Mouchoir

mât et les cordes qui le tiennent, à la gauche du tableau. La seconde est formée, à sa base, de cadavres et de mourants, desquels émergent les survivants ; à son sommet culmine l'espoir de sauvetage, avec la figure centrale de l'homme agitant son mouchoir. L'attention du spectateur est en premier lieu dirigée vers le centre de la toile, puis sur le mouvement des survivants, montrés de dos et avançant vers la droite du tableau. La palette de Géricault est composée de couleurs aux tons pâles, afin

en anglais par Jacqueline Wilson sous le nom de « Girl in tears » puis traduit en français par Laurence Kiefé. Il appartient à la collection « secret de filles » et c’est le tome 4. Sur la couverture du livre on voit un paquet de mouchoirs. En fait, ce paquet de mouchoirs correspond au titre et a chaque début de chapitre qui commence par « Les filles pleurent quand … » par exemple « Les filles pleurent quand elles ont le cœur brisé en mille morceaux » ou encore « Les filles pleurent quand elles sont

Présentation d'un extrait « -T’es venue secouer ton mouchoir ? -Oui. -C’est gentil… -On est combien ? -De quoi ? -De filles venues agiter nos mouchoirs et te mettre du rouge à lèvres partout ? (1) -Ben regarde… -Que moi !? -Eh ouais… grimaça-t-il, les temps sont durs… Heureusement que les Anglaises sont chaudes… Enfin, c’est-ce qu’on m’a dit, hein ! -Tu vas leur apprendre le french kiss ? -Entre autres.. Tu m’accompagnes jusqu’au quai ? -Oui Il avisa la pendule : -Bon Il

barré de lunettes à monture de corne, venait d’accrocher son chapeau et son pardessus dans un vestiaire qu’aucun employé ne surveillait. Comme il sortait un mouchoir de sa poche revolver, un portefeuille glissa par terre, juste à ses pieds, sans qu’il s’en aperçût. Apparemment absorbé dans ses pensées, il essuya ses lunettes avec le mouchoir, puis rejoignit une jeune femme dans le hall. Ensemble, ils se dirigèrent vers le bar. [Imaginer la suite]... Phil, jeune commissaire, ramassait le portefeuille

qu'on peut lire dans les livres, que le bacille de la peste ne meurt ni ne disparaît jamais, qu'il peut rester pendant des dizaines d'années endormi dans les meubles et le linge, qu'il attend patiemment dans les chambres, les caves, les malles, les mouchoirs et les paperasses, et que, peut-être, le jour viendrait où, pour le malheur et l'enseignement des hommes, la peste réveillerait ses rats et les enverrait mourir dans une cité heureuse. Albert CAMUS, La Peste, 1947 (dernière page)

l’argent : « aumône », « partager », « deniers » (vers 855 et 856) pour faire comprendre, ou plutôt faire croire, à Dorine qu’il est généreux. Il lègue sa fortune aux plus pauvres. Lorsqu’il demande à Dorine de se couvrir la poitrine à l’aide du mouchoir qu’il lui tend, il essaie de se montrer prude. Selon lui, une femme ne doit en aucun cas montrer sa poitrine car « Par de pareils objets les âmes sont blessées/Et cela fait venir de coupables pensées » (vers 861 et 862). Tartuffe est aussi un homme

marquer plus de point que l’autre est gagner | -Jambe fléchi - trans dirigé vers l’avant - bras tendus, le muscle deltoïde couvre le mouchoir -le regarde est dirigé vers l’avant -Jambe fléchi - trans dirigé vers l’avant - le bras sorti de niveau de visage pour faire un demi-cercle, l’autre bras reste au niveau de mouchoir -Jambe fléchi - trans dirigé vers l’avant - le coup peut être réalisé avec une action de l’ épaule en utilisons une rotation du

decaractères Opposition entre le masque de Tartuffe et la franche gaieté de Dorine. Par sa sensualité, il devient la dupe de la servante, qui s'amuse à voir son évolution ("Comme il se radoucit").2. Comique de gestes et de jeux de scènes - la scène du mouchoir : ce n'est pas l'hypocrisie, mais la sensualité qui se montre ; c'est elle qui, ensuite, dévoilera l'hypocrisie (contraste... [à continuer] Tartuffe: acte III, scène 2 Introduction : Première entrée en scène de Tartuffe. Une entrée tardive

d'être devenu sourd. On peut constater que le style utilisé est le cubisme. La femme tient entre ses mains un mouchoir. De grosses larmes restent accrochées aux paupières de ses yeux grands ouverts. Les expressions « éclater en sanglots», « avoir le visage défait ou décomposé » peuvent être ici utilisées. Picasso a représenté les événements de Guernica dans le traitement du mouchoir où les contrastes de couleurs sont réduits comme dans le tableau Guernica mais aussi dans les yeux de Dora Maar

J'ouvre mes compresses sur lesquelles je mets du sérum physiologique à l'aide d'une seringue. J'ouvre un autre paquet que je laisse sec, ainsi que la métalline. Je mets tout ce qui est propre bien à ma gauche au plus loin de la patiente et je pose un mouchoir sur la table près d'elle. Ce qui me permettra de mettre le sale dessus( metalline, canule,.). J'ouvre préalablement la pommade ainsi que le sachet ou se trouve la canule propre. Je mets tout cela à ma gauche. Je mets ensuite mes gants et préviens