Mossi

(winsou veut dire coton, yéo qui désigne les producteurs et gobi signifie argent et gui signifie le possesseur en baatombu). Le winsouyéo gobigui se mérite à travers les dons et le nombre d’épouses. - Richesse et accumulation : le pays MOSSI Les travailleurs MOSSI du Burkina Faso sont nombreux en Côte d’Ivoire. On pourrait penser que les revenus tirés de la migration puisse trouver à s’investir dans l’agriculture ou dans des positions socialement avantageuses lors du retour. G. Ancey (1977) montrait

comme les États-Unis et l'Inde... Pour un Tehuelche, les limites de la société globale ne dépassent pas celles de son campement ; pour un Ifugao, elle se compose des quelques villages de sa vallée. Avant la colonisation, le pouvoir du moro naba des Mossi (Afrique occidentale) ou du kabaka de Bouganda (Afrique orientale) s'étendait sur un vaste territoire peuplé de plus d'un million d'hommes. L'histoire de France montre comment la petite principauté d'Hugues Capet est devenue le royaume de Louis XIV

barrières psychologiques entre ethnies . L’alliance ethnique est bien un concept africain issue de la tradition et léguée aux futures générations. Partout, en Afrique occidentale, nous trouvons des alliances ethniques, au Burkina Faso entre Samo et Mossi, Bissa et Gourounsi, Bwaba et Peulhs, Dagara et Siamu, Samba et Lobi (Côte d’Ivoire). De même au Sénégal, il y a une alliance entre Peulhs et Sérères.  Partant de ce concept de l’alliance ethnique, tout homme espère vivre en paix avec l’autre et avoir

stéréotypes coloniaux, avait la préférence des « recruteurs ». Les ethnies de savanes étaient considéré comme plus guerrières que les populations des zones forestières et côtières et les principaux bassins de recrutements furent en pays Bambara et Mossi ainsi que la Guinée1. Avant que ne débutent la Grande Guerre les BTS était relativement limité en nombres. Très souvent les enrôlés étaient d’anciens esclaves qui voyait là le moyen de se faire affranchir et dans certains cas le moyens de garder leurs

Maya-Toltèques se termine en 1500. Pérou - Bolivie[modifier] L'Empire Inca est à son apogée. Afrique[modifier] Afrique occidentale[modifier] Le Mali, gouverné par des souverains sans envergure, est menacé par les Songhaï, les Toucouleur, les Bambara, les Mossi et les Touaregs. Il demande en vain de l’aide au Portugal mais est bientôt réduit à son pays d’origine, le Haut Niger. Au début du siècle, la souveraine haoussa de Kano, Amina, étend son autorité sur les cités voisines de Kouararafa et de Noupé, mais

Mansa Maghan (vers 1360-1374), son fils Moussa II (vers 1374-1387), Magha II (vers 1387-1389), et l'usurpateur Sandaki (vers 1389-1390). Après la mort de Mansa Souleymane, des querelles de successions affaiblissent l’Empire qui sera attaqué par les Mossi, les Touaregs puis les Songhaïs. Entre le XVIe siècle et le XVIIe siècle, Le Mali se réduit à ses dimensions d’origine. * Kanga Moussa (ou Kouta Moussa) (1312-1337) * Maghan (1337-1341) Maghan était un roi de l'Empire du Mali. Fils et successeur

correspondent à des pratiques et techniques attestées dans toute l'Afrique noire, encore de nos jours71. Anthropologie politique Les comparaisons de Diop entre l'institution de Pharaon et, entre autres, celle du Damel de Cayor ou du Mogho Naba du Mossi ont suscité d'autres recherches, notamment par Alain Anselin, mais également Cervello Autuori. Selon ce dernier auteur, l'institution politique dite de « la royauté sacrée » (E. E. Evans-Pritchard, Luc de Heusch, Michel Izard) serait attestée en Égypte

Cependant, les idées qu’ils peuvent véhiculer lorsqu’ils voyagent ensemble, devraient justifier ces pages et assurer le lecteur qu’il ne perd pas son temps! Alcool Un tiers de la récolte est mangé, un tiers est bu, un tiers est perdu, dit la sagesse mossi. Les buveurs n’ont pas de champs (kiga); Quand le coq est ivre, il oublie la hache (ashanti), la boisson est mère de la paresse. La bière n’a aucune considération pour le visiteur (shona): sous l’influence de l’alcool, le visiteur peut perdre sa dignité

: - « autochtones » : Gourounsi, Bwa, Dogon, Kouroumba, etc ; - « Mandé » : Bissa, Bobo-fing, Samo, Yarsé, etc ; - Peulh ; - Mossi. Ces différents groupes se sont mêlés à travers des siècles dans une parfaite symbiose au point de créer souvent des groupes mixtes tels que les silmi-mossi (mélange de peulh et de mossi), les bobo-jula (mélange de bobo et de jula). Tout cela a contribué à cimenter l’esprit pacifique qui anime l’ensemble des ethnies du Burkina Faso qui vivent

rendez-vous culturels et la promotion de certains produits à travers l’évènementiel. I- DEFINITION DE KUNDE KUNDE est l’appellation en mooré de la guitare traditionnelle à trois cordes qu’on retrouve un peu partout au Burkina Faso, chez les Mossi, les Bissa, les Peulh… et même en Afrique de l’Ouest chez les Dioula, les Sénoufo, les Baoulé… pour ne citer que ceux là. Les KUNDE sont les trophées de la musique au Burkina Faso. Ils récompensent chaque année les meilleures œuvres musicales dans