Mucus

balayage. Les informations données par ces deux méthodes sont complémentaires : l'une permet de voir à l'intérieur de la cellule et l'autre donne une image de la surface extérieure. 1 2 Un grain de sécrétion de mucus prêt à être libéré Cellules à mucus de poisson (le mucus est libéré pour protéger et lubrifier la peau du poisson) observées au MET (1) et au MEB (2) 2.2. Microscopie électronique à transmission Principe Dans le microscope électronique à transmission (MET), les électrons

la phase folliculaire, les oestrogènes sécrétés par les ovaires amènent à maturation le follicule jusqu'à l'ovulation. Dans les derniers jours de cette phase l'augmentation du taux de ces hormones provoquera des modifications de la composition du mucus qui oblitère le col. Mais ces productions hormonales qui gèrent l'apparition et la disparition des différentes phases du cycle sont elles-mêmes sous la dépendance d'un système de contrôle et de régulation : le complexe hypothalamo-hypophysaire.

courant d'eau -1 hémibranchie = énormément de filaments. L'hémolymphe en provenance des organes vient s'oxygener aux niveau des branchies. -Appareil digestif : microphage, filtreur. -branchies effectuent un premier tri -agglomération dans un mucus -voyage vers la bouche -deuxième tri : palpes labiaux -oesophage, estomac... -Appareil génital et rproducteur : gonochorique, fécondation externe, larve véligère -bosse de polichinelle (gonades fusionnées) : pas la même couleur selon mâle

à son alimentation. Les planaires vivent dans des milieux très variés : mer, eau douce et même dans le sol. Ce sont des carnivores se nourrissant de petits invertébrés qu’ils capturent avec leurs cils et qu’ils consomment après avoir sécrété un mucus digestif qui tue les micro-organismes avant leur absorption. L’absence de système respiratoire fait que, par conséquent, la planaire respire par diffusion. Le système digestif commence avec la bouche, à l’extrémité du pharynx et n’a pas de fin précise

manière inconsciente (par voie rétro nasale). C’est ce qui se produit lorsque nous mangeons par exemple. 13 L’épithélium olfactif est recouvert par un mucus produit par des cellules glandulaires. Ceci permet un nettoyage permanent de la muqueuse. Cette dernière est composée de neurones qui arborent des cils baignant dans le mucus. Le mucus tapisse la cavité nasale et se situe dans le premier tiers de la muqueuse. C'est une fibre nerveuse (ou axone) qui communique avec le bulbe olfactif et dont

des glandes qui secrètent chaque jour un litre de mucus. Le mucus contient des lysozymes, des antiprotéases qui détruisent les bactéries emprisonnées dans le mucus. Il y a aussi des antibiotiques qui évitent la prolifération bactérienne car les antibiotiques ont une capacité bactériostatique. Il y a aussi de l’eau qui permet d’humidifier l’air inspiré. Un léger courant d’air circule à l’intérieur des cavités nasales permettant de conduire le mucus contaminé vers le pharynx où il avalé puis digéré

respecté. La quantité d'œufs pondus par la femelle croît en fonction de son âge. Ainsi à l'âge de trois ans, une crevette femelle peut pondre plus de 25000 œufs. Une fois fécondés, les œufs sont suspendus par la femelle à son abdomen à l'aide d'un mucus naturel collant sécrété sur les poils, protection de la future progéniture face à ses congénères, ou autres prédateurs; elle portera les œufs jusqu'à leur éclosion. La durée d'éclosion varie selon la température de l'eau, et donc des saisons; en été

muqueuse 2 : muscles lisses 3 : anneau cartilagineux 4 : lumière de la bronche 5 : adventice 1-1-2 Rôle de filtration, d’épuration et d’humidification de l’air. Le mucus englue les poussières et bactéries présentes dans l’air inhalé (action bactéricide). Les cils, par leurs mouvements, permettent l’évacuation du mucus vers l’extérieur (déglutition). 1-1-3 1 : barrière alvéolo-capillaire/paroi alvéoles 2 : pneumocyte I 3 : hématies 4 : capillaire sanguin/cellule endothéliale 5

glandes est à l’origine d’une sécrétion : o Les glandes salivaires (sécrétion salivaire qui porte sur le mucus). La particularité des glandes salivaires est qu’elle est innervée par le SN orthosympathique et parasympathique mais ils n’ont pas d’effets antagonistes. Le SN orthosympathique utilise les récepteurs α1 (sécrétion d’eau) et récepteurs β1 (sécrétion de mucus). o Le pancréas endocrine. o Le glomérule rénal (sécrétion de rénine). - L’effet excitateur

 aboral,  l’animal  est  fixé  sur  son     substrat  par  une  sole  pédieuse  caractérisée  par     une  musculature  et  la  présence  de  cellules  glandulaires     à  mucus.  Une  colonne  la  relie  au  disque  oral  qui  est   surmonté  de  tentacules  de  longueurs  importantes.   La  longueur  des  tentacules  est  fixe  chez  une  espèce