Multilatéralisme

Méditerranée sort progressivement du cadre de relations strictement bilatérales pour s’intégrer dans un ensemble euro-méditerranéen, où la France entend jouer un rôle de structuration des rapports entre les deux rives et récupérer ainsi par le multilatéralisme l’influence qu’elle ne peut plus exercer seule. 1995, Conférence de Barcelone : Sécu de l’UE/prospérité du Sud. 2007-2008 UPM A lire comme le retour du désir français d’une politique de projection, en s’appropriant les politiques euro-méditerranéennes

restent la base de l' OMC. La clause de la « nation la plus favorisée » selon laquelle tout avantage commercial accordé par un membre du GATT à une autre nation est étendu _ automatiquement à tous les autres membres du GATT. Ce principe fonde le multilatéralisme ; en effet, avec cette clause, les accords bilatéraux ne sont plus possibles; plus exactement la négociation bilatérale est possible mais le résultat est multilatéral. • Le principe du « traitement national », qui oblige les membres à traiter

grandes puissances qui vont s’efforcer de préserver la paix. Ce qui s’affirme c’est la diplomatie multilatérale. Le multilatéralisme apparaît comme une innovation para rapport à la diplomatie bilatérale. Tout ceci crée une véritable dynamique politique qui débouche sur les conférences de La Haye de 1899 et 1907 relatives au désarmement, point d’aboutissement de ce multilatéralisme. Sur le plan technique on doit souligner que le XIX° siècle se caractérise par l’intensification des échanges internationaux

possibilité de restreindre cet accès (crise de la vache folle par ex.) • ils sont co-décideurs au sein des institutions internationales. 4.2 Les blocs régionaux Contrairement à la vision libérale, le bilatéralisme l’emporte encore sur le multilatéralisme et le degré d’intégration des nations est plus fort à l’intérieur des blocs régionaux qu’à l’extérieur ; cette réalité existe et se multiplie à des degrés différents . L’argument essentiel en faveur de ces blocs est celui du pouvoir lié à la

culturelles "mainstream" qui plaisent dans le monde entier à leur image de liberté et de prospérité, en passant par leurs valeurs "universelles" ou leur faculté, au moins sous certaines présidences, de nouer des alliances. Le mélange d'attraction et de multilatéralisme doit permettre à l'hyperpuissance de faire accepter sa prééminence dans tous les domaines militaires, économique, scientifique.. La différence avec la "diplomatie publique ? Outre ses connotations plus politiquement correctes et moins agressives

guerre contre les terroristes. La peur règne dès lors sur l’Amérique. A partir de là, les Etats-Unis se déclare en guerre contre un « axe du mal » (rogue states). Ils veulent se défendre en optant pour une politique unilatérale. Ainsi l’abandon du multilatéralisme apparait le déclenchement de la guerre en Irak en 2003 ( les Etats-Unis ont passé outre le refus de la France et de l’ONU). Les Etats-Unis sont alors la seule hyperpuissance. Des conflits menacent sur toute la planète la paix dans le monde

gouvernance mondiale. Il propose la création d’un GN où se retrouveraient les dirigeants des pays industriels, mais aussi ceux des pays émergents et des PVD. Cette proposition repose sur le constat que le rôle du G8 est contesté et qu’un plus grand multilatéralisme est nécessaire pour faire participer les pays émergents et les PVD à la gouvernance mondiale. 1) L’enjeu commercial a) Organiser le libre échange En se qui concerne les échanges de biens et de service, la question du libre échange

toute autorité impériale met à mal les barrières douanières. Se manifestent ainsi nombre de phénomènes typiques d'une économie "mondialisée" : des Grecs installés en Inde confectionnant des Bouddhas qui seront exportés jusqu'au Japon. * Le multilatéralisme : constitution d'États plus ou moins égaux par leur taille et par leur force, ce qui entraîne une certaine émulation. * L'innovation technique : grandes découvertes scientifiques et avancées techniques qui ne seront pas égalées avant longtemps

latine, comme au Venezuela ... division de la communauté internationale sur cet unilatéralisme ... hostilité de pays occupés, comme l'Irak Depuis 2008, conscient de l'isolement diplomatique de son pays, le président Barack OBAMA est partisan d'un multilatéralisme et du « smart power ». 

soumis à l’espoir est, au contraire, un monde neuf où il fait bon vivre. Il réconcilie ici Palestiniens et Israéliens, redonne toute sa puissance aux Etats-Unis, voit une Europe soudée, une Afrique colorée, une Asie démocratisée. Il redonne vie au multilatéralisme. Il conclut, cependant, en nous informant que le monde dans lequel nous évoluerons d’ici quelques années ne sera pas soit tout noir (la peur) soit tout blanc où plutôt rose (l’espoir) mais qu’il sera régit par un mélange de ces émotions qui