Mulâtre

entre les Noirs et les mulâtres. Encore dépendante de la France financièrement, Haïti ne parvenait pas à se stabiliser politiquement. Les problèmes agraires engendrèrent, dès 1844, une grande jacquerie, dite "des piquets", qui fut durement réprimée. En 1849, Faustin Soulouque, un Noir, se proclama empereur (Faustin Ier) et se lança dans une sévère répression contre les mulâtres. Il régna en despote sur le pays pendant dix ans, avant d'être renversé, en 1859, par le mulâtre Nicolas Geffrard, qui restaura

fois que les esclaves se soulèvent. Mais cette insurrection, sur fond de révolution à Paris, déclenche un engrenage qui va aboutir à la défaite du pouvoir blanc. Lorsque la révolte commence, Saint-Domingue est la perle des colonies française. Des mulâtres et des noirs affranchis possède aussi plantations et esclavages. Face aux propriétaires, les esclaves représentent 90 % des 500 000 habitants. Ils sont divisés en créoles (nés sur l’île) et bossales (nés en Afrique). Les premiers ont souvent obtenu

à l'Assemblée nationale constituante le 1er décembre 1848)   Chronologie 2. Dans le paragraphe « 1794 : la première abolition », quelle est la plus ancienne date citée et à quel événement correspond-elle ? Définissez les mots « colon » et « mulâtre ». Dans le paragraphe « 1794 : la première abolition », la plus ancienne date citée est le 28 mars 1790. Elle correspond à la date du décret de l' Assemblée Nationale qui accorde aux hommes libres qui ont plus de vingt cinq ans le droit de voter

Le Chevalier de St Georges |Enfant mulâtre d'une esclave d'origine sénégalaise et d'un planteur noble, le " chevalier " de Saint-George apparaît comme l'une des figures les plus romanesques du | |XVIIIème. Après une enfance en Guadeloupe, cet élégant métis a vite été adopté par l'aristocratie parisienne pour ses multiples talents : escrimeur, danseur, séducteur, | |et surtout violoniste, et compositeur.

qu’on eut les colons de hiérarchisés la société coloniale. Les Grands planteurs, toujours dans un souci de domination ont mis un place un vocabulaire précis pour différencier les habitants de couleurs : C’est ainsi qu’apparaissent les termes de Mulâtres, tiercerons, quarterons, etc... Qui définissent le degré d’intensité de pigmentation de la peau. Tache rendue impossible par les aléas de la biologie qui pouvait remettre en cause les différents critères de cette idéologie raciale à chaque naissance

Les tensions qui l'opposent aux populations pauvres augmentent. Les travailleurs agricoles s'appauvrissent. Les premiers temps de l'histoire d'Haïti sont également marqués par d'insolubles luttes de pouvoir entre les Noirs récemment libres et les mulâtres déjà intégrés dans la société coloniale. Encore dépendante de la France financièrement, Haïti ne parvenait pas à se stabiliser politiquement. Le Roi Christophe (1767-1820) Né esclave à Grenade, Christophe est amené à Saint-Domingue et obtient

des Noirs face au candomblé et autres manifestations de la culture afro-brésilienne ; tant et si bien qu’on oublie parfois que le préjugé racial peut s’avérer plus virulent entre Mulâtres et Noirs qu’entre Blancs et Noirs. Tout est ici affaire de distinctions et de concurrence et on y trouve de tout : des Mulâtres qui veulent se distinguer des Noirs pour mieux intégrer l’univers socio-économique des Blancs des Blancs qui se rapprochent des Noirs parce qu’ils retrouvent dans les arts afro-brésiliens

archétypes les plus calamiteux: le béké borné et grippe-sou, le mulâtre canaille, le coolie (ou l'indien) sournois et vicieux, le nègre débrouillard devant ruser contre la nature et les classes possédantes. Des figures historiques et contemporaines défilent: de Pory-Papy à Aimé Césaire et maître Darsières. A évoquer le second, l'auteur frôle l'attaque ad-hominem adroitement menée: Esternome concluant après un meeting de Césaire: "C'est un mulâtre", page 275, ou Marie-Sophie évoquant "notre méchant poète"

représente la Vierge de Guadalupe. Pour les Indiens, cette image constitue une apparition miraculeuse. L'Église attire ainsi les Indiens vers le culte marial. Puis, les années passant, le sanctuaire attire de plus en plus d'Indiens, de métis, de mulâtres et de Noirs. Pour enraciner plus profondément ce culte sur le sol mexicain dans le contexte colonial, l'Église élabore une légende - une légende fixée en 1648 par un chanoine de la cathédrale de Mexico dans un livre consacré à la Vierge de Guadalupe :

Eusebia porta plainte pour injures chez le Juge (Alcalde) de la ville. Deux jours plus tard Silveria fit de même» *Une pratique courante consistait à ranger les individus nés de parents de races différentes dans la catégorie intermédiaire des mulâtres, des mestizos ou des métis. *Mulâtresse: désigne, dans les anciens empires coloniaux, les personnes dont l'ascendance est à la fois européenne et africaine. Femmes coquettes qui aime attirer le regard des hommes.Une femme de mauvaise vie, ayant