Musée Rodin

sont laissés à la charge du commissaire de l’exposition. Elle laisse aux autres le choix de donner une forme finale à ses œuvres et elle n’hésitait pas lorsqu’elle exposait à laisser les visiteurs créér et assembler ses pièces manufacturées. MUSEE DES ARTS PREMIERS/ COMPTE RENDU DE VISITE : Titre de l’exposition: La fabrique des images Ce que je dois retenir : Il s’agit à travers cette exposition de réfléchir sur la perception des humains et des non-humains à propos de caractéristiques

échappe de peu à la démolition, grâce à pertinacité de quelques captiver dans les années 1970. Après une très verbeux restauration visant à lui dresser tomber sur son état origine, et garantir son vérité de navire-école, il est, aujourd'hui, un bateau musée qui peut-être pratiquer dans le port de dunkerque. Utilisé dans le disposition actions de communication événementielle, mais constituer sans appel à quai, sa notoriété égale pas celle du belem qui bénéficie, pour sa part, des effets médiatiques des

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Chirac, le maire de Paris, va donner son accord. Les projets retenus sont les suivants : la Villette ; l’Opéra Bastille ; la salle de rock porte de Bagnolet ; la Tête Défense ; le transfert du Ministère des finances; l’Institut du Monde Arabe et le musée d’Orsay. On peut dire que tout sera réalisé sauf la salle de rock de Bagnolet. Il sera également prévu l’organisation d’une exposition universelle en 1989 pour célébrer le bicentenaire de la Révolution française. Diapo 5 + 6 Ainsi, il est

D'ou vient le succès de ce tableau??? Le succès de ce portrait vient du léger sourire de Mona Lisa, détail très inhabituel pour l’époque, mais aussi de la technique de peinture employée : Léonard de Vinci a utilisé un nouveau procédé, le sfumato (l’estompé), pour représenter l’arrière-plan et les traits de Mona Lisa. Cette technique consiste à mélanger les couleurs en superposant de très fines couches de peinture, de façon à adoucir les formes et les contours, comme un voile de fumée. Le résultat

Francisco de Goya Francisco de Goya nació en el año 1746, en Fuendetodos, localidad de la provincia española de Zaragoza, hijo de un dorador de origen vasco, José, y de una labriega hidalga llamada Gracia Lucientes. Avecinada la familia en la capital zaragozana, entró el joven Francisco a aprender el oficio de pintor en el taller del rutinario José Luzán, donde estuvo cuatro años copiando estampas hasta que se decidió a establecerse por su cuenta. Antes de su viaje a Italia en 1771 su arte es balbuciente

jusqu'à l'âge de 20 ans, puis, doué en dessin, il est envoyé à Cherbourg par son père, grâce à des relations dans la bourgeoisie locale, pour apprendre le métier de peintre auprès de Paul Dumouchel et de Langlois de Chèvreville. A cette époque, ouvre le musée Thomas-Henry, et Millet s'y exerce en copiant les toiles de maîtres et s'initie aux maîtres hollandais et espagnols. Le conseil municipal de Cherbourg et le conseil général de la Manche lui octroient ensuite une pension pour qu'il puisse continuer