Mouchoir

elle-même. La suite de la deuxième partie est une autre intervention de l’auteur, dans le premier tercet. Cette fois il exprime se colère grâce au registre polémique, avec des exclamations : « Lui donnent un gros sous lié dans leur mouchoir! » (v.14) ; et un vocabulaire dévalorisant : « ramassées dans l’angoisse et pleurants sous leur vieux bonnet noir (…) » (vv.12-13). Il évoque un dieu pour lequel on sent que son sentiment n’est pas favorable contrairement à la Nature. La façon dont

BESOIN PERTURBÉ FICHE N°= 1: RESPIRER ORGANES/FONCTIONS PERTURBÉS DONNÉES ACTIONS NARINES écoulement ou encombrement nasal -prendre température -mettre à disposition mouchoir -transmission écrite et orales à ide MOUVEMENTS RESPIRATOIRES Dyspnée, respiration anormale, bruyante, sifflante, douloureuse, inefficace, coloration anormale de la peau et des muqueuses (cyanose*, marbrures). -Mettre le patient en position

mère qui avait mis un mouchoir sur sa bouche et suivait les gestes du docteur avec des yeux élargis. - C’est cela, n’est-ce pas ? dit le juge d’une voix froide. - Oui, répondit Rieux, en regardant de nouveau l’enfant. Les yeux de la mère s’agrandirent, mais elle ne parlait toujours pas. Le juge se taisait aussi, puis il dit, sur un ton plus bas : - Eh bien, docteur, nous devons faire ce qui est prescrit. Rieux évitait de regarder la mère qui tenait toujours son mouchoir sur la bouche. - Ce

bouleverse marguerite qui fond en larmes et ne laisse insensible la jeune femme qui se trouve à ses cotés et qui là rétorque aussitôt en lui tendant un mouchoir  : « Je vois que la pièce vous à particulièrement émue » «  Celui dont les cils restent secs devant cela n’a pas un cœur humain dans la poitrine   « répond marguerite en prenant le mouchoir « Vous avez tout à fait raison ; mais j’ai comme l’impression que cette scène ne vous est pas inconnue, n’est ce pas ? » reprend la jeune femme « Je

bio-contaminations . Préparer le matériel et les produits -Disposer sur le plan de travail le matériel et les produits - Préparer l’eau du lavabo -Mettre une chaise ou fauteuil devant le lavabo. - 3 serviettes - 2 gants - Savon ou gel lavant - 1 Mouchoir - 2 cotons tiges - Brosse à cheveux - Brosse à dents - Haricots -Chaise ou fauteuil -Pour un gain de temps -Confort de la personne . Se laver les mains -Lavage des mains ou Friction -Savon antiseptique - Papier à usage unique -Solution

les rails comme les modèles. Tracer des boucles à l’endroit dans la semoule en s’aidant d’un outil ou pas. Tracer des boucles à l’endroit avec le feutre Velléda. Barquettes Semoule Pochettes plastiques Fiches avec les animaux Velléda Mouchoirs Jetons 10’ 15’ 10’ Séance 2 : Arabesques à la manière de Calder en AD. Objectifs 2 : Faire des boucles (arabesques) sans arrêter son geste dans tous les sens. Colorier chaque boucle à la craie grasse et encrer le fond. Etape 1 :

«  agiter » : : : B poète de plus en plus actif, maître de sa rêverie- « avec ma main » : : : B introduction du sens du toucher -Comparaison « comme un mouchoir odorant » l. 3 : : : B allusion aux mouchoirs parfumés des femmes donné en gage aux prétendants, symbole de féminité et sensualité mais aussi symbole du départ : : : B le mouchoir agité sifféle le début du voyage. - « pour secouer des souvenirs dans l’air »l.3 : : : B voyage dans la mémoire = réminiscences Paragraphes 2, 3, 4, 5

correspondances entre les sens évoquent des sensations visuelles et auditives. L’expérience olfactive est la source de création « Des souvenirs dormant dans cette chevelure,/Je veux les agiter dans l’air comme un mouchoir! » (v.4, 5.) Par cette comparaison, Baudelaire suggère que la chevelure (comme un mouchoir qu’on secoue) recueille les odeurs. C’est dans la fusion de l’odeur de la chevelure, du rêve, de l’ivresse et de l’extase que s’établit un réseau de correspondances. Ici, le procédé s’écriture permet d’associer

couverture, respirait d'une haleine lente, tandis qu'Étienne, âgé de quatre ans seulement, souriait, un bras passé au cou de son frère. Lorsque le regard noyé de leur mère s'arrêta sur eux, elle eut une nouvelle crise de sanglots, elle tamponna un mouchoir sur sa bouche, pour étouffer les légers cris qui lui échappaient. Et, pieds nus, sans songer à remettre ses savates tombées, elle retourna s'accouder à la fenêtre, elle reprit son attente de la nuit, interrogeant les trottoirs, au loin. L'hôtel

grands calices d'or ; Qui dans le bercement des hosannah s'endort, Et se réveille, quand des mères, ramassées Dans l'angoisse, et pleurant sous leur vieux bonnet noir, Lui donnent un gros sou lié dans leur mouchoir ! Arthur Rimbaud Dans la première et deuxième strophe il y a quatre vers.Tandis que dans la troisième et