Motet

que les moines adressaient à Saint Jean. Ut queant laxisResonare fibrisMira gestorumFamuli tuorumSolve pollutiLabii reatumSancte Johannes Le Do remplaça le Ut peu aisé à chanter et le Si plus tardif, provient des initiales de Sanctes Johannes. Un Motet dimunitif de mot est une composition musicale apparue au XIII ème siècle à une ou plusieurs voix , avec ou sans accompagnement, généralement religieuse, courte et écrite sur un texte en latin .

LA Musique profane : A cette époque le madrigal se développe. Art de cour et art profane a la fois. Il se dit équivalent au motet. Equilibre qui se fait à 5 voix, et devient l’écriture habituelle. (1550 -> 1580). A cette époque on utilise que 6 notes que sont le ut, ré, mi, fa, sol, la. Exemples de compositeurs : Cyprien de Rore, Palestrina, Roland de Lassus ( 500 madrigaux ) , Philippe de Monte ( + de 1000 madrigaux ). On pourra remarquer des figuralismes dans ces œuvres. Dans les derniers

violon, et l'art vocal. A quinze ans, il compose un ensemble de vingt motets à trois voix. Il sait jouer de la viole, ce qui lui permet d'entrer en 1590 dans l'orchestre de la cour du duc de Mantoue où il obtient le poste de maître de musique. Il dirige ensuite la chapelle de Mantoue et compose ses plus beaux chefs-d' oeuvre. Il s'installe à Venise et devient maître de la chapelle de Saint-Marc de Venise en 1613. Il écrit des motets, des madrigaux, drames musicaux. Il rédige également des messes. Claudio

c)Musique religieuse: _l'antienne -> refrain bref et chanté _la cantate sacrée -> composition vocale et instrumentale comportant plusieurs morceau _la messe pour orgue -> composition musicale destinée à alterner le plain-chant de la messe _le motet -> genre musical à deux voix _le passion -> composition musicale pour solistes vocaux, choeur et orchestre 5.Quelques instruments sont spécifiquement liés à cette époque où ils atteignent un apogée (de la facture comme de la littérature) avant

▪ Des règles précises sur l’écriture polyphonique ▪ Apogée de la musique polyphonique ▪ Essor de la musique instrumentale ▪ Diffusion du répertoire musical grâce à l’imprimerie ▪ Invention de la tablature ▪ Genres (au moins 3 à retenir) : le motet, le madrigal, l’air de cour ▪ Musique polychorale (Gabrielli et Merullo) ▪ Tardivement, simplification des mélodies, moins de complexité L’AIR DE COUR ▪ A partir de 1550 ▪ Succède la « voix de ville » ou vaudeville ▪ Couplets qui présentent

créer la tragédie lyrique, une forme d’opéra italien qu’il instaure en France et crée un nouveau genre de ballet, la « comédie-ballet » avec Molière. Par la suite il créera aussi une tragédie-ballet, « Psychée ». Il est également célèbre pour ses motets, musiques religieuses. Il organise donc des ballets, des opéras et invente plusieurs comédie-ballet en coopération avec Molière dont le « Bourgeois Gentilhomme » mais aussi « Le Mariage forcé », « les amants magnifiques » et bien d’autres encore

triomphe avec son intermezzo La Serva Padrona (la Servante Maîtresse), ainsi que Livietta e Tracollo, joué en 1734. A cette période, Pergolèse est connut et aimé pour ses opéras bouffes et ses intermezzi mais pas pour sa musique vocale sacrée, ses motets et sa musique de chambre. Mais à partir de cette année, le jeune homme doit faire face à une suite d’échecs avec sa Messe en Fa Majeur et ses opéras Adriano in Siria et L’Olimpiade (1735). Découragé, Pergolèse rentre à Naples et accepte le poste

Marais pour ces concerts à la cour. En 1701, Marais est appelé à diriger une très grande cérémonie pour la guérison du Dauphin, réunissant deux cent cinquante musiciens et chanteurs au cours de laquelle seront interprétés, entre autres, deux de ses motets : Domine salvum fac regem et un autre dont on ne connaît pas le titre. Après cette importante prestation, il devient chef d’orchestre permanent à l’Opéra vers 1704. Il écrira encore Alcyone, tragédie en musique (représentée en 1706) qui rencontrera

œuvre, et dont le taylorisme ne constitue qu'une composante.  Description On trouvera une ou plusieurs études approfondies du développement de la rationalisation (taylorisme et fordisme) en France dans les années 1919-1939 dans le livre d'Aimée Motet, Les Logiques de l'entreprise, la rationalisation dans l'industrie française de l'entre-deux-guerres (Paris, 1997, 495 p.). Contrairement à ce que l'on affirme souvent, le taylorisme ne correspond pas au travail à la chaîne (qui sera développé par

premiers à mettre en œuvre, et dont le taylorisme ne constitue qu'une composante. On trouvera une ou plusieurs études approfondies du développement de la rationalisation (taylorisme et fordisme) en France dans les années 1919-1939 dans le livre d'Aimée Motet, Les Logiques de l'entreprise, la rationalisation dans l'industrie française de l'entre-deux-guerres (Paris, 1997, 495 p.). Contrairement à ce que l'on affirme souvent, le taylorisme ne correspond pas au travail à la chaîne (qui sera développé par