Musée de cire

au Cyclope, copie romaine d'un original de la fin de l'époque hellénistique, musée Chiaramonti La guerre de Troie ayant pris fin, Ulysse erre sur la mer après avoir provoqué le courroux de Poséidon. Ses errances comprennent notamment l'épisode des sirènes poussant grâce à leurs chants enchanteurs, les navires vers les récifs ; Ulysse, prévenu par Circé, demande à son équipage de se boucher les oreilles avec de la cire ; quant à lui, il se fait attacher au mât du bateau car il voulait écouter leur

qu’un tableau mythologique, c’est aussi une allégorie. La déesse, personnification de la Sagesse, représente ici l’intelligence triomphant des bas instincts, symbolisés par le centaure. 2.Sandro Botticelli, Minerve et le Centaure, v. 1480, Florence, musée des Offices. 8 LES IMAGES SACRÉES Les images sacrées ont été codifiées par l’Église: aucune figure inhabituelle ne devait trouver place dans les lieux de culte, et l’art devait servir d’instrument de vulgarisation et d’enseignement pour le peuple

traditionnellement de chaudrons de cuivre inclinés et à moitié ouverts. La | |rotation fait tourner les noyaux en permanence ce qui permet d'assurer une dragéification régulière. Puis, les dragées sont lissées, | |c'est-à-dire leurs surfaces sont enduites de cire afin de leur conférer leur bel éclat régulier. La surface ainsi lissée constitue une | |protection idéale contre l'humidité et d'autres influences externes. C'est d'ailleurs aussi la raison pour laquelle les dragées peuvent| |se conserver sur une

roman, appuyant celui-ci sur une recherche documentaire très riche. Dans sa critique, Henry Houssaye compare le roman naturaliste aux sculptures anatomiques de Jules Talrich : « On pourrait comparer L'Assommoir à un musée anatomique. Si exactes et si curieuses que soient les figures de cire de M. Talrich, ce n'est point là de l'art. Il en est ainsi de L'Assommoir, qui appartient moins à la littérature qu'à la pathologie »14. La droite reproche à L’Assommoir son « écœurante malpropreté »15 et la gauche

d’information sur l’histoire de la cryptologie. Certaines machines à chiffrer sont exposées au Musée canadien de la guerre à Ottawa. On trouve des musées qui traitent (de façon partielle ou exhaustive) des aspects historiques de la cryptographie aux États-Unis (au National Cryptologic Museum près de Fort Meade au Maryland), en Grande-Bretagne (à Bletchley Park près de Londres) ainsi qu’au Canada (au Musée des communications et de l’électronique de Kingston, en Ontario). Il est assez facile de trouver

juin 1594, et décèdera le 19 novembre 1665 à Rome où il était parti chercher sa femme pour la ramener à Paris. C’est dans les années 1637-1638 que POUSSIN fit la peinture : Les Bergers d’Arcadie. Une peinture à l’huile, qui désormais se trouve au musée du Louvres à Paris. Il mesure quatre-vingt-cinq centimètre de hauteur sur cent vingt et un de largeur. Dans ce tableau, Nicolas Poussin représente un paysage sauvage, l’Arcadie, une sorte de paradis terrestre dans la mythologie grecque antique. Au

dans un croquis fugace, rapide et amoureux de son sujet. Laurent Busine -3- Pour une présentation commentée de l’exposition, veuillez vous référer au guide du visiteur . Ce guide bilingue (français – néerlandais) est en vente au musée au prix de 1 €. En tant qu’enseignant, vous pouvez le recevoir gratuitement. Veuillez contacter le service des réservations : Marie-Jeanne Vanaise : 00 (32)0 065/ 613 867 marie-jeanne.vanaise@grand-hornu.be -4- La visite active destinée aux

l’architecture que l’on ne peut pas perdre. Que l’on doit utiliser. » Alvaro Siza, architecte, extrait du DVD Architectures, vol. 1. Collection Architecture - Éd. Arte Vidéo – 2001. Introduction Collégiens devant le mur de verre, salle Pierre Soulages, Musée Fabre, Montpellier. BLP Architectes Bordeaux/Atelier Architecture. Emmanuel Nebout, Montpellier. © Photo : Odile Besème | Si la fonction première de l’architecture est d’abriter et de protéger l’homme, l’histoire de l’architecture témoigne d’une

consommation, distance que nous ne pouvons pas abolir. Ni renier. Cependant, l'art contemporain a su brouiller tous les repères. Entre l'égouttoir de ma cuisine et l'égouttoir placé dans un musée où est la différence? Entre ma poubelle dans la rue et la même poubelle arrosée de peinture dans un musée où est la différence? L'art contemporain surprend dans sa créativité, mais aussi par l'audace qu'il déploie à vouloir élever au rang d'art n'importe quel objet, n'importe quelle forme, n'importe

francs de chiffre d'affaires. 1973 : La France entre dans la crise, avec le choc pétrolier. Le jeans s'impose comme un bien de très grande consommation. Le marché se développe de façon exponentielle jusqu'au début des années 1980. À New York, le musée d'art contemporain expose pendant deux mois une sélection de jeans décorés et attire 10 000 visiteurs. 1978 : Apparition du stone-washed, un traitement qui consiste à bombarder le tissu de petites pierres ponces. 1981 : Le marché français plafonne