Méditations Métaphysiques Première Médiation

d’un processus historique, peut on imaginer qu’il y ait des évènements plus décisifs que d’autres, qui permettent une accélération de la connaissance de soi. La conscience de soi doit se développer, elle est scandée par des étapes. L’intuition de médiation qui lui permet d’être plus précise. 4. Psychologie : psyche logos, science de l’âme Quelles sont les conditions de possibilité de la connaissance de soi. I La Psychologie à l’épreuve de la science 1) La psychologie n’est elle qu’un

pas, que cette connaissance, que ce soit l'une ou l'autre suppose une intersubjectivité donc que les difficultés de l'une se retrouve dans l'autre et inversement. La connaissance de soi apparaît la plus simple car ce que je suis est ma première expérience et | |avant de connaître autrui, il faut que j'ai une connaissance d'un homme or quel peut-il être si ce | |n'est moi-même ? Et c'est bien en ce sens

Les figures du Moi et la question du sujet depuis la Renaissance Qu’es-ce qu’un « sujet » ? Le monde semble divisé en objets et en sujets. A première vue, le sujet c’est celui qui peut dire « je ». On peut dégager plusieurs sens du mot sujet : * Manière dont on parle : sujet de dissertation, sujet d’actualité… * Au sens grammaticale : sujet / prédicat = « Socrate est un homme » (Socrate sujet et homme le prédicat). * Politique : un sujet est celui qui est soumis à des lois ou

un reve on ne cherche pas à penser avec une logique. On se laisse vivre par les images qui défilent dans notre tete. Tandis que la réalité nous offre cette possibilité par le jugement et le doute. Tout comme ce que Descartes à fait dans "Méditations Métaphysiques". Cependant, il y a la possibilité d'un certain raisonnement dans les reves qui aboutissent immédiatement à la conclusion "je reve". En d'autres termes, le rêve possède une réalité propre : celle de l'imaginaire . Cependant le reve a une

| |  | | |La connaissance de soi apparaît la plus simple car ce que je suis est ma première expérience et | | |avant de connaître autrui, il faut que j'ai une connaissance d'un homme or quel peut-il être si ce | | |n'est moi-même ? Et c'est bien

D'autre part, ce qui fait l'originalité du rapport de la conscience à elle-même, c'est son immédiateté. Nul intermédiaire, nul médiation : la conscience se donne immédiatement. Pour Descartes, la vérité se saisit dans le présent et plus précisément dans l'instant.En effet, c'est au moment où je prononce "je suis, j'existe" que cette proposition est vraie (Méditations métaphysiques ). C'est dans l'instant où elle se donne que je l'éprouve dans sa vérité. Le présent est la seule chose qui échappe au doute

que son propre parcours peut être refait par tous car « le bon sens est la chose au monde la mieux partagée ». Les différences entre les hommes ne tiennent pas du bon sens mais du fait qu’ils en font usage de manières différentes. Dans ses Méditations métaphysiques (1637), on trouve « il me fallait entreprendre sérieusement une fois dans ma vie de me défaire de toutes les opinions que j’avais reçues jusque alors en ma créance et commencer de nouveau dés les fondements si je voulais établir quelque chose

différences dans la manière de s'exprimer, de rédiger ou plus ou moins approfondit. Désire de la part de l'auteur de le rendre le plus possible à la portée de tt le monde en rédigeant en fr (1 fois de l'hisoitre de la philo) et sous forme de récit, dans "méditations & principes de la philosophie" même principe mais moins simple. Dans ce texte, il aborde le thème de la vérité. Il expose sa démarche pour parvenir à cette vérité selon lui c'est le doute qui apparait comme le moyen ou outil le plus sur pour

reste toujours ouverte et à sonder de plus. Toutefois, la première vérité reçu ou atteinte selon la méditation cartésienne reste l’essence du moi, c’est-à-dire son existence et sa manifestation loin de toute autre entité ; «La vérité première, celle qui résiste à tous les efforts du doute le plus extravagant, au mal génie, c'est le cogito : je pense, donc je suis.»[footnoteRef:1] [1: DESCARTES (René), Les Méditations métaphysiques, éd. Bordas, 1987. ] Nous sommes des sujets

d’avantage celui que je rencontre à l’extérieur de moi ou bien une catégorie interne à la conscience ? En quoi la perception peut-elle être la première modalité de l’expérience d’autrui ? Et dans quelle mesure permet-elle déjà une intersubjectivité ? Si autrui ne se limite pas encore à l’objet d’une rencontre empirique, alors en quoi est-il une médiation nécessaire pour la conscience de soi voire même une catégorie interne à la conscience ? I) De l’oubli à la reconnaissance d’autrui 1) L’absence