Mussolini Staline Et Hitler Totalitarisme

d'un pouvoir exécutif puissant. C'est l'un des fondateurs de la sociologie compréhensive, il va fortement influencer la sociologie moderne., et les chercheurs pour comprendre les phénomènes politiques le nazisme, notamment Ian Kershaw avec Le Mythe Hitler. Il meurt de la grippe espagnole. Il a fait de la sociologie car il n'a pas put faire de la politique. SECT.1 Typologie weberienne de la domination La domination ou le pouvoir s'exerce dans une relation qui est une relation de commandements et

Quant à l'entre-deux guerres, il est souvent encore jugé avec une très grande injustice. De ce que le système international centré sur la Société des Nations (SDN) n'a "tenu" que deux petites décennies, qu'il se soit révélé impuissant face à Hitler, on déduit fréquemment sa débilité intrinsèque et définitive. C'est oublier, et que les années trente connurent peut-être le contexte international le plus infernal de toute l'histoire, et que l'ONU, qui connut aussi (faut-il parler au passé?) d'interminables

1918 et qui a remplacé le lI Reich, ne survit pas à la crise des années 30. Profitant de cette grave crise économique et politique, Hitler est nommé chancelier d’Allemagne à partir de janvier 1933. En un peu plus d’un an, il établit une dictature totalitaire en étouffant l'Allemagne par la "peste brune" (surnom donné au nazisme). A) L'Allemagne des années 30 : Hitler et le nazisme I) La conquête du pouvoir par les nazis : Le NSDAP : "National-Sozialiste deutsche Arbeiter Partei", qui se traduit

liée avec les puissances de l’argent) serait donc un moindre mal, auquel nous finissons par nous résigner.             Démocratie et  totalitarisme L’Etat n’est cependant pas toujours un moindre mal. De fait, le XXième siècle a constamment oscillé entredeux systèmes politiques qui en constituent les  deux pôles : la démocratie et le totalitarisme. Le  totalitarisme , il faut y insister, n’est pas le despotisme. Il n’est pas non plus l’envers ou le négatif de la démocratie :  il est, très précisément

fonctionnalisme et le futurisme, à un retour au classicisme caractéristique des totalitarismes. L’évolution de l’architecture et de l’urbanisme résulte avant tout de la conjonction des réflexions artistiques naissantes, du développement technique et de la situation politique. L’entre-deux guerre est alors une période de grande innovation architecturale et urbanistique qui se structure en grands mouvements. La montée des totalitarismes marque l’essoufflement des avant-gardes, et l’utilisation idéologique

tentatives autoritaires, totalitaires. Le communisme n'est pas une idéologie nouvelle. Son accueil par le pouvoir soviétique et une innovation. A cette innovation, de nouveaux modèles d'organisation de l'État apparaissent: ceux de l'autoritarisme et totalitarisme. Le socialisme soviétique: A toutes les époques, les guerres ont accouché de nouveaux régimes politiques: rupture sans précédent en 1917 avec la révolution russe. A) des fondements communistes: le marxisme et le léninisme Le modèle

Bilan de la Seconde Guerre Mondiale Rappels La 2nde GM a vu s’opposer 2 camps : Les force de l’Axe : Allemagne (régime nazi d’Hitler) Italie (régime fasciste de Mussolini) Japon Le nazisme et le fascisme sont des régimes politiques totalitaires. Dans lequel l’état encadre totalement la société (culturel, économique, judiciaire, …) : c’est le « parti unique ». Les forces Alliées : Royaume-Uni (dès sept 1939) France (dès sept 1939) URSS (dès 1941) USA (dès 1941) La

“L’Allemagne nazie et la figure de Hitler” [pic] (Sources : http://eternity.xhost.ro/hitler.jpg) « Dans la haine nazie, il n’y a rien de rationnel. Nous ne pouvons pas la comprendre, mais nous devons comprendre d’où elle est issue et nous tenir sur nos gardes. Si la comprendre est impossible, la connaître est nécessaire parce que ce qui est arrivé peut recommencer. » [Primo Levi, les naufragés et les rescapés.] “L’Allemagne nazie et la figure de Hitler” 1 Définition d’un régime

politiques Allemagne) à société de Welfare.  Rupture dans relations Etat/Eco/social: peu d’Etat, plus d’Etat, trop d’Etat et mieux d’Etat.  Ruptures politiques : éco marquée par l’histoire politique, guerres mondiales, révolutions, dictatures ou totalitarismes, décolonisation, nouveaux dirigeants (Roosevelt); d’où orientations éco nouvelles comme Etats totalitaires (autarcie) ou URSS (planification, collectivisation). Idéologie et éco se mêlent. DIVERSITE DES RYTHMES DE CROISSANCE  Temps long

mobilisation des masses - développant une idéologie de la nation homogène dans le cadre protecteur de la souveraineté absolue. Depuis 1880, jusque dans les années 1960, ce monde des masses et du pouvoir vertical s’est imposé : la guerre totale, les totalitarismes, les génocides, et les plans d’extermination nucléaire en furent l’illustration la plus caricaturale. A partir des années 1970, ce monde connut de profonds bouleversements, laissant place à la fluidité, l’hybridité, la circulation transnationale