Muraille

autres familles en dehors des murailles à Karguentah. Le peuplement ne tarda pas à provoquer la crise du logement: les grottes des ravins du Murdjadjo sont habitées. La période turque s’achevait en 1831 avec le résultat d’une nouvelle ville construite avec ses cinq quartiers ainsi que les faubourgs qui se sont formés suite à la saturation de la ville. Les français complétèrent la structuration et l’occupation de Sidi Houari en se confinant à l’intérieur de la muraille pendant les douloureuses

qu’il avait déjà l’idée de la démocratie traditionnelle à Madagascar. 3- Porte d’entrée dans le Rova d’Ambohimanga en forme d’arcade, « l’arc de triomphé », qui présente la colonisation française. 4- Le mur d’Ambohimanga ou clôture : cette muraille est faite à partir d’un mélange d’argile rouge, des débris végétaux et aussi des blancs d’œuf ; les blancs d’œuf ont pour rôle de ciment pour la cohésion. A l’intérieur de l’enceinte d’Ambohimanga on peut citer : 5- La fosse

raideur. Mais on n’en pouvait rigoler nous du spectacle qu’à partir du cou, à cause du froid qui venait du large pendant ce temps-là à travers une grosse brume grise et rose et rapide et piquante à l’assaut de nos pantalons et des crevasses de cette muraille, les rues de la ville, où les nuages s’engouffraient aussi à la charge du vent. Notre galère tenait son mince sillon juste au ras des jetées, là où venait finir une eau caca, toute barbotante d’une kyrielle de petits bachots et remorqueurs avides

résidence aux seigneurs et de logement pour une garnison de soldats. Ils sont construits sur des | |hauteurs pour avoir de l'avantage dans les guerres. Pour encore mieux se défendre, les soldats font des trous longs mais | |étroits dans les murailles pour que les assaillants ne puissent pas atteindre facilement les défenseurs. Ceux-ci s'appellent| |des meurtrières. Les châteaux sont bordés par un fossé rarement rempli d'eau. La tour centrale, qui s'appelle le donjon, | |peut atteindre soixante

fonction de la Place 1. Aperçu historique La porte Bab Sidi Abdelwahab représente l’histoire architecturale de la ville d’Oujda. Cette place tient son nom du marabout Sidi AbdelWahab. Elle fait face au grand portail Est de l’enceinte des murailles qui la cité, à la tombée de la nuit, d’éventuels raids des bandits de grands chemins. Cette vaste esplanade était le cœur battant de la ville. C’était par-là que tout transitait. Les jours du souk, constituaient l’occasion pour nos ruraux

ne s’élève plus à la verticale comme à l’époque médiévale, elle se développe à l’horizontale faisant profil bas pour se dérober aux regards et aux tirs de l’ennemi. La construction elle - même change de nature. A première vue, le rempart est une muraille de brique parsemé un peu partout de bloc de granit. Mais cette maçonnerie faite de couches superposées, n’est qu’un habillage derrière lequel se cache un épais remblai de terre, capable d’encaisser le tir du canon. Le granit que l’on a fait venir

les glissent soudain en des sous-sols de feu; Des ponts s'ouvrant par le milieu, Entre les mâts touffus dressent un gibet sombre Et des lettres de cuivre inscrivent l'univers, Immensément, par à travers Les toits, les corniches et les murailles, Face à face, comme en bataille. Par au-dessus, passent les cabs, filent les roues, Roulent les trains, vole l'effort, Jusqu'aux gares, dressant, telles des proues Immobiles, de mille en mille, un fronton d'or. Les rails ramifiés rampent

d’ombre Et les glissent soudain en des sous-sols de feu ; Des ponts s’ouvrant par le milieu, Entre les mâts touffus dressent un gibet sombre Et des lettres de cuivre inscrivent l’univers, Immensément, par à travers Les toits, les corniches et les murailles, Face à face, comme en bataille. Par au-dessus, passent les cabs, filent les roues, Roulent les trains, vole l’effort, Jusqu’aux gares, dressant, telles des proues Immobiles, de mille en mille, un fronton d’or. Les rails raméfiés rampent sous terre

de mort qui ne duit pas A gens peu curieux de goûter le trépas. Dans cette intention, une vieille masure Fut la scène où devait se passer l’aventure. Il y porte une corde, et veut avec un clou Au haut d’un certain mur attacher le licou. La muraille, vieille et peu forte, S’ébranle aux premiers coups, tombe avec un trésor. Notre désespéré le ramasse, et l’emporte, Laisse là le licou, s’en retourne avec l’or, Sans compter : ronde ou non, la somme plut au sire. Tandis que le galant à grands

honnêtes, regardant lepalais, regardant la cohue, et n'en demandant pas davantage ; car bien desgens à Paris se contentent du spectacle des spectateurs, et c'est déjà pourNotre Dame de ParisI - LA GRAND'SALLE 4 nous une chose très curieuse qu'une muraille derrière laquelle il se passequelque chose. S'il pouvait nous être donné à nous, hommes de 1830, denous mêler en pensée à ces parisiens du quinzième siècle et d'entrer aveceux, tiraillés, coudoyés, culbutés, dans cette immense salle du Palais, siétroite