Mortalité infantile

transitions démographique y est achevée avec de faibles taux de natalité et de mortalité. L’amélioration de la condition féminine, notamment grâce à des études plus longues et un taux d’activité plus important, le développement de la contraception, baisse du nombre des mariages peuvent expliquer la baisse du nombre des naissances. Les progrès de la médecine ont favorisé le recul de la mortalité, en particulier de la mortalité infantile, à des niveaux très faibles. La baisse des naissances et l’augmentation

régime de forts taux de natalité et de mortalité à un nouveau régime démographique caractérisé par de faibles taux de mortalité et de natalité Vieillissement démographique en France précoce et soutenu Les taux de mortalité sont tres élèves a cause de l état sanitaire des français Au 18eme siecle la moitie du taux de mortalité représente la mortalité infantile En gros jusqu'a fin 1700 il faut 4 enfants pour faire deux adultes La mortalité infantile recule d'Un tiers à Paris entre 1875 et

de restreindre la descendance est le mariage tardif qui réduit la période de fécondité de l’épouse. Mais la fécondité est aussi réduite par la mort prématuré d’un des époux, la mort en couches et l’allaitement maternel. Compte tenu de la mortalité infantile, la taille des familles n’est pas, en moyenne, beaucoup plus élevé qu’au moment du baby boom contemporain. Il y a très peu de naissances illégitimes, hors mariage surtout à la campagne mais beaucoup de jeunes paysannes qui ont fauté viennent

neufs » : Etats-Unis, Canada, dominions et pays d’Amérique du sud. 2) Une mort omniprésente De l’Antiquité au XIXème siècle, la mort est omniprésente en Europe. En temps normal, la mortalité infantile est très forte. De plus, de temps en temps, des crises démographiques (forte mortalité et baisse subite des naissances) surviennent. Elles sont liées aux épidémies (ex : la peste noire de 1348) ou à des guerres. A cette époque, la population européenne croît très lentement car l’excédent

140 à 266 millions d’habitants. Pré transition : Le taux de natalité et de mortalité est très élevé durant la phase de pré-transition. L'accroissement naturel est presque nul (taux de natalité moins taux de mortalité) Durant cette période la mortalité infantile est très élevée. Transition : Baisse des deux taux (mortalité et natalité). Ces deux taux baissent avec un décalage dans le temps (d'abord la mortalité). Conséquence : il y a un fort accroissement naturel donc forte accroissement

(effectif) Rq : Chaque fois que l'on parle de taux c'est toujours un rapport. II. Les indicateurs sanitaires 2.1 Indicateur de morbidité Dans les indicateurs de santé on trouve l'indicateur de morbidité et de mortalité dans lequel on rajoute l'espérance de vie. La morbidité est le nbr de malades ou le nbr de cas de personnes touchées par une pathologie dans une population à un moment donné. Pour mesurer la morbidité on utilise 2 autres indicateurs : l'incidence

population. Espérance de vie : indicateur démographique qui mesure la durée probable d’un humain, en fonction des conditions d’existence de la population dans laquelle il naît. Mortalité infantile : nombre de décès des enfants nés vivants avant qu’ils aient atteint l’âge de 1 an. Le taux de mortalité infantile varie actuellement de moins de 5 pour 1000 à plus de 150 pour 1000. Pays neufs : territoires peuplés par les émigrants européens depuis le XVI° siècle. Triade : terme qui désigne

taux doit être bien distingué de l’indice synthétique de fécondité qui exprime le nombre moyen d’enfants par femme en âge de féconder. Une génération se reproduit au mois à l’identique si l’ISF est au-moins égal à 2,1. Pour les décès, le taux de mortalité est calculé comme le taux de natalité pour 1000 habitants. Il convient de rappeler que l’espérance de vie est calculée à la naissance. A) Les grandes masses démographiques sont en Asie : Chine : population= 1,350 milliard. Indice synthétique

donc 27% constitue la base de la société, c’est-à-dire les 0-14 ans et le reste constitue les personnes de 65 ans et plus. Ensuite, la mortalité infantile est souvent utilisée pour placer un pays par rapport à son niveau de développement, cependant dans le cas du Brésil le cas est légèrement particulier, car l’économie est assez développée, mais la mortalité infantile ressemble davantage aux taux qu’on peut retrouver dans les pays en voie de développement avec plus de 24 morts pour 1000 naissances ce

d’accroissement naturel : la différence entre le taux de natalité et le taux de mortalité. Le taux de natalité, de mortalité : le nombre de naissances ou de décès pour mille habitants en un an. La croissance démographique : l’augmentation de la population. L’IDH : indicateur qui mesure le niveau de développement d’un pays à partir de PIB par habitant, de l’espérance de vie et du niveau d’instruction. La mortalité infantile : la mortalité des enfants de moins d’un an. Les NPIA : les nouveaux pays industrialisés