Mouron

Ce que le narrateur appelle les « injustes » dans cet extrait, ce sont les gens qui ne se soucient pas de faire du mal autour d'eux, les gens dont le seul intérêt est leur propre personne. Ce ne sont pas ces gens qui risqueraient de se faire du « mouron » pour les autres, alors que les « justes » eux, font partis de ces personnes qui se préoccupent du bien-être des autres personnes, peut-être même avant le leur. Momo se met du côté des « justes » car, contrairement aux « injustes » qui ne s'occuperaient

terre, la faisant entrer dans une communion avec le Père éternel. Il n’est pas faux de voir notre baptême comme le geste par lequel le Christ met son bras autour de notre épaule et nous prend avec lui dans l’espace tracé par son baptême. Nous mourons avec lui à une existence marquée par la fausse suffisance et par l’isolement, afin d’entrer dans une vie nouvelle, une vie de communion (voir Romains 6,3-6). En compagnie de Jésus nous entendons le Père prononcer à notre égard ces paroles de lumière :

(par maintient artificiel des battements du coeur). Cela montre que la mort est plus que l'arrêt de l'activité biologique. Quand un être meurt, "quelque chose" disparaît : il "n’est plus là". Mais qu'est-ce qui n'est plus là ? Lorsque nous mourons, c'est aussi ce qui fait notre identité, c'est-à-dire notre personnalité, notre affectivité, notre "présence", qui disparaît. Qu'est-ce que la vie, en définitive ? La science est bien incapable en réalité de dire en quoi consiste la vie, quelle

la pensée. Pour qui s'y est préparé et s'y attend, le malheur n'a rien de déconcertant. La dispute alimente la dispute et engloutit ceux qui s'y plongent L'important n'est pas ce qu'on supporte, mais la façon de le supporter Que de fois nous mourons de notre peur de mourir Pour surmonter les obstacles, fais appel à la raison. Si tu veux vaincre la colère, elle ne peut te vaincre. Tu commences à vaincre si tu la fais taire On doit punir, non pour punir, mais pour prévenir Ce n'est pas parce

colère ; J'attire ses mépris en ne me vengeant pas. À mon plus doux espoir l'un me rend infidèle, Et l'autre indigne d'elle. Mon mal augmente à le vouloir guérir ; Tout redouble ma peine. Allons, mon âme ; et puisqu'il faut mourir, Mourons du moins sans offenser Chimène. Mourir sans tirer ma raison ! Rechercher un trépas si mortel à ma gloire ! Endurer que l'Espagne impute à ma mémoire D'avoir mal soutenu l'honneur de ma maison ! Respecter un amour dont mon âme égarée Voit

solution semble être la mort. - Les deux derniers vers confirment cette résolution : l’impératif « Allons, mon âme » énonce clairement la décision du héros et le verbe mourir est répété deux fois : à la rime, au vers 329 et au début du vers 330 « Mourons » b) la réfutation Pourtant c’est ce verbe qui va amorcer le revirement de Rodrigue. - Après une reprise du verbe « mourir », ce sont l’indignation et la colère qui dominent la première partie de la strophe. Elles sont rendues sensibles par les reprises

caoutchoucs. Blancs de lunes particulières Aux pialats ronds, Entrechoquez vos genouillères, Mes laiderons! Nous nous aimions à cette époque, Bleu laideron : On mangeait des œufs à la coque Et du mouron ! Un soir tu me sacras poète, Blond laideron : Descends ici que je te fouette En mon giron. J'ai dégueulé ta bandoline, Noir laideron; Tu couperais ma mandoline Au fil du front. [55] Pouah! nos

pleinement à la vie et au « bonheur d’aimer » en valorisant la dépense de soi dans un amour vrai et altruiste qui accepte les sacrifices. Et en choisissant la vie, humainement riche et intense, plutôt que la survie, elle accepte aussi la mort : « Mourons jeunes tous deux, et allons dans le ciel les mains pleines de fleurs ». Avec ce choix de vie, cette dernière peut serte s’avérer quelque peu raccourcie mais elle est pleine d’émotions et de passion. Cependant, une fois encore Balzac laisse planer

sept cents Thespiens Et les trois cents Égaux, l’élite des Spartiates Aux cheveux bien huilés, aux manteaux écarlates. Pour moi, je reste ici. J’attendrai le passeur Avec tous ces héros qui se couvrent d’honneur. Dites à ceux de Sparte que nous mourons dociles À ses sévères lois ; et nos âmes tranquilles Rejoindront les héros du triste Simoïs. Même Achille avouera nos exploits inouïs ! Et si quelque passant voit ici notre perte Qu’il compare sa vie à notre gloire offerte. Nous sommes là ! debout

chevalier si je laisse tomber cette affaire ! Philippe, Jacques, vous connaissez l’importance et l’histoire de cette pierre… ! Etes vous avec moi ? - Bien sur, nous t’accompagnerons dans cette aventure, nous mourons pour défendre ton honneur. Dit solennellement Philippe. - Heuuue !... chui conserné moi ossi ? Il faudra penser aux provisions renchérit Jacques car la route va être longue. - Cesse de penser à ton estomac