Musset La Souffrance

Les caprices de Marianne est une pièce de théâtre parue en 1833 et écrite par Alfred De Musset. Cette pièce s’apparente au genre du drame romantique. Elle à été écrite sous la monarchie de Juillet mise en place après la révolution de juillet 1830 (les trois glorieuses), le climat politique est donc instable. Cette période (1830-1848) voit l’apparition du romantisme social avec ses revendications de liberté. Les caprices de Marianne se passe à Naples et met en scène trois personnages principaux :

j’espère vous le faire entrevoir. Ces poèmes sont, Elle était déchaussée, elle était décoiffée de Victor Hugo qui représente bien le romantisme grâce aux thèmes de la nature et de l'amour. Et ensuite le poème Non, quand bien même une amère souffrance de Alfred de Musset qui exprime l'amour et les sentiments impossible et témoignent les états d'âmes du poète ainsi que la subjectivité. Le surréalisme est un mouvement de la première moitié du XXème siècle, comprenant l’ensemble des procédés de création et

SEQUENCE 3 : On ne badine pas avec l’amour (1834) d’Alfred de Musset TEST DE LECTURE SUR On ne badine pas avec l’amour (1834) d’Alfred de Musset Vous répondrez à ces questions en faisant des phrases, et en justifiant précisément vos réponses lorsque c’est nécessaire. Vous soignerez votre expression ainsi que la propreté de votre copie (/1). 1) Dans quel lieu se passe la majeure partie de l’action ? (/1) 2) Qui sont Maître Blazius et Dame Pluche ? (/2) 3) Quel lien familial unit

Intro -Alfred de Musset est un poète et un dramaturge français de la période romantique, né le 11 décembre 1810 à Paris, où il est mort le 2 mai 1857 I-a)Les vers classiques se reconnaissent de manière visuelle (retour a la ligne, majuscule) et auditive (répétition d’un même nombre de syllabes, présence de rimes).Les vers les plus courants sont l’octosyllabes (8), le décasyllabe (10), l’alexandrin (12). On trouve aussi le monosyllabe (1), le dissyllabe (2), le trisyllabe(3), le tétrasyllabe (4)

promeneur solitaire (1782) Chateaubriand : voir, par exemple, le lyrisme dans Atala (1801) et René (1802), la nostalgie des paysages américains dans les Mémoires d’outre-tombe (1848). Les thèmes récurrents : la mélancolie, le moi en souffrance (expression des sentiments personnels →  lyrisme, élégie), l’histoire, la nostalgie, le goût pour la solitude, les passions, la nature, les ruines, la spiritualité, le désir de fuite, etc. L’adjectif

SEQUENCE 3 : On ne badine pas avec l’amour (1834) d’Alfred de Musset TEST DE LECTURE SUR On ne badine pas avec l’amour (1834) d’Alfred de Musset Vous répondrez à ces questions en faisant des phrases , et en justifiant précisément vos réponses lorsque c’est nécessaire . Vous soignerez votre expression

Résumé : Octave est un jeune homme de dix-neuf ans, très amoureux de sa maîtresse. Un soir, il apprend que cette jeune femme lui est infidèle. Octave tombe alors dans un état d’abattement et de souffrance. Son ami Desgenais tente de le ramener à la vie et l’initie à la débauche. Octave se laisse faire et couche avec de nombreuses filles, s’enivre, rit, se moque… mène une vie décadente. Un jour, il est appelé : son père est mourant. Octave se rend trop tard au chevet du mort. Il reste quelques

Alfred de Musset (1810-1857)Confession d’un enfant du siè?cle1,2 (1836)(Extrait)Par Robert Ferrieux|| Alors s’assit sur un monde en ruines une jeunesse soucieuse. Tous ces enfants é?taient des gouttes de sang brû?lant qui avait inondé? la terre ; ils é?taient né?s au sein de la guerre, pour la guerre. Ils avaient rê?vé? pendant quinze ans des neiges de Moscou et du soleil des Pyramides. Ils n’é?taient pas sortis de leurs villes, mais on leur avait dit que, par chaque barriè?re de ces villes

cette génération était donc, d'emblée, la poésie, mais la poésie conçue non comme un jeu formel et une virtuosité de la langue mais comme l'exaltation du moi. À la suite de Lamartine, pour lequel « la poésie, c'est le chant intérieur », Alfred de Musset défendit l'idée de lyrisme personnel et la conception du poète comme un être tourmenté, doté d'une sensibilité exceptionnelle, au point qu'il établissait un lien de cause à effet entre le désespoir ressenti et la beauté du poème : c'est cette idée

qui existe. Et cet envoûtement des hommes pourrait conduire jusqu’à la souffrance que celle-ci peut infliger aux hommes dans les cas les plus extrêmes. Alfred De Musset dans son poème “ A mademoiselle “ confirme cette souffrance par l'expression “ Vous avez le fatal pouvoir de nous jeter par un sourire dans l'ivresse ou le désespoir et nomme ce pouvoir comme un “ métier de bourreau “. Ces cas extrêmes iraient de la souffrance tel que l'infidelité , le mensonge ou même le désespoir mais le plus extrême