Mythologie égyptienne

fut à la base de sa fondation et de sa survie. La crue annuelle fertilisait les terres et l’abondance d’eau assurait la croissance des céréales. Le désert apparemment stérile regorgeait en réalité de minerais, y compris de métaux avec lesquels les Egyptiens s’initièrent à la fabrication d’outils. Ces mêmes outils servèrent à exploiter et à tailler les colossaux blocs de grès et de granite destinés à la construction de leurs statues et temples monumentaux et sans doute à ce qui constitue leur legs fondamental

LA MYTHOLOGIE ------------------------------------------------- Mythologie Le dieu Thor de la mythologie nordique affrontant les géants, M. E. Winge, 1872. La mythologie est (du grec μυθολογία, de μῦθος mythe et λόγος discours), soit un ensemble de mythes liés à une civilisation, unereligion ou un thème particulier, soit l'étude de ces mythes. Les chercheurs qui étudient les mythologies sont appelés « mythologues ». Comprise comme ensemble de mythes, la notion de mythologie est généralement

Intro : Il s’agit d’une civilisation bien connu grâce aux nombreux vestiges retrouvé. On connait l’art Egyptien depuis l’antiquité grec car un grand philosophe grec va faire plusieurs voyages en Egypte : PLATON. Il va ramener des objets d’arts, des descriptions qui vont influer les artistes grecs. Il y a donc interaction entre art égyptien et art grec (preuve : l’écriture). On redécouvre l’art égyptien pendant la renaissance XVème - XVIème siècle puis au XIXème siècle grâce à Napoléon qui fait plusieurs

Texte 1 : « Les animaux malades de la peste » Fables, 1678 I. Un récit divertissant. La Fable a comme vocation première de plaire aux lecteurs : Extrême brièveté de la fable avec le déroulement du schéma narratif entre le vers 1-62 : * Situation initial 1-14 * Elément perturbateur 15-24 : confession publique * Péripétie 25-54 * Elément de résolution 55-[forfait] * Situation final : « on le lui fit bien voir » L’auteur multiplie les effets de variétés dans la versification :

Etude : I - Une fable habilement men�e 1.Une Fable qui rappelle les r�cits mythologiques · R�cit · � Un mal qui r�pand la terreur � : allusion � �dipe de Sophocle (mauvais comportement des Hommes qui entra�ne des ch�timents avec la n�cessit� d�une victime expiatoire) · Id�e du destin · D�but r�cit mythologique puis sc�ne de th��tre, justice et enfin morale 2. Vari�t�, diversit� · Versification (rimes embrass�es qui lient les vers et longueurs irr�guli�res)

2. Suspense - Par l’attitude du cerf qui est singulière - Par l’attitude du roi Ces éléments participent à la dramatisation du récit 3. Coup de théâtre Par la réplique du cerf qui constitue une chute brève avec un retournement de la situation visible grâce à l’expression « A peine » B. L’alternance du récit et du discours 1. Alternance du récit avec les interventions du fabuliste 2. A l’intérieur du récit est inséré des paroles au D.D ( lion, cerf, foule ) ou D.I

* La constitution d'un mythe littéraire, à partir de réécriture, quelles pratiques ? Renaissance, avec des traductions de la tragédie de Sénèque, Euripide, aboutit à cette fameuse Phèdre de Racine. C'est un nouveau texte de départ pour des réélaborations ultérieures. Cette troisième vague se développe au tournant des XIX et XXè s, jalon du roman de Zola, La curée. Nouvelles réécritures de Phèdre, ressurgit à ce moment une prolifération de cette oeuvre dans la littérature, le sujet redevient alors

homme intelligent, si bien de sa personne, tel que Don José se laisse aveuglément mener à sa perte. Et depuis le début, l’on sait que Don José sera exécuté pour le meurtre de Carmen. Celle-ci symbolise la femme pécheresse. Telle que toutes les mythologies, les légendes et les fables l’ont décrite. Cependant, Carmen est bien l’histoire tragique de cette femme libre jusqu’à son dernier souffle. Outrepassant les interdits de l’époque, elle veut être libre, et en meurt. Se libérant des obligations

Texte : L'autre jour que j'étais sur le haut d'un degré, Passant tu m'avisas, et me tournant la vue, Tu m'éblouis les yeux, tant j'avais l'âme émue De me voir en sursaut de tes yeux rencontré. Ton regard dans le coeur, dans le sang m'est entré Comme un éclat de foudre alors qu'il fend la nue : J'eus de froid et de chaud la fièvre continue, D'un si poignant regard mortellement outré. Et si ta belle main passant ne m'eût fait signe, Main blanche, qui se vante être fille d'un Cygne,

Jean de LA FONTAINE Le Chêne et le Roseau Fables, Livre I, XXII (1668). ORGANISATION DES REMARQUES I/ L'art du récit :
 a- l'enjeu dramatique :
- la composition de la fable (dialogue puis récit) obéit à un schéma narratif classique (élément perturbateur : le vent, dont le thème domine toute la fable). La placidité du Roseau (attendons la fin) crée la tension dramatique.
- la double énonciation prépare aussi le lecteur : pesante argumentation du Chêne (mots de liaison) brossant un personnage