Mouchoir

population « vieux bonnet noir ». Dans ce tableau de la religion l'auteur utilise aussi les sons, mais a l'inverse de la guerre ceux-ci sont doux, agréable a l'oreille « bercement », « encens », « s'endort ». Par « lui donnant un gros sous lié dans leur mouchoir » on comprend que les mères désespéré « ramassées » d'avoir leur fils à la guerre donnent de l'argent a l'église dans l'espoir que dieu les protègera. Par là Rimbaud amène a penser que l'église s'enrichit grâce aux désespoir des gens.

des plus faibles et l’indifférence à la souffrance des plus faibles. Tout d’abord, les soldats qui constituent l’infanterie sont essentiellement issus de familles défavorisées avec la présence de « vieux bonnet noir »,  « un gros sou lié dans leur mouchoir » (v.13-14). Ils servent donc de « chairs à canons » avec le verbe « broie » (v.5). Les soldats, victimes sont aussi présentés comme des enfants, car il est question de « mères » et non d’épouses. Les soldats n’ont donc aucun contrôle de leur destin

tête… » (v.370). - De plus, Ruy Blas reçoit des ordres comme un laquais : « ramassez-moi mon mouchoir » (v.371). Don Salluste interrompt ce faisant Ruy Blas : « Vous disiez ? » (v.371), pour le déstabiliser. Ruy Blas se sent donc très humilié, il essaie vainement de convaincre Don Salluste « avec effort », « comme à la torture », alors qu’en face de lui Don Salluste se présente très à l’aise « mettant le mouchoir dans sa poche », « nonchalamment ». Par trois fois, Ruy Blas tente de convaincre Don Salluste

d'une jetée, au milieu de l'embrun aveuglant des ténèbres. L'homme était parti de Marchiennes vers deux heures. Il marchait d'un pas allongé, grelottant sous le coton aminci de sa veste et de son pantalon de velours. Un petit paquet, noué dans un mouchoir à carreaux, le gênait beaucoup ; et il le serrait contre ses flancs, tantôt d'un coude, tantôt de l'autre, pour glisser au fond de ses poches les deux mains à la fois, des mains gourdes que les lanières du vent d'est faisaient saigner. Une seule

dehors, il avait écouté que c’était l’heure de la fermeture. Dos au mûr, pied au mûr, menthol en main, mouchoir au chloroforme dans l’autre, il attendait qu’Anna passe. Quatre heures une, quatre heures deux, quatre heures trois… la voilà. Il l’endormit d’un geste féroce, fulgurant, le fauve était en action, comme la lionne qui met un coup de griffe à une gazelle, lui, il lui donna un coup de mouchoir. Il l’emmena chez lui dans son Santana, le tueur aux menthols n’en était pas à sa première victime

 au  milieu de l'embrun aveuglant des ténèbres.      L'homme était parti de Marchiennes vers deux heures. Il marchait d'un pas allongé, grelottant  sous le coton aminci de sa veste et de son pantalon de velours. Un petit paquet, noué dans un  mouchoir à carreaux, le gênait beaucoup; et il le serrait contre ses flancs, tantôt d'un coude,  tantôt de l'autre, pour glisser au fond de ses poches les deux mains à la fois, des mains gourdes  que les lanières du vent d'est faisaient saigner. Une seule idée occupait sa tête vide d'ouvrier 

tes cheveux ! » (v. 4). Le poète est transporté par la chevelure de la femme et plus particulièrement son parfum. Ainsi un vaste champ lexical de l’odorat et du parfum se déploie tout au long du poème: « l’odeur de tes cheveux » (v. 1), « comme un mouchoir odorant » (v. 3), « le parfum » (v. 5), « parfumée » (v. 8), « je respire l’odeur » (v. 16), « je m’enivre des odeurs » (v. 18). Mais les autres sens sont également sollicités : ♦ La vue : « tout ce que je vois » (v. 4), « j’entrevois » (v. 10),

Hamm dans son fauteuil, le sifflet pendu à son coup pour appeler Clov, le réveil que Clov apporte de la cuisine pour montrer à Hamm comment le prévenir de son départ ou de sa mort, la gaffe que Hamm réclame pour se déplacer en l'absence de Clov, le mouchoir taché de sang qui recouvre le visage de Hamm au début et à la fin de la pièce, le chien en peluche inachevé et infirme … tout ces objets dédramatisent le dépouillement de la scène et masquent en apparence la solitude des personnages, en participant

supérieur pour se faire respecter et certains essaye de le rappeler dans le premier texte Argan essaye d'imposer les règles tel qu'il le souhaite dans Ruy blas Don Salluste use de bassesse en jetant un mouchoir a terre et en ordonnant a son valet de le ramasser Il est dit:  « Pardon! Ramassez moi mon mouchoir ». Les maîtres doivent prouver qu'ils sont les dominateurs et pas l'inverse. Les valets essaye de s'affirmer et de monter une rébellion contre le maître dans « Les bonnes » Claire imite sa maîtresse

de la chambre A la fin du travail. Mains et avant-bras dépourvus de bijoux, Ongles courts et dépourvus de vernis,   Tenue à manche courte, Mouchoirs à usage unique, Lavage simple des mains avant de mettre et après avoir posé des gants Pains de savons (réservoirs de germes), Essuie-mains collectifs en tissu, Sèche-mains électriques, Mouchoirs en textile, Utilisation de plusieurs doses, Mélange de plusieurs produits, Refermer le robinet à main nue, « Essorer » les mains.  Lavage simple