Mouvement pour le changement démocratique

Mes opinions sur "le printemps arabe” Appelé également "la conscience arabe" ou "l'insurrection arabe", le printemps arabe signifie une série de mouvements démocratique survenus dans les pays arabes depuis la fin d'année 2010, il s'est éclaté à Tunisie, et s'est répandu rapidement en Egypte, Libye ,Yémen et Syrie,etc.jusqu'à maintenant, quatre régimes ont été renversés: Ben Ali, Kadafi, Mubarak,Saleh. Son influence profonde et répandue a attiré les attentions du monde entier. L'escalade de la

système démocratique. Cette démocratie a survécu à la mort de son fondateur, Nehru, et ne semble menacée, dix ans plus tard, ni par une révolution ni par un coup d'Etat.Il ne faut pas oublié que l'Inde est LA plus grande démocratie du monde mais que ce territoire encombré d'archaïsmes.Néanmoins , son dynamisme permet son émergence rapide d'une modernisation. Véritable choc frontal entre anachronisme et modernité , richesse et précarité , Peut on considéré l'Inde comme un pays démocratique proprement

psychologique comme la fonction d’intégration, les régulations de relations interindividuelles et l’idolâtrie. JP Sartre dans son livre Critique de la raison dialectique de 1960, dit que le groupe n’est pas statique « mais un tout dynamique en mouvement à faire avec des rapports dialectiques entre les parties ». Pour lui, 3 conditions sont nécessaires pour passer du rassemblement au groupe : * L’intérêt que les membres ont en commun est assez puissant pour que ceux-ci l’intériorisent et le prennent

processus démocratique exemplaire, qui fera lui aussi référence dans la sous région et en 2011, le moteur de la dynamique qui a impulsé la révolte populaire Tunisienne. Les peuples sont très attentifs aux mouvements qui secouent leur région. Il ne serait pas honnête de négliger l’effet de ce qui s’est passé en Mauritanie de 2003 à 2009 de coups d’Etat, d’élections démocratiques, de dialogues enrichissants avec et face à la Communauté Internationale et de redressements de l’élan démocratique quant

féodale, capitaliste) c'est à dire qu'elle engendre la lutte des classes:Ceux qui possèdent (usine, plus-value) et ceux qui ne possèdent rien sauf leur force de Travail (exploitaion, salaire de subsistance). => C'est sur cette lutte que repose le changement social : Le passage à la modernité est assimilable au développement et répercussions du capitalisme en termes de contradiction qui amèneront le socialisme (société dépourvue de classe) et donc la fin du capitalisme. => 2 prolongements sa pensée:

La démocratie au lycée » de Robert Ballion. Nous nous demanderons en quoi le lycée participe t-il a la formation démocratique des jeunes lycéens, citoyens de demain. Nous établirons une comparaison entre le lycée et la cité démocratique puis nous analyserons la loi Jospin évoquée a l'instant enfin nous nous pencherons sur l'ouvrage de Robert Ballion. I/ Le lycée, une cité démocratique ? A) Définition d'une cité La cité (latin civitas) est un mot désignant, dans l’Antiquité avant la création

territoires non familiers et ainsi, regagnent leur dimension politique. C’est dans ce contexte d’individualisme et de remise en question envers la démocratie que l’on va se poser comme question : en quoi l’espace public peut-il définir un modèle démocratique ? Dans un premier temps, nous évoquerons l’espace public au sens spatial, dans un second temps nous verrons que l’espace public a une dimension politique et enfin, nous étudierons la réflexion des auteurs sur ce qu’est penser la ville. Tout

intellectuelle correspondant largement à des États-nation. Dans une large mesure, on peut considérer que les sociologues ont d’abord été les philosophes sociaux qui ont construit l’idée de société au moment où se formaient des États-nation industriels, démocratiques et modernes. Il est sans doute nécessaire de s’interroger aujourd’hui sur l’actualité et la pertinence de cette représentation de la vie sociale au moment où la globalisation transforme considérablement les cadres de la vie économique, politique

différentielles, dans les différents pays ? Sans nous attarder sur l'étude épistémologique que requièrent l'analyse du phénomène global et les études de cas, dans l'aire arabe, nous privilégions l'expression révolution. En Tunisie, en Egypte et en Libye, les mouvements populaires ont, en effet, mis fin aux régimes politiques en place et engagé leur remplacement. Or, l'instauration d'une manière irréversible d'un ordre nouveau est l'aspect distinctif d'une révolution, par rapport à une révolte, une insurrection

entendre un retour de la monarchie mais qui n’a pas abouti. Ainsi Tocqueville s’est senti au milieu d’une révolution qui n’en finit pas. Pour lui le problème fondamental n’est pas la stabilisation du régime mais la maîtrise du régime démocratique qu’il appréhende comme un mouvement indéfini de la société de son ensemble. Une nouvelle ère qui présente une alternative inédite entre la liberté et la servitude. Ce n’est plus une question d’organisation du pouvoir, de constitution, de relations entre les gouvernants