Muraille

centre de l'univers, le phénomène urbain ne cesse de s'amplifier. Cernée de murailles jusqu'au XVIIIe siècle, la cité accueille la civilisation intra-muros. Aujourd'hui l'urbanisation s'étend hors les murs. « Ville : assemblage de plusieurs maisons disposées par rue, & fermées d'un clôture commune, qui est ordinairement de murs & de fossés. Mais pour définir une ville plus exactement, c'est une enceinte fermée de murailles, qui renferme plusieurs quartiers, des rues, des places publiques, & d'autres

« ainsi je raconte ». Ce sont des incises dans les tirets. Elles produisent un effet de réalisme, insistant sur le témoignage direct du narrateur. Le vocabulaire employé évoque des reptiles : "murailles lézardées", "tortueux", "grouillant". Il y a des allitérations en "r""furent d'abord", "raconte", "muraille". Ces allitérations renforcent la structure des strophes, cela rend plus cohérent. Il y a des phrases nominales (sans verbes). Le narrateur perçoit des sons avec des allitérations en "f" et en

1. La ville médiévale 1. Les structures urbaines Avec ou sans murailles, la ville a une forme. Cette forme dépend d’abord du site géographique. Il y a des villes de plaines, des villes plates. Mais la plupart des villes recherchent les terrasses, les buttes, les collines. Pour y être à l’abri des inondations, pour se défendre. Le cœur des villes est parfois tortueux. C'est un dédale de ruelles. Ce désordre vient de l'empreinte féodale souvent fortement marquée sur le sol urbain. Les limites

l'existence de l'État, forme d'organisation politique héritée de l'histoire occidentale et qui s'est universalisé que très récemment avec le mouvement mondial de décolonisation. Dans l'histoire de nombreux murs ont été hérigées entre les peuples. La murailles de Chine voulait empêché les ennemis de pénétré le territoire, avec une organisation politique impérial, c'est la conquête que l'on redoute, de même que le mur d'Hadrien au sud de l'Angleterre voulait empêché les invasions écossaises dans l'empire

», ou dans l'Ouest où elle se nomme « placître ». Le « village rond », dans lequel les maisons jointives entourent une place. Un seul chemin pénètre dans le village, et l'arrière des maisons, avec une intention défensive, forme d'une muraille peu percée d'ouvertures comme dans les régions de passage. Le « village perché », dont le plan s'adapte à la pente d'un relief, avec des ruelles étroites et parfois en escaliers comme dans le Midi. Les paysages de villages ont

ouvrage particulièrement original, une tour-porte-pont qui ne semble pas avoir d'équivalent. Le château de Charles VII La moitié du périmètre fortifié n'a pas été construite par les français, vu que le château a été construit sur un angle de la muraille entourant la ville. L'ampleur du chantier est limité. La grande affaire est donc la mise en place des deux fronts vers la ville. La construction a pu se faire sans contrainte, pas d'expropriation sont effectué, d’où la volonté de pouvoir faire un

massivement avant destruction par le feu pour éviter une nouvelle attaque pas loin des remparts et quartiers qui ne servent à rien. Ils détruisent l’abbatiale en quelque jours pour éviter les pillages. Fait des destructions pour faire des fossés et muraille, dégagé des champs de tir. Faut lever les impôts. Les gens des villes se défient des gens de guerre et veulent se défendre sans eux. Ils salarient eux-mêmes des défenseurs, qui sont dans leur dépendance. Riche négocie avec l’état royal un certain

ouvrage avancé de forme triangulaire, hérissé de cinq tours, constitue la première défense de la forteresse. Un large fossé de 12 mètres de profondeur l'entoure. Si l'ennemi parvient à se rendre maître de cette bastille, il se heurtera à de hautes murailles d'enceinte. Il lui faudra franchir ce rempart crénelé pour arriver dans la basse-cour, puis devant le château proprement dit, protégé par une seconde enceinte entourée d'un second fossé. Le donjon A l'intérieur de l'enceinte bossuée se

romains. Les travaux furent entrepris au milieu du XVIe siècle. La fortification de la Ville-Neuve, elle, fut entreprise dès décembre 1603, et devait être achevée en 1620. On laissa la muraille entre les deux parties de la ville. L’actuelle Place Stanislas était à l’époque un « No Man’s Land », entouré de murailles et séparant la ville neuve de la vieille ville. Schéma de la ville neuve et de la vieille ville sous Charles III 1. Constructions défensives Parmi les vestiges de l’époque,

aux obsessions de l'insupportable conscience, la plupart de ceux qui occupaient la salle avaient, depuis longtemps, assassiné leurs "âmes", espérant, ainsi, un peu plus de bien-être. Comme j'écoutais le bruit des robinets de cuivre, scellés à la muraille, et destinés à l'arrosage quotidien de ces restes mortels, le souvenir du roulement de la voiture me revint à l'esprit. - A coup sûr, me dis-je, il faut que ce cocher ait été frappé, à la longue, d'une sorte d'hébétude, pour m'avoir ramené, après