Mutinerie

s’enterrent dans des tranchées. Leurs conditions de vie sont particulièrement difficiles, autant d’un point de vue psychologique que physique. Dans cette épreuve commune le mental des troupes est soumis à rude épreuve : certains craquent et choisissent la mutinerie, mais la grande majorité va décider d’être soudée dans l’adversité. Avec le début de la guerre d’usure et de position les hommes endurent d’abord physiquement, des travaux de terrassement épuisant, s’en suit des combats réguliers, nécessitant d’être

bolcheviks n’en organisent pas moins un coup d’Etat dirigé par Léon Trotsky, dans la nuit du 24 au 25 oct. 1917. C’est la révolution d’octobre. 3° L’échec de l’offensive Nivelle et les mutineries de 1917 Offensive au Chemin des Dames, en avril 1917. Cette boucherie inutile donne le départ à un vaste mouvement de mutineries qui culmine en mai et juin 1917. 4° La fin de l’Union sacrée L’année 1917 marque la fin de l’Union sacrée du gouvernement français avec le départ des socialistes du gouvernement.

finirons ce carnage tué depuis qu'il dure... A Soissons, ils ont tué deux gendarmes. Nous n'avons rien à gagner à la continuation de la guerre. Ça grè a l'air de chauffer grave à Paris avec les grèves. Tant mieux. » in G. Pedroncini, 1917, les mutineries de l'armée française, coll. Archives Julliard-Gallimard, 1968 Un tract datant de 1917, signé par des soldats appartenant à 10 régiments différents : souvenezoù frè resté « Camarades, souvenez-vous de Craonne, Verdun, Somme, où nos frères

l'infanterie; il termina la guerre capitaine dans les chars d'assaut non sans avoir été blessé, gazé, cité à l'ordre de la Nation mais aussi condamné cinq fois pour son action en faveur de la paix. Il voulu populariser ce chant en liaison avec les mutineries. Cette chanson est souvent perçue même encore comme un manifeste révolutionnaire et pacifiste. Cette chanson anonyme a sûrement plusieurs auteurs. Elle a continuellement évolué au cours de la guerre en fonction des lieux principaux de combat

Introduction Problématique: La première guerre mondiale, c’est : 1- une guerre totale (totalité de la société, de l’économie, des pays concernés) et la brutalisation des rapports humains. 2- la fin de la suprématie européenne : patriotisme chancelant (mutineries de 1917), régimes qui s’effondrent, déclin de l’influence internationale. 3- Les germes des temps nouveaux : armement, montée de l’influence américaine, triomphe du communisme en Russie, bouleversements territoriaux, évolution des mœurs, naissance

plainte, d'adieu ". Il y a une baisse de morale et une volonté de combattre qui n'est plus présente même chez les gradés qui sont comme leurs troupes, épuisés. On peut observer que ces faits de « légères révoltes » sont des évènements précurseurs des mutineries. 4)On peut dire que la société française est mobilisée dans son ensemble dans le conflit car tous les citoyens sont concernés. Notamment, dans le document1 où le gouvernement s'adresse au peuple. Puis l'on peut voir sur la photographie du

de fraterisation avec l’ennemi à Noël 1914 dans certaines tranchées. A partir de 1917, dans toutes les armées, de nombreuses mutineries apparaîssent : les soldats désertent. Ces derniers, sont alors fusillés par leurs camarades (un des fusils est dit chargé à blanc, chacun se persuade alors de l’avoir). En 1917, en France, il y a eu 629 condamnations mort pour mutinerie dont 75 éxecutions. LE PANTIN Une guerre totale Une mobiisation humaine sans précédents Cette guerre repose sur

Une guerre qui traumatise Peu de refus de combattre : en 1917, l’offensive du Chemin des Dames provoque la mutinerie de 40 000 soldats, non à cause d’une supposée propagande pacifiste, mais par refus des choix stratégiques de l’Etat major. 629 condamnations à mort, 75 exécutions. Pétain fait cesser les offensives inutiles et renforce le contact avec les soldats pour mettre fin aux mutineries. Banalisation de la violence, la réinsertion des Anc Combattants n’est pas toujours bien faite, en particulier

CRID. En effet : effritement de l'Union-Sacrée à partir de 1917, la SFIO sort. - 1917 Le refus s'exprime : dans les mutineries de avril à Juin, 40 000 hommes sont concernés: refus d'attaquer. La thèse de l'Historial de Péronne affirme que ces mutineries sont en réalité non un refus de la guerre, mais le refus d'une certaine manière de faire la guerre. Celle du CRID: ces mutineries sont bien révélatrices d'un refus de la guerre. → Grèves de 1918: affirmation politique demande la fin de la guerre:

(présence de rats dans les tranchées!). On observe également du noir symbolisant surement la tristesse nous conduisant alors a l’abaissement de moral de plusieurs soldats, la certitude de plus revoir sa famille qui conduit alors au mutineries, (1917, de nombreuses mutineries éclatent au sein des tranchée. Les mutinés sont exécuté par leur supérieur hiérarchique.) mais aussi la tristesse de partir a la guerre. Et puis, nous pouvons voir également l’apparition du blanc montrant peut être de la lumière