Mythe de fondation

1848, mais qui a perduré pendant tout le XIXe siècle et qui a eu une influence considérable non seulement sur la littérature, mais sur l’art et la société en général. I - Le poids de la RévolutionLa Révolution de 1789 est un mythe pour les écrivains romantiques. Le mythe a apporté le nécessaire idéologique à leur mouvement, c'est à dire la notion d'individu essentiel. Le Romantisme revendique la singularité et l'originalité de chaque personne. Par ailleurs, la destinée de Napoléon Ier nourrit

personnages secondaires tiennent au courant les héros de la pièce et les met à jour sur le déroulement de l’action, c’est donc un espace de transition 3 LA HORDE 1 Le héros tragique est enfermé, ne peut sortir sans mourir, captif et limité. À l’image du mythe d’Oedipe, la nature des hommes les pousse à vouloir tuer leurs pères pour épouser leurs mères mais une fois le père mort, les fils sont contraints de faire la paix pour ne pas s’entretuer = la « horde primitive » 2 Le Père, il est le grand dominant

sentiment de liberté et de sécurité. Plusieurs auteurs ont relevées cela. Tout d’abord Sfez, dans critique de la décision, parle du mythe de la décision. Pour lui, ce schéma traditionnel de la décision remplit trois fonctions : la première est de permettre à l’acteur d’agir, car si l’acteur se rappelle sans cesse tous les déterminismes, il n’agirait plus. Ce mythe de la décision lui laisse « l’illusion » de la liberté d’agir. Il s’agit pour lui d’une solution idéologique car on considère alors que

administratif et accorde à l’administré des droits de regard sur le fonctionnement de l’administration. Dans le prolongement du solidarisme, l’Etat est désormais assujetti au droit et placé au service du citoyen. Jacques Chevallier s’intéresse ensuite à la fondation d’une nouvelle théorie de l’Etat par Duguit se basant sur la notion de service public. La légitimité de l’Etat n’est assurée que dans la mesure où il se conforme au droit. Le service public est donc le « fondement et la limite » du pouvoir des gouvernants :

CENT ANS SOLITUDE de Gabriel Garcia Marquez Résumé : Cent ans de solitude est l'épopée de la fondation, de la grandeur et de la décadence du village de Macondo, perdu quelque part dans une jungle de l'Amérique du Sud, et de sa plus illustre famille. Dans son isolement, Macondo vit d'abord dans un monde orienté vers la magie sous l'influence des gitans qui détiennent le savoir. Puis l'Histoire entre en scène, avec les deux fils du fondateur José Arcadio Buendia, et c'est une suite

l'énonciation. Roland Barthes – Mythologies, Editions du Seuil, Paris, 1957, 233p LE MYTHE EST UNE PAROLE Naturellement, ce n’est pas n’importe quelle parole : il faut au langage des conditions particulières pour devenir mythe, on va les voir à l’instant. Mais ce qu’il faut poser fortement dès le début, c’est que le mythe est un système de communication, c’est un message. On voit par là que le mythe ne saurait être un objet, un concept, ou une idée ; c’est un mode de signification, c’est une

voire, si l'on s'en tient à certains propos de Platon (Cf. Platon, Le Sophiste, 242 cd), muthologos, « raconteur de fables, d'histoires de bonnes femmes» - autant dire qu'aux yeux de la philosophie constituée, établie, institutionnalisée par la fondation d'écoles, comme l'Académie et le Lycée, où l'on enseigne à devenir philosophe, le sage Thalès, en faisant démarrer les recherches des Milésiens, n'a pas pour autant franchi le seuil de la nouvelle demeure. Mais, si résolue que soit l'affirmation

autre espèce animale par son image physique et par sa conscience, elle représente pour l'homme un état d'innocence qui est inné. La nature de l'homme définie l'homme dans son état « sauvage », ce dernier doit alors recourir à la ruse comme dans le mythe de Prométhée et Epiméthée (Platon, Protagoras) afin de se détacher de cet état et s'en rendre comme « maitre et possesseur » selon la formule de Descartes, ce dernier voyant la nature comme quelque chose de perfectible pour chaque être humain. L'homme

séduire les autres par sa pureté, sa gentillesse et son naturel. A la fin du roman Octave Mouret va la demander en mariage. Octave Mouret : Directeur et riche propriétaire du grand magasin le Bonheur des Dames, veuf de Madame Hédouin morte dans les fondations du magasin. Il a le sens des affaires et exploite la faiblesse féminine. Il met en œuvre une stratégie pour attirer la clientèle : baisser les prix, augmenter le nombre de rayons pour diversifier la marchandise, soigner la présentation des étalages

de gouvernement universel de la chrétienté va s’affirmer en mythe politique. L’église romaine est menacée d’éclatement, par le développement de tendance méfiante. L’unité de l’église doit être protégée contre l’hérésie, qui est un crime religieux, un crime contre la foi. Le Pape organise une lutte cotre ces hérésies. Préserver l’unité de l’église, prend la forme de la prédication (convaincre par la parole à la fin du XIII la fondation d’ordre religieux fondé à Toulouse -> ordre des frères prêcheurs)