Mémoire Collective De La Seconde Guerre Mondiale

l’a constaté en 1930, la guerre de 1914-1918 se distingue des guerres précédentes, d’un côté, par le déploiement extraordinaire des forces économiques, militaires et technologiques et, de l’autre, par la mobilisation totale des populations civiles qui lui ont accordé une nature de credo. D’après E. Jünger, la guerre totale n’est pas seulement une réalité militaire ou économique mais également « un phénomène d’ordre culturel ». Cet aspect culturel et idéologique de la guerre totale a été par la suite

Reconstruire l'Europe après la Première Guerre mondiale "Il est plus facile de faire la guerre que la paix" prononce Geroges Clémenceau le 14 juillet 1919 à Verdun, quelques mois après l'armistice du 11 novembre 1918 et quelques semaines après le Traité de Versailles qui cèle définitivement la victoire des Français sur les Allemands, cependant ce traité fait polémique et annonce un paix difficile en Europe. La Grande Guerre est vécue comme un choc sur le Vieux Continent car

LES MEMOIRES DE LA SECONDE GUERRE MONDIALE Introduction : Rousso "Un passé qui ne passe pas". Fin de la 2nde GM, la France sort victorieuse (grâce à la résistance et à l'alliance avec les USA), mais le pays est détruit et meurtri, les français sont divisés. La période entre 1940 et 1944 → "Les années noires" d'après Rousso, c'est une défaite, elle est occupée intégralement depuis le 11 novembre 1942, de plus il y a eu la mise en place du régime de Vichy + déportation de juifs et de résistants

Les mémoires d’une guerre : la Seconde Guerre Mondiale -lecture historique et réflexion sur mémoires/commemoration- I. Différences entre mémoire et histoire -Mémoire : souvenirs personnels et collectifs. Certaines ont été occultées par des évènements traumatisants ou par volonté d’oublier. Volonté de construire une « mémoire collective ». Les émotions sont prises en compte, le côté subjectif est majoritaire. -Histoire : Outils utilisés : groupes mémoriels, mais aussi archives, objets, sites

le texte de Thomas Ferenczi nous parle de la mémoire collective. Les commémorations sont elles dues aux mémoires collectives ? Tout d’abord, nous verrons la nécessité de la commémoration et dans un second temps les ambigüités de celle-ci. Tout d’abord on peut dire que les commémorations permettent surtout de répondre à la nécessité politique pour forger une unité politique ou nationale comme le précise Philipe Raynaud et l’article mémoire collective. La commémoration cherche à construire une identité

Des épisodes qui ont marqué la mémoire collective. 18 juin 1940 : L’appel du général de Gaulle. Le général de Gaulle s’oppose à la signature d’un armistice avec l’Allemagne. Il gagne Londres ou il lance un appel à la résistance depuis la BBC. Peu entendu a l’époque, cet appel donne naissance à la France libre et marque le coup d’envoi de la résistance. 22 juin 1940 : Signature de l’armistice à Rethondes. 2Guerre Mondiale (3 septembre 1939 à 22 juin 1940.) Le 16 juin 1940 le chef du gouvernement

L’œuvre d’Art Spiegelman permet d’aborder : Une période historique : Le XXème siècle et plus particulièrement la Seconde Guerre mondiale Un domaine artistique : Les arts visuels avec le média bande dessinée Une liste thématique : La thématique « Arts, Etats et pouvoir » mais aussi la piste d’étude « l’œuvre d’art et la mémoire : mémoire de l’individu, inscription dans l’histoire collective ». • Présentation de Maus BD événement signée par l’auteur new-yorkais Art Spiegelman, Maus est publié

septembre 1982. Ce massacre a été commis par les milices chrétiennes suite à l’assassinat le 14 septembre de leur chef, Bachir Gemayel, d'où le titre du film "valse avec Bachir". Valse avec Bachir s’inscrit dans le genre cinématographique du film de guerre et emprunte au registre documentaire agrémenté de scènes de fiction. Nous étudierons la déclinaison de ce processus dans un premier point. Mais ce film met surtout en évidence la résurgence du traumatisme vécu par son principal héros, Ari Folman lui-même

Salut ? DG disait de ses Mémoires, selon Alain Larcan : « Ce n’est pas un ouvrage d’histoire, mais le témoignage d’un homme, donc faillible et incomplet ». A la croisée du récit historique et de l’autobiographie, le genre des Mémoires pose nécessairement la question de l’écriture de l’histoire. Dans le dernier tome de ses Mémoires de guerre, Le Salut, le général de Gaulle raconte les derniers mois de la Seconde guerre mondiale et les premiers mois de l’immédiat après-guerre. Il s’agit donc d’un moment

de la Seconde Guerre mondiale, pendant lequel il fait perpétrer de très nombreux crimes contre l’humanité, dont la Shoah reste le plus marquant. L’ampleur sans précédent des destructions, des pillages et des crimes de masse dont il est le responsable, tout comme le racisme radical singularisant sa doctrine et l'inhumanité exceptionnelle des traitements infligés à ses victimes lui ont valu d'être considéré de manière particulièrement négative par l'historiographie, par la mémoire collective et par