Mécanismes De Transmission De La Politique Monétaire

souveraineté de ces États membres (EM). Chaque EM conserve son identité, sa langue, sa capitale, sa nationalité. Objectifs de l’UE: Établir les fondements d’une Union plus étroite entre les peuples européens, sauvegarder la paix et rechercher l’unité politique. Assurer par une action commune le progrès économique et social (création d’un marché intérieur européen et renforcement de la cohésion sociale). Symboles de l’UE: la devise (« Unie dans la diversité »); le drapeau (cercle de 12 étoiles jaunes sur

est le premier compartiment du marché monétaire, il permet aux banques d’équilibrer leur trésorerie en compensant entre elles leurs excédents et déficits ou en ayant recours à Bank Al Maghrib en dernier ressort. De par la nature de ses opérations quotidiennes, une banque subit plusieurs fuites pour les raisons suivantes : ➢ Part de marché limitée : fuites vers les autres banques ➢ Retraits de billets ➢ Achats de devises ➢ Réserve monétaire Les trois premiers éléments sont appelés

pays (La Chine a une balance commerciale excédentaire). Etonnant : Les transferts unilatéraux, or dans une balance c’est tout ce qui sort et qui rentre d’un pays. Ce poste transfert latéraux représente une opération qui s’effectue sans contrepartie monétaire ou réelle, il peut s’agir d’une aide médicale ou règlementaire d’urgence qui a louée à un pays en difficulté ou sinistré. Ces différentes aides (exemple : pays qui a des difficultés passagères, …). Dans la balance des invisibles on intègre

acteurs que nous allons essayer de proposer dans les lignes qui suivront tout en commençant par les causes, ensuite par les conséquences et finir par les solutions.  La série “crise du subprime” commence ici et continue là. L’expression “fonds monétaires dynamiques” est déjà une contradiction, peu étonnante donc que le résultat réserve des surprises. Les subprimes sont des crédits à risque comprenant les prêts hypothécaires, les cartes de crédit, les locations de voitures, accordés aux États-Unis

seules à détenir le pouvoir de création monétaire. En effet, chaque fois qu'une banque accorde un crédit, la quantité de monnaie en circulation dans l'économie augmente, car ce crédit se matérialise nécessairement (au moins dans un premier temps) par un dépôt supplémentaire (la banque “crédite” le compte de l'emprunteur), que l'emprunteur utilise ensuite comme il le souhaite. Le système bancaire joue donc un rôle crucial dans le processus de création monétaire.  L'économie bancaire traditionnelle s'intéressait

car les échanges monétaires entre la BCE et les banques commerciales (de 2nd rang) impliquent des mécanismes de rémunérations qui peuvent avoir un impact sur la croissance économique. Par ailleurs, la monnaie peut être transformée en actif financier (actions, obligations, actifs dérivés etc) Ces titres financiers peuvent être à la base de crise de confiance qui impliquent des crises financières et monétaires. Il sera donc intéressant

Après la seconde guerre mondiale, et pendant de longues années, les politiques monétaire et budgétaire étaient privilégiées par les économistes. A partir de la fin de la décennie 1970 alors que la crise économique s'installait, les attitudes à l'égard de la fiscalité ont changé, principalement en raison de l'échec des politiques contacycliques de stabilisation et de l'émergence de l'économie de l'offre. L'intérêt pour la politique fiscale s'est accru durant les années 1990 dans les nations européennes

d’inflation et des taux d’intérêt très bas a réduit les occurrences de défauts de payements et donc la perception du risque. D’autant plus que la hausse des prix immobiliers, elle-même induite par cette expansion du crédit et soutenue par une politique monétaire accommodante, donnait l’illusion que ce risque était correctement couvert par la garantie hypothécaire ;   2. La seconde est structurelle : la déviance du système de titrisation de créances. La titrisation de créances permet une diversification

|Politique Economique | |Que faut-il penser du Policy mix de la zone €uro ? | | | |

partie réelle : le marché de biens et service, 2 variables : r taux d’intérêt  (concrètement r : le taux d’intérêt réel à ne pas confondre avec i taux d’intérêt nominal) Y le revenu (vu dans l’optique PIB, production du richesse) LM : la partie monétaire : demande – offre de monnaie  qui va trouver l’équilibre sur un graphique qui va lui aussi utiliser les deux variables r et Y. Quand le taux d’intérêt augmente, l’investissement diminue du côté de IS, du côté de LM il y a d’autres relations.