Mémoire Courtage

La main coupée : résumé La main coupée est un des volumes des Mémoires de Blaise Cendrars .C’est un récit autobiographique racontant son expérience pendant la Grande Guerre. C’est seulement vingt ans après qu’il se décide à décrire cette guerre où il perdit son bras droit, et de nombreux compagnons d’armes. Ce livre est un recueil d’histoires où il rend hommage aux hommes qu’il a commandés et dont il se sent très proche. Sa connaissance de plusieurs langues lui permet de communiquer avec

dans un monde dangereux, violent, menaçant à cause des guerres, de l'agressivité quotidienne, des épidémies. Pour trouver un peu de sécurité, chacun faisait allégeance à plus puissant que soi. La solennité des serments visait à graver dans les mémoires des engagements qu'aucun écrit ne sanctionnait. Le jour où l'on prêtait serment, on faisait venir un petit garçon et on le giflait pour qu'il en garde le souvenir et puisse en témoigner jusqu'à un âge avancé. Ces serments solennels, ces engagements

Commentaire Compose : Préface des Mémoires d outre-tombe Introduction : Cette préface a été écrite en 1809. Chateaubriand  décide d'écrire ses mémoires(en 1803 ) après une déception amoureuse (Mme de Beaumont) En 1817, au cour d'une promenade dans le parc de Montboissier, il entend le chant d'une grive ce qui lui remémore son enfance dans le château de Combourg. C'est le déclic qui le fait se mettre au travail     I.L'introduction où Chateaubriand répond par avance aux critiques Chateaubriand

tour en 1683. En 1689, Madame de La Fayette compose la Mémoires de la Cour de France pour les années 1688 et 1689. Cet ouvrage sera publié après sa mort. A 59 ans, malade, Madame de La Fayette meurt le 26 mai " avec une piété admirable" comme l'écrit Racine. 27 ans après sa mort, publication de Henriette d'Angleterre. Puis en 1724,publication d’une courte nouvelle : Comtesse du Tende. Et enfin publication de la Mémoires de la Cour de France pour les années 1688 et 1689.

regroupant une combinaison de symptômes, en effet, la démence est définie comme une « diminution importante et irréversible des facultés intellectuelles. C’est une altération de la mémoire, de la pensée abstraite, du jugement et de la personnalité » 3 Pour l’O.M.S., c’est . une « altération acquise progressive de la mémoire et d’au moins une autre fonction supérieure, suffisamment marquée pour handicaper les activités de la vie quotidienne, apparue depuis au moins six mois ». Cette dernière définition

(Introduction) Dans les Mémoires d'une jeune fille rangée, Simone de Beauvoir a voulu écrire avec la plus grande sincérité les évènements de son enfance et de son adolescence. Dans un extrait de ce premier tome, nous analyserons les différentes caractéristiques du récit autobiographique, puis nous verrons comment Simone de Beauvoir décrit ses souvenirs et sa famille. (..) Premièrement, le récit est écrit à la première personne dans lequel "je" représente trois identités différentes. En effet

l’histoire ». Aussi, devant cette inflation de récits biographiques, on peut se demander si pour entreprendre le | |récit d'une vie, il faut que celle-ci soit "mémorable". Nous verrons l’intérêt que peut prendre une existence ordinaire pour la mémoire | |collective. Le fait de « n’avoir rien à dire », selon l’expression de Deborah Ross commentant les "Misadventures" de S. Smith, comporte | |cependant des limites que certains, aujourd’hui, n’hésitent pas à franchir. Il n’en demeure pas

la Monarchie élective, 1831), par des voyages auprès de la famille déchue, et par la publication d'un Mémoire sur la captivité de la duchesse de Berry (1833), mémoire au sujet duquel il est poursuivi, mais acquitté. Il publie également en 1831 des Études historiques, résumé d'histoire universelle où il veut montrer le christianisme réformant la société. Chateaubriand achève en 1841, « Mémoire d’Outre-Tombe » qu’il avait commencé à écrire depuis 1809. Dans cet ouvrage, il y racontait ses voyages

l’individu au temps. La fête est un moment privilégié, dont il importe de profiter. C’est un moment de jouissance, comme de ré-jouissance par son caractère le plus souvent cyclique. Pour autant, une fête n’est pas éternelle : elle est liée à la mémoire-faillible- de l’homme et à la variabilité de ses désirs. En ce sens, elle pose la question du rapport de l’individu au collectif. Elle serait, dans une société composée d’individus, le temps où se forge le sentiment identitaire. Faire la fête

Manifestations physiques : Le début de la DTA se caractérise par des oublis et des pertes subtiles de mémoire. Signes précurseurs de la maladie : * Difficulté à exécuter les tâches familières * Problème de langage * Perte de mémoire minant le fonctionnement quotidien * Désorientation dans le temps et dans l’espace * Jugement affaibli * Difficulté face aux notions abstraites * Objets égarés * Changements dramatiques d’humeur ou de comportement *