Motet

telles que – SAPHO en 1850 – ULYSSE en 1851 – LA NONNE SANGLANTE 1852/1854 – LE BOURGEOIS GENTILHOMME e 1856 – FAUST 1857/59 – LA REINE DE SABA 1861 – MIREILLE 1863 – ROMEO ET JULIETTE 1864 Des cantates, choeurs, mélodies et chansons Des motets et cantiques entre autres / – TE DEUM 1857/1863 – AVE MARIA 1859 – QUE SA VOLONTE SOIT FAITE 1872 – LA SALUTATION ANGELIQUE 1872 – L'HYMNE APOQTOLIQUE 1886 Des musiques instrumentales Des messes et requiem commence – A son ami Gabriel

des discours contre l’oppression et la violence. De plus, la résistance est possible lorsqu’on redonne la parole à des voix que la société a tentée d’effacer. Pour finir l’exposition, une pièce est consacrée à l’œuvre de Janet Cardiff, Motet à quarante voix . Quarante haut-parleurs ont été placés dans la salle et chacun d’eux fait résonner une voix indépendante. Cet assemblage de chants a pour but d’offrir une réflexion sur la puissance d’une voix individuelle, mais également

plus en plus grande, et enfin, d’une manière générale, par la recherche toujours plus poussée de la consonne d’appui (belle et telle) La poésie lyrique aux XIIe et XIIIe siècles comprend principalement des chansons à refrain, rotrouenge, ballette, motet. Mais les genres les plus en vogue sont la chanson courtoise avec son dérivé le jeu-parti, laromance et la pastourelle. La chanson courtoise est d’origine provençale; elle a un caractère mondain et galant, convenu et assez maniéré; elle est fort monotone avec

pièce, il est encore fait, à sa situation d'écolier parisien, des allusions (v. 950, 960-962) où sont oubliés les présages de la méchante fée. mais elles sont très peu significatives. Dans le Congé, sont de la même avoir gie I. » » {Motet, de Couss., p. 272); {Congé, str. v). Cf. plus bas, Il « Se vous m'ostastes de clerotrois, et le p. xiv-xv. li ; requist tost, lues fu fais nous apprend un est éclairci sens de ce vers par la finale d'un autre jeu-parti, encore

fit son chapelain et son musicien, avant d'obtenir le titre envié de «compositeur ordinaire du Roi » en 1555. Ses œuvres Janequin fut un maître des chants polyphoniques et spirituels. Il écrivit trois messes, dont Missa super et La Bataille, des motets, dont Congregati sunt, plusieurs livres d'arrangements de psaumes, des chansons spirituelles, de grandes pièces vocales, annonciatrices de la musique descriptive, mais, il fut essentiellement un compositeur de chansons. En effet, il en a écrit près

chansons de croisade; des chansons à personnages: chansons de mal mariées, chansons d’aube évoquant l’heure de la séparation des amants, pastourelles racontant une rencontre entre un seigneur et une bergère, des débats: petits dialogues sur l’amour, des motets: chants à deux voix; des reverdies relatant l’émoi du poète devant un décor printanier; des chansons de toile, ainsi appelées car les scènes décrites se passaient souvent dans des ateliers de tissage et de couture. La poésie dominée par le lyrisme

Psaume, Te Deum, Stabat Mater, Magnificat, Vêpres, Antienne, Salve Regina, Hymnes, Cantate sacrée, Messe (y compris Kyrie, Gloria, Sanctus, Benedictus, Agnus Dei, Credo), Requiem, office des morts, Oratorio, Passion, pastorale à caractère religieux, Motet, Chant grégorien, plain chant, etc. 3.5 Musiques (de chambre, orchestrale, vocale, etc.) utilisant l'électronique, musique concrète, musique électroacoustique, etc. 3.6 Musique classique en lien avec d’autres genres. Classe 4 Musiques électroniques

bien connu L'homme armé) , que ce soit avec les lois du canon, que ce soit avec la messe dite parodique qui emprunte la substance musicale à une composition étrangère, un motet par exemple, comme Claudio Monteverdi, le plus grands des compositeurs avant Bach, l'a fait dans sa Missa «In illo tempore» (1610) qui reprend un motet du Hollandais Nicolas Gombert (vers 1495-vers 1560). On doit donc considérer dans cette optique le fait que Bach, dans sa Messe en si mineur, a recours à tant de beauté emprunté

la cour en 1715, Caldara, Franz Tuma et plusieurs autres utilisaient les trombones beaucoup plus que pour seulement soutenir les choeurs. “[They] were treating the alto trombone much more adventurously as an obligato instrument in their masses and motets.”[23] Dans ses oeuvres instrumentales, Fux utilise le trombone entre autres dans sa Sonata à Quattro, pour violon, cornetto, trombone alto, basson et orgue. La partie de trombone demande une grande agilité et une grande endurance, ce qui fait penser

succède à son père comme organiste à Notre-Dame de Dijon, puis séjourne à Lyon (1713-1714) et à Montpellier avant de reprendre son poste à la Cathédrale de Clermont en 1715.Durant cette période, il compose essentiellement de la musique sacrée: plusieurs motets - Deus noster refugium (1716), In Convertando captivitatem (1718), Quam Dilecta (1720) - mais aussi des cantates profanes - Orphée (1720), Les Amants trahis (1720) - qui préparent le compositeur à l'écriture dramatique. En 1722 Rameau compose son