Mythe Hiram

Antigone Jean Anouilh 1) Avant la première étude en classe Le prologue. L’Antigone de Jean Anouilh est inspirée de l’Antigone de Sophocle, grand tragique grec qui a vécu au Vé siècle. 2) Un mythe est un  Récit légendaire mettant en scène des personnages imaginaires (dieux, demi-dieux, héros, éléments naturels) d'une façon allégorique  3) Antigone est une pièce des années noires, lorsque la France connaît la défaite face aux armées nazies et elle tombe sous l'Occupation. Nous étudierons


Madame,
ou
le
perdre
à
vos
yeux.
 
 
 
 
 




(Andromaque,
Acte
III,
scène
VII)1
 
 Racine
était
expert
en
théâtre,
mais
aussi
en
la
reprise
de
contes,
mythes,
and
 histoires
anciens
;
Andromaque
est,
bien
sûr,
une
telle
pièce.
L’origine
de
ce
mythe
 faisait
partie
de
L’Iliade
d’Homer,
mais
il
était
le
sujet
principal
pour
la
première
fois
 dans
une
pièce
ancienne,
Andromache,
écrite
par
Euripide.
Voyons
la
genèse
de
cette
 femme
fascinante
qui
a
ses
racines
dans
la
littérature
grecque.


banquet de Platon, que va reprendre Marsile Ficin dans ses recherches, qui servaient a exprimer des vérités philosophiques ou des croyances mystiques. Par exemple Vénus et l'amour de Spranger que l'on a longtemps considéré comme une illustration du mythe de la vengeance de Vénus a l'égard d'Apollon, pourrait être rattaché au thème de l'amour divin, qui dans les écrits néo-platonicien est souvent associé au soleil. Vénus et adonis a fait l'objet d'une interprétation semblable, porteuse d'un message

fois. Quant à Derville, le double de l’auteur, il est à la fois le témoin de cette histoire et l’auxiliaire de Chabert.             Le Colonel Chabert repose sur une structure légendaire de base : c’est, depuis Martin Guerre et Boris Godounov, le mythe de l’Usurpateur et de la légitimité bafouée. Dix ans après l’annonce de sa mort, Chabert est un second Ulysse, plus malheureux que son illustre prédécesseur. Mais sur ce fond de légende, l’auteur bâtit une intrigue judiciaire, un drame psychologique

dieux comme celui de Athéna et Héphaïstos pour en doter les Hommes, mais la tâche ayant été confié à Prométhée, c’est lui qui dut rendre compte du préjudice commit sur les autres dieux. Ce texte n’est pas un récit historique car il parle d’un mythe ; un mythe est un récit qui se veut explicatif, sur des éléments probables ou non et n’ayant pas forcément existé. Ainsi ce texte n’est pas un récit historique, mais un récit portant sur l’origine des qualités dont l’Homme a été pourvu. L’existence des

se superposent ici : il s'agit des eaux vertes du Rhin, de la couleur de la nature, de la couleur associée à l'au-delà dans les légendes celtiques, de celle également de l'alchimie, ou encore de l'absinthe. Si l'expérience individuelle rejoint le mythe, c'est parce que le poète se livre ici à une réflexion sur l'éternel féminin. On connaît l'importance des figures fémines dans la vie et l'oeuvre d'Apollinaire. Il oppose ici deux images de la femme, qui apparaissent dans les deux derniers vers des

gauche moderniste. Dans une deuxième partie, l’écrivain met en place une réflexion historique sur ce qu’est «le mythe aujourd’hui » ; il nous donne les mécanismes qui fonde la culture de notre époque. Tout d’abord, Roland Barthes définit le mythe comme une parole, comme un système de communication ou un message. Cette théorie semble correspondre à l’idée que l’on peut se faire du mythe. C’est pour nous une construction de l’esprit qui ne repose pas sur un fond de réalité. L’image qui vient en premier

Morin : la culture de masse naît de la rencontre des techniques de communication, du marché de la consommation et de la démocratie de masse. La culture de masse est un rapport au monde esthétique et désenchanté. La culture de masse est réaliste. Le mythe du bonheur individuel est subversif. Les mythes de la culture de masse sont réversibles. Dans les débats des années 60, beaucoup d’auteurs soulignèrent l’absence de définition claire de la notion de masse, celle-ci renvoyant tantôt à l’ensemble de

horribles car la présence « réelle » des héros sur scène frappe plus que le récit du poète (cette proximité permet de toucher le spectateur, le spectacle restant supportable grâce à l'éloignement temporel du héros issu d'un mythe). Enfin la tragédie va vers une interprétation du mythe. La diffusion de la tragédie est progressive : on trouve ses premières traces à Sicyone (Péloponnèse) puis ensuite l'Attique (où a lieu la première véritable représentation par Thespis en 534 au cours de Dionysies données

se refuse à faire de sa tour un symbole autre que moderne. Au contraire, il la met en scène dans son contexte réel : l'exposition universelle. - A partir de cette évocation la tour prend une autre dimension : la nouvelle Babel, elle réinvente le mythe biblique tout en rassemblant à ses pieds à l'occasion de l'exposition tous les peuples du monde. Cendrars a donc rejeté les temps anciens pour mieux les appliquer à la tour ensuite. Elle n'est pas le symbole des temps passés, mais elle est le nouveau