Commentaire du texte de Stendhal. • Gustave Flaubert, L’Éducation sentimentale, Frédéric et le Paris révolutionnaire de 48, 1869. • Dissertation : Le héros de roman doit-il nécessairement réussir ? • Louis-Ferdinand Céline, Voyage au bout de la nuit,

plus longues. Dans ce texte, les gradations et les hyperboles permettent de représenter l’abondance associée au personnage de Mme Tim. Mais ces figures d’amplification peuvent avoir bien d’autres fonctions, parfois beaucoup moins positives. Saint-Simon, au XVIIIe siècle, les utilise par exemple dans ses Mémoires afin de critiquer Louis XIV et son goût pour le luxe. « C’est une plaie qui, une fois introduite, est devenue le cancer intérieur qui ronge tous les particuliers, parce que de la cour il

noir, des pieds à la tête », « ainsi qu’une statue au geste d’invite éternellement figé dans la pierre », « son nez fin mais aquilin », « un front haut et bombé » ; – une température, une absence de couleur et une odeur inhabituelles, dignes d’un mort : « la froideur glacée des chairs : on aurait juré une main de cadavre » ; oreilles « pâles », « une extraordinaire pâleur », « son haleine fétide » ; – un visage et des mains qui font penser à un animal : « des narines particulièrement larges »

finit mal, notamment pour l’aventure amoureuse (Roméo et Juliette, Tristan et Iseult). L’œuvre finit « bien » d’un point de vue moral ? D’un point de vue esthétique (une « fin en beauté » comme la transfiguration notamment esthétique de Manon par sa mort) ? Il y a certes des fins positives au niveau de l’intrigue, des personnages. Mais une œuvre qui finit bien n’est-elle pas celle qui finit « bien » pour le lecteur ? De laquelle il retire quelque chose de plus, et qui n’est, de ce fait, pas forcément

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 98 L’humaniste face au doute . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 100 Les interrogations humanistes face à la mort . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 102 ÉVALUATION Tester ses connaissances sur l’humanisme . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 104 VERS LE BAC Question sur un corpus : Las Casas

meilleures choses et la désillusion avec énergie : c'est merde » (à Flaubert, 3 août 78). L'expérience de ses humbles débuts culmine dans une condamnation grossière de la société, sur laquelle il ne reviendra pas, mais qui n'atteindra plus la même virulence. Cet énoncé scatologique exprime un état d'âme durable et constitue, en quelque sorte, le substrat de sa création ultérieure. Maupassant ne se lasse pas, dans ses lettres à Flaubert, de chercher les expressions les plus grossières de cette irrémédiable

langue française. Genre littéraire dominant : la poésie lyrique (Ronsard, Les Amours ; Du Bellay, Regrets). Au XVIIe siècle, deux mouvements s’opposent et cohabitent : le mouvement baroque mise en scène des métamorphoses du monde ; obsession de la mort, du rêve, de l’inconstance, du masque ; profusion d’ornements, d’effets, d’illusions. Genres littéraires dominants : poésie lyrique (Théophile de Viau, Œuvres), épique (Agrippa d’Aubigné, Les Tragiques), théâtre (Pierre Corneille, L’illusion comique)

la vie. JEAN PAUL CIVEYRAC :Oui,la vie intérieure des deux filles est largement insatisfaite:elles ne trouvent pas dans le réel qui les entoure de quoi s’alimenter.Il y a en elles un besoin d’infini,d’absolu,qui ne peut se mesurer qu’à l’idée de la mort, à de l’extrême. En même temps, les deux filles tiennent un discours très critique, politique, sur la société. Et, en effet, on voit bien aujourd’hui que les jeux violents des adolescents répondent aussi à une débâcle sociale,au fait qu’il n’y a pas