Muses Et Inspiration

portrait du paresseux par le poète. A. Le lieu. Pour se décrire, le poète n'hésite pas à se moquer de lui-même, il se met en scène en train d'écrire quelques vers à son ami Baudouin. ("Cher Baudouin" vers 13) Loin d'être inspiré par les muses, il est vautré dans un lit (vers 2). C'est à ce lit que renvoie l'adverbe "là" (vers 5) qui ouvre le deuxième quatrin. Et ce sont les draps de ce lit qu'on apperçoit dans le dernier tercet. Ce n'est pas un de ces lits sur lesquels les précieuses se

reste dans le stérotype du poete , une personne romantique et optimiste a l'interieur , mais pessimiste sur les sentiments humain a l'exterieure ! Comme pour tant d'autres baudelaire puisse son inspiration dans ses relations avec les femmes . Nous allons aborder tout au long de cette presententation ses muses baudeleriennes qui on telement inspirer baudelaire dans bon nombres de poeme des fleurs du mal III) jeanne duval On sait peu de choses sur cette femme, une mulâtresse qui hantera

mais d’une inspiration qui leur est communiquée par les dieux. Les poètes et les rhapsodes ont pour rôle de servir d’interprètes entre les dieux et la population, ce qui a pour effet de créer une véritable « chaîne d’inspirés » : les dieux et les muses, d’abord, insufflent l’inspiration dans l’esprit des poètes, qui écrivent leurs vers sous l’emprise de cette force surnaturelle. Les rhapsodes, ensuite, vont de cité en cité pour réciter ces poèmes et, possédés par la même inspiration divine, communiquent

Je te donne ces vers... Charles Baudelaire Introduction      Ce poème fut écrit par Baudelaire et est un extrait des Fleurs du Mal, publiée en 1857. Ce texte est inspiré par la malédiction des muses, le poète ne dépend donc plus de sa muse, et c'est ce qui fait la modernité de ce poème. Comment Baudelaire parvient-il à associer modernité et tradition dans ses poèmes ? Pour répondre à cette problématique, nous verrons dans un premier temps le poème soumis à la tradition, puis dans un second

de dislocation des regles classiques. Il s'agit pour les romantiques d'assouplir la métrique, d'innover en recherchant l'expressivité du vers. La mythologie constitue pour Hugo, un reservoir d'images tres riches dans lequel il va puiser son inspiration. Mise en scene assez espiegle, revelant toute l'audace du poete, irréverencieux à l'égard de ces grandes figures mythologiques. Ce choix de mise en scene répond a un parti prix, a une stratégie argumentative de Hugo, qui emprunte au classique ses

pendant le courant poétique du romantisme, les Muses sont des jeunes femmes charmantes et douces, la plupart du temps les compagnes des artistes, dont ils font des portraits mélioratifs, en accentuant en général sur leurs yeux, leurs sourires... Baudelaire ira à l'encontre même de ce stéréotype, en décrivant Jeanne Duval par ses cheveux, et en utilisant des métaphores étranges, comme par exemple des ports fourmillants... De plus, les poètes décrivent des Muses surprenantes, ce ne sont plus des jeunes

testament qui est le plus grand recueil d’épitre. L’œuvre de R sera aimée puisque c’est la muse qui en choisit l’objet, le cardinal attire les muses. la célébration étant divine, elle ne peut donc que plaire. On retrouve cette idée accentuée par un rejet au vers 520 « Cette belle neuvaine, amoureuse en son cœur de vous » Je m’arrête là pour ce qui concerne les muses, on y reviendra après. Il faut juste encore remarquer ici que le terme « ma muse » nous dévoile un usage métonymique de la Muse, qui désigne

fantastique, mise en scène d’une danse comme un rituel religieux païen. -Dimension musicale : allitération en [s] et assonance en [é] et en [ou] ->Communion harmonieuse entre poète et muses. -Evocation des Anciens par « flamme » (=savoir) qui fait référence à Prométhée. 2- Revendication d’une inspiration personnelle : -« cœur » : métonymie des sentiments personnels. -Emancipation du poète qui à une position active et non plus passive. 3-Poète élu : -Position de supériorité par rapport aux

négligé, pas plus que celui du rythme. Enfin, vous accorderez une attention particulière aux figures et aux images, métaphores ou comparaisons. B) Le genre poétique : entre travail et inspiration 276 Plus que tout auteur, le poète a été vu dans la tradition littéraire comme celui qui est inspiré et reçoit son inspiration de Dieu (ou des dieux). Nous sommes là à l’opposé d’une vision plus moderne où l’art poétique est d’abord le résultat d’un travail exigeant et rigoureux (cf. les mouvements de l’Art

Nombreuses amours avec nymphes et mortelles. Le culte des Muses est lié au sien, il est le père avec Thalie de démons qui font partie du cortège de Dionysos, les Corybantes, le père d'Orphée avec Uranie ou Calliope. Il apprend l'art de la divination à Cassandre par amour pour elle mais comme elle se refuse à lui il lui retire le don d'inspirer confiance dans ses prédictions. Dieu de la musique et de la poésie sur le Mont Parnasse. Il préside au jeu des Muses. Oracles en formules versifiées. Il inspire les