Mutilation

que plus de 60% des non-scolarisés sont des femmes. Ce manque de scolarisation et d’enseignement se reète dans le manque de représentation politique. §D'après le tableau on peut voir : §La mutilation génitale est une pratique qui existe depuis le Veme s av. jc. Elle est beaucoup pratiquée au Mali. Les mutilations sont exercées dans le but de traiter certains comportements vu comme étant des maladies comme la masturbation par exemple. De plus elles sont pratiquées sur les lles de 0 à 15 ans et celles

222-1 du Nouveau Code Pénal : actes de torture ou de barbarie (15 ans de réclusion criminelle) L.222-7 : violences ayant entraîné la mort sans intention de la donner (15 ans de réclusion criminelle) L.222-9 : violences ayant entraîné une mutilation ou une infirmité permanente (10 ans de réclusion criminelle et 150.000 € d'amende). L.222-11 : violences ayant entraîné une ITT pendant plus de 8 jours (3 ans d'emprisonnement et 45.000 € d'amende) L.222-13 : violences n'ayant pas entraîné

sexe à l’air. On note aussi l’absence quasi-totale de membres inférieurs, ils sont équipés de prothèses de pilons ou de jambes de bois articulées. Ces trois caricatures sont donc vraiment exagérées. Ils sont difformes, estropiés, affreux. Les mutilations renvoient bien sûr à la violence subie pendant la guerre mais aussi de l’impuissance des médecins à réparer les corps dont témoigne le recours à l’appareillage prothétique. Celui-ci s’apparente à une forme de camouflage ou de cache misère : il s’agit

et de l'optimisme .Sur le plan économique et morale « c'est a ce prix que vous mangez du sucre en Europe »qui dénonce le cynisme des Européens . Opposition entre les mutilations de l'esclave et le confort du sucre . Tout le monde semble profiter du système au prix du sang de l'esclave même la mare est montré comme avare .La mutilation physique « perte de membres » porte en elle celle des droits des libertés de la famille ect .Sur le plan religieux on observe un décalage entre l'absence d'actes des

soldats qui sont les plus exposés. 2. Boyaux = fossés étroits et sinueux qui mettent en communication les tranchées. 3. Capote = manteau militaire. 4. Les soldats font référence aux mines que les Allemands ont laissées sur le champ de bataille. 5. Mutilation = blessure grave affectant le corps. PREMIERE PARTIE QUESTIONS (15 points)

choqué le peintre pendant son service à l'armée sur le front, dans les tranchées. La description: L’œuvre représente les mutilations et la violence de la 1ère guerre mondiale et les gueules cassé. Fonction narrative: elle illustre les gueules cassé de la 1ère guerre mondiale. Fonction argumentative: elle dénonce les conditions de vie escécrable, la violence et les mutilations de la guerre. Au second plan on trouve sur la droite un porte manteau, au-dessus des 3 hommes sont affichés des journaux

psychologiquement ; en tant que musulmane, astreinte au conformisme, aux valeurs religieuses et tout ce qu’elles véhiculent d’impositions rétrogrades, et en tant que mère, ménagère, procréatrice et instrument sexuel à la disposition de son mari. Des mutilations sexuelles sont encore pratiquées sur les femmes dans des régions de certains pays arabes comme l’Egypte, la Mauritanie, le Soudan et le Yemen. Elles consistent en la circoncision du capuchon ou de la crête du clitoris, de l’excision, c’est à dire

buste surmontant un bloc quadrangulaire. Ils ont pour fonction de sanctifier et de marquer les limites : seuils, carrefours, etc. Thucydide note que les hermai sont retrouvés « mutilés à la face avant (περιεκόπησαν τὰ πρόσωπα)1 ». La nature de la mutilation reste sujette à débat : le nom employé, πρόσωπον / prósôpon, désigne le visage, mais le fait est que les hermai sont ornés d'unphallus dressé, en ronde-bosse, constituant une cible facile pour le vandalisme. Certains historiens, comme Jean Hatzfeld

l’insulte à l’attouchement. Aujourd’hui encore, une femme sur trois est victime de violences au cours de sa vie. Une femme sur trois victime de violences 130 millions de victimes de mutilations génitales D’après le site de l’ONU, plus de « 130 millions de filles et de femmes actuellement en vie ont subi des mutilations génitales féminines, principalement en Afrique et dans certains pays du Moyen-Orient ». Moins médiatisée que l’excision, une autre forme de violence, le « repassage des seins » fait

sexe à l’air. On note aussi l’absence quasi-totale de membres inférieurs, ils sont équipés de prothèses de pilons ou de jambes de bois articulées. Ces trois caricatures sont donc vraiment exagérées. Ils sont difformes, estropiés, affreux. Les mutilations renvoient bien sûr à la violence subie pendant la guerre mais aussi de l’impuissance des médecins à réparer les corps dont témoigne le recours à l’appareillage prothétique. Celui-ci s’apparente à une forme de camouflage ou de cache misère : il s’agit