Mouron

haricots et la betterave wurzels Sera à nous ce jour-là. Lumineux brillera les domaines de l'Angleterre, Purer doit être ses eaux, Sweeter encore sonneront ses brises Le jour où nous libère. Pour ce jour-là que nous devons tous le travail, Bien que nous mourons avant briser; Vaches et chevaux, oies et les dindes, Tous doivent peiner pour l'amour de la liberté. Bêtes de l'Angleterre, de l'Irlande bêtes, Bêtes de tous les pays et les climats, Écoutez bien et étendre mes nouvelles Du temps avenir doré. Le chant

amour ; Et les multitudes noires Ont pour grelot le tambour. La gloire, sous ses chimères Et sous ses chars triomphants, Met toutes les pauvres mères Et tous les petits enfants. Notre bonheur est farouche ; C'est de dire : Allons ! mourons ! Et c'est d'avoir à la bouche La salive des clairons. L'acier luit, les bivouacs fument ; Pâles, nous nous déchaînons ; Les sombres âmes s'allument Aux lumières des canons. Et cela pour des altesses Qui, vous à peine enterrés, Se feront

systèmes de transport et de communication, ordinateurs, fusées, santé, éducation ou images. Il va jusqu’à affirmer que tout est transformé, la manière dont nous naissons, vivons, apprenons, travaillons, produisons, consommons, rêvons, luttons ou mourons Ce système technologique possède sa propre logique interne, que caractérise la capacité de traduire toutes les données en un système commun d’information et de traiter celle-ci à une vitesse toujours plus grande avec une puissance croissante

de la mort que la décision de Rodrigue va basculer et prendre son orientation finale. Après une première reprise du verbe « mourir » sur laquelle s’articule la fin de la strophe 4 dans un mouvement de relance v39 « et puisqu’il faut mourir »,  « mourons » v40 puis une deuxième reprise anaphorique « mourir sans tuer » v41 amorce un renversement de situation. Le verbe revient comme en échos mais cette fois-ci c’est l’indignation et la colère marquée par l’exclamation dominante dans la strophe 5. A

dès qu'Œnone lui annonce le retour de Thésée, elle revient à sa décision initiale de mourir: Je mourais ce matin digne d'être pleurée ; /J'ai suivi tes conseils, je meurs déshonorée (v. 837-838), puis Mourons : de tant d'horreurs qu'un trépas me délivre. / Est-ce un malheur si grand que de cesser de vivre ? La mort aux malheureux ne cause point d'effroi (v. 857-859). Enfin, à la fin de la scène, elle voit sa perte

Venise ; Rue de Richelieu Citations : - « Soupçonner une femme est un crime en amour. » - « Nous désirons d'autant plus violemment les choses qu'il nous est plus difficile de les avoir. » - « Mais qui peut se flatter d'être jamais compris ? Nous mourons tous inconnus. C'est le mot des femmes et celui des auteurs. » 

hommes. Armes, vibrez ! mains admirables, prenez-les, Mains scélérates à défaut des admirables ! Prenez-les donc et faites signe aux En-allés Dans les fables plus incertaines que les sables. Tirez du rêve notre exode, voulez-vous ? Nous mourons d’être ainsi languides, presque infâmes ! Armes, parlez ! Vos ordres vont être pour nous La vie enfin fleurie au bout, s’il faut, des lames. La mort que nous aimons, que nous eûmes toujours P7 Pour but de ce chemin où prospère la ronce Et

son honneur. Il provoque ainsi l’étonnement du spectateur (noter, de plus, la rudesse de l’allitération en « r » (Mourir/tirer/raison). L’anaphore du verbe « mourir » sert à souligner la rupture d texte (jeu sur la valeur des modes. Vers 330 : « Mourons » : impératif résigné / Vers 331 : « Mourir » : infinitif exclamatif qui exprime la surprise et la colère). À la fin du monologue, le dilemme semble résolu : Rodrigue a choisi de défendre l’honneur de son père et le sien. Même sans didascalie, il

qui conviennent. Christian Chabanis Nombreux sont ceux qui vivent et méritent la mort. Et certains qui meurent méritent la vie. Pouvez-vous la leur donner ? Alors ne soyez pas trop prompt à dispenser la mort en jugement. J.R.R. Tolkien Nous mourons par manque d’amour, par une absence, par le désespoir. Ce qui nous retiens à la terre, c’est l’amour, c’est la vie. La mort a été construire avec le sentiment de refoulement dans l’homme. Nous avons fabriqué la mort. Malcolm de Chazal La terre

quelle est la pire de mes douleurs./ Mourir est mon plus grand réconfort. »(p.69) contrairement à Thisbé qui meurt pour lui : « Amour, faites que ma main soit assez ferme/ pour qu’un seul coup suffise à me tuer !/ Son âme en sera rénconfortée/ Si nous mourons tous deux d’une même mort. »(p.77) Le moment de l’agonie est aussi différent. En comparant la déscription de la mort de Pyrame avec le donner de la vie par Tisbé, on peut conclure que le héros meurt seul malgré la présence de sa chérie pendant