Moutarde blanche

disparu à jamais. Rosa eu le cœur si brisé qu’elle pleura quarante jours et quarante nuits pendant lesquelles elle tenait la rose entre ses mains. Elle pleura tellement sur cette fleur que le rouge de la rose déteignit sur sa longue robe blanche pure. Elle devint blanche, symbole de l’amour pure et sincère qu’elle éprouvait pour le Dieu. Rosa était condamnée à pleurer son défunt amoureux. Depuis que Rosa avait perdu son amoureux, les couples étaient malheureux et se quittaient sans cesse. Il n’y avait

En 1999, Jean Echenoz écrit « je m’en vais » : il joue sur les formes du roman d’aventure et du roman policier pour en faire un roman contemporain qui raconte le voyage difficile vers un trésor caché. On peut donc se demander comment Echenoz arrive à n’avoir aucun héro dans son texte. Nous verrons tout d’abord les difficultés rencontré lors du voyage. Nous montrerons ensuite que c’est un texte descriptif. Puis nous étudierons l’homme face à la nature. Les mésaventures d’une expédition dans

de me … pencher sur Blanche – Neige , un des contes préférés des enfants ; un conte qui a également accompagné mon enfance ..me rendant fort par moment mais laissant aussi des vides , des .. leurres en fait . Ce conte , est rempli de merveilleux et de symboles : le miroir magique , La Reine / sorcière , le peigne , la pomme , les nains … Ce .. merveilleux , semble .. aller de soi , dans le conte . L’action , est concentrée sur un personnage central : Blanche-Neige . Son « « Cheminement

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; l'emploi de certains nombres impairs. Ibid. Pourtant les poètes publiés dans les innombrables revues littéraires de l'époque qui se réclament du symbolisme (Le Symboliste, 1886 ; La Vogue, 1886 ; La Plume, 1889 ; Le Mercure, 1890 ; La Revue blanche, 1891, parmi tant d'autres) ne se montreront que de pâles épigones de Verlaine ou de Mallarmé. Citons tout de même quelques noms marquants, à commencer par les Américains Stuart Merill (1863-1915) et Francis Viélé-Griffin (18641937), amis de Mallarmé

fonction de leur perception de la situation, de leurs préjugés et de leurs stéréotypes. A tous ces éléments s’ajoutent d’autres aspects reliés à leur identité propre (sexe, classe sociale, âge, classe sociale, références culturelles) La dame blanche, d’un certain âge, en remarquant cet homme assis devant « son » plat se voit interpellée par toutes les opinions préconçues et même face à ses préjugés. Il ne lui passe à l’esprit qu’il doit sûrement s’agir « sans aucun doute d’un homme pauvre »

il vivra jusqu'en 1912. Il est mobilisé en 1914, blessé en 1916, trépané. (14 / 18 : 1ère Guerre mondiale) En 1918, il est touché par la grippe espagnole et meurt à 38 ans tragiquement alors qu'il venait juste de se marier. Il collabora à la Revue blanche, à la Plume, au Mercure de France et témoigna de toutes les découvertes et avant-gardes de son temps : l'art naïf (le Douanier Rousseau), l'art nègre (aujourd’hui Art Premier !), le fauvisme, le cubisme avec Braque et Picasso (1913). Plus encore

plutôt généralistes, mêlant littérature, art, culture et politique, afin d’attacher un public plus large. Pour les revues exclusivement littéraires on dénombre plus de 250 nouveaux titres entre 1880 et 1914. On peut citer : * La Revue Blanche (fondée par les frères Natanson en 1889 à Liège et installé à Paris en 1891, elle fût le porte-parole des intellectuels dreyfusards, et le support de plusieurs nouvelles publications littéraires  parmi lesquelles : Journal d’une femme de chambre d’Octave

milieux littraires, la locution pome en prose est communment employe, toujours en rfrence Baudelaire, jusqu' la fin du sicle. Mais c'est surtout dans les annes 1880 qu'elle se rpand aux sommaires des revues: La Vogue, La Revue indpendante, La Revue blanche, La Revue wagnerienne. Pourtant, on constate la prfrence de certains crivains pour des appellations plus classiques. Certaines soulignent l'absence de rgles, comme fantaisies, reprise Bertrand par Charles Cros (Fantaisies en prose, 1873); d'autres

ignoré de tous (la bougie de dame Grédel s'était éteinte avant qu'elle eût le temps de voir les traits de Kasper). Le lendemain, la mère Grédel est interrogée par la police où elle prétend avoir été agressée, que son agresseur aurait eu une arme blanche et une arme à feu, qu'elle l'aurait griffé et qu'il se serait enfui. À ce moment-là, Kasper amusé de la déposition de dame Gredel, s'avance dans la pièce pour dire que c'est lui qui était la veille dans la cave et qu'il avait une idée d'embuscade