Multipartisme

démocratie libérale. - Autour d’un chef tout puissant, guide suprême et génial dont on organise le culte de la personnalité. - Autour d’un parti unique, qui ne tolère pas les contre-pouvoirs et qui prend en charge l’idéologie. Abolition du multipartisme. Etat- parti. - Grandes manifestations de masse : temps forts de « communion » avec le chef. - Hitler liquide en quelques mois (1933/34) les institutions démocratiques de la République de Weimar. Page 2 sur 3 2. Une idéologie

raisons. 1977 : Le 8 mai, la population djiboutienne consultée optait pour l'indépendance. Le 27 juin, elle est proclamée, donnant naissance à la République de Djibouti avec à sa tête le président Hassan Gouled Aptidon. 1992 : Instauration du multipartisme. La guerre entre le gouvernement et le Front pour la restauration de l'unité et de la démocratie (FRUD) est déclarée. Elle durera environ 2 ans. En 1991, une guerre oppose le régime au pouvoir de Hassan Gouled Aptidon au FRUD, de Ahmed Dini

Constitution de 1958 est totalement différente des constitutions antérieures, elle apporte de nombreux changements dans le régime. Sous les anciens régimes, le pouvoir était attribué à des groupes parlementaires, dans des coalitions changeantes, le multipartisme rendait le pouvoir instable et les électeurs se sentaient impuissants. La Constitution de 1958 à apporté plusieurs changements déterminants : l’élection du Président de la République au suffrage universel direct : ce sont les français eux

d'Houphouët-Boigny, Karthala, Paris, 2000, 180 p.(ISBN 2-84586-091-9). Marcel Amondji, Côte-d’Ivoire : Le PDCI et la vie politique de 1945 à 1985, Éditions L'Harmattan, Paris, 1986, 205 p. (ISBN 2-85802-631-9). Bailly Diégou, La Réinstauration du multipartisme en Côte d’Ivoire, ou la double mort d’Houphouët-Boigny, Éditions L'Harmattan, Paris, 2000, 283 p. (ISBN 2-73842-349-3)

d’opposition légale en juin 1966, soit par révision de la Constitution pour instaurer par la loi 76-26 du 16 avril 1976 un multipartisme contrôlé et limité à trois partis. Sous le président Senghor, le PS a plutôt fonctionné comme un parti unique de fait, et il faut attendre l’arrivée d’Abdou Diouf au pouvoir en décembre 1980 pour que le Sénégal adopte le 24 avril 1981 le « multipartisme intégral » censé transformer le PS lui-même plus en parti politique qu’en arène de rivalités entre barons et de distribution

chambres, le droit d'association et de réunion permet le création de parties politiques organisés qui font campagnes. En effet, en Angleterre par exemple, il y a un bipartisme: les travaillistes et les conservateurs, mais dans les autre pays on a des multipartismes tel que, des parties de droite, de centre et des parties socialistes. Le suffrage universel est principalement masculin dans les pays de l'Europe. En effet, les femmes n'ont toujours pas le droit de vote hormis sous la monarchie

l’individualisme, le fascisme apparaît ainsi comme un refus systématique de l’ordre politique, économique et social qui s’était progressivement instauré, au cours du XIXe siècle, dans la plupart des sociétés occidentales et dont le parlementarisme, le multipartisme, la garantie des droits et des libertés individuelles, la pratique du «laisser faire, laisser passer» constituaient les caractères essentiels. Refusant avec la même violence les principes du socialisme d’inspiration marxiste, le système de pensée

lance ainsi la « Glasnost » ou « transparence » qui vise à engager le pays sur « la voie des transformations démocratiques. Les élections libres, la liberté de la presse, les libertés religieuses, des organes de pouvoir et de représentation et le multipartisme sont devenus une réalité. » On tourne ainsi le dos au dogme fondamental du parti unique; des dissidents comme Sakharov sont libérés, les candidatures multiples sont acceptées... - Cette libéralisation suscite de nombreuses critiques dans « l'aile

longtemps de devenir heureux et prospère, a été liquidé. Une percée a été effectuée sur la voie des transformations démocratiques. Les élections libres, la liberté de presse, les libertés religieuses, des organes de pouvoir représentatif, et le multipartisme sont devenus une réalité. Les droits de l'homme sont reconnus comme le principe suprême. » B. La fédération de Russie pourrait depuis la fin de l'URSS être qualifiée de puissance libérale. C'est ce qu'espérait Eltsine. Seulement, certaines

délabrées). A la tête du pouvoir, la mise en place de ses réformes se heurtent à des lenteurs : elles sont dénoncées par un homme politique, pourtant proche de M. Gorbatchev, Boris Eltsine (à droite, p. 103). M. Gorbatchev a permis le retour du multipartisme, et B. Eltsine se voit soutenu par une grande partie de la population, il est connu pour être un ardent défenseur de la moralité en politique, qui manque cruellement dans l’U.R.S.S. des années 1990. Les élections législatives de février 1990