Mémorandum De Fontainebleau

britannique après 1979 (arrivée au pouvoir de Thatcher ). Un certain « europessimisme » sévit au début des années 1980 , alimenté par les effets de la crise économique mondiale. Pourtant , la situation évolue à la faveur du Conseil européen de Fontainebleau en 1984 et a partir de 1985 naît un nouvel espoir de relance de la dynamique européenne. Les accords de coopération se multiplient, encouragés par les alliés américains (OECE, OTAN) ou à l'initiative des Européens (Conseil de l'Europe, CECA).

élaborent un projet de déclaration des résistances Européennes. Ce projet inscrit dans la lignée de Blhum et de Spinelli évoque la nécessité de dépasser la souveraineté étatique en vue d’une future union fédérale. En 1942, W. Churchill rédige un mémorandum sur les Etats-Unis d’Europe. Partisan de la coopération entre les Etats, Churchill devenu 1er ministre Britannique, soutient la déclaration d’union Franco-britannique de 1940 qui prévoit des organes de coopération en matière de défense, de politique

minoritaires. Pas tous les intellectuelles engagés dans rapprochement > universitaires, catholiques. Normalisation après 1924-1925. 2. Une tentative de réconciliation dans les années 1920. a. Les projets. Locarno en 1925. Plan Briand en 1929. Mémorandum Léger en 1930. Rôle de Briand et de Stresemann. Rapprochement an parallèle avec stabilisation République de Weimar. Dynamique de rapprochement > prémices d’une volonté d’unir Europe sous égide SDN. b. Ambigüités et limites. Surtout du côté allemand

| |(BCE) | | | | Traités : Paris : , Rome : 57 – 58, Nice : 1942 : Winston Churchill rédige un mémorandum sur les Etats-Unis d’Europe Animés par la volonté de promouvoir l’unification du continent, différents mouvements d’opinion proeuropéens se réunissent à La Haye en présence de personnalités politiques et sous la présidence d’honneur de Winston

1969 et le premier élargisse- ment des Communautés, donc notamment l’entrée du Royaume-Uni dans les Communautés européennes. − La longue crise larvée des années 70 qui n’est surmontée qu’au milieu des années 80, après le Conseil européen de Fontainebleau en 1984, avec l’Acte unique et l’adhésion de l’Espagne et du Portugal. Au début de la période, une relance supplémentaire pourrait être évoquée puisque la déclaration du 9 mai 1950 permet de dépasser les déceptions et les lenteurs de l’Europe

la loi. À partir de 1925 il est le personnage le plus écouté à la SDN, qui regroupe à Genève depuis 1920 les principaux États. En ce qui concerne la construction européenne, Briand a été l’auteur du grand discours du 5 sept 1929, donnant lieu au Mémorandum de 1930. 1) Le discours du 5 septembre 1929 sur l’union de l’Europe Ce discours a été prononcé à la SDN et est célèbre à la fois à cause de son fort retentissement et parce qu’il s’agissait de la première proposition diplomatique

exploitations a été mise en place en France par les lois d’orientation de 1960 à 1962. Ces lois furent par la suite transposées plus ou moins en droit communautaire et constituèrent ainsi la base de la politique structurelle de la Communauté. Dès 1968, le mémorandum Mansholt soulignait que la politique des prix et des marchés avait ses limites. Malgré l’accroissement de la production et des dépenses communautaires, le niveau de vie des agriculteurs ne s’améliorait pas, d’où la nécessité de mettre en place une

positive et plus largement, tous les états présents à la SDN acceptèrent de discuter du projet Briand pour l'approfondir. → Mémorandum : note diplomatique Le mémorandum sur l'organisation d'un régime d'union fédérale. Ce mémorandum chargé de préciser les idées de Briand a été rédigé par Alexis Léger (poète réputé) qui a obtenue le prix Nobel de la Littérature. Ce mémorandum a été présenté devant la SDN le 1er mai 1930. Il sera jugé décevant par la plupart des partisans de la construction européenne

souveraineté, les autres demandant une fédération de l'Europe. * Le plan « Briand » de 1930 offre un exemple de la première méthode : en fait, les propositions présentées au nom du gouvernement français, telles qu'elles étaient formulées dans un mémorandum sur « l'organisation d'un système d'Union fédérale européenne » ne tendaient pas à autre chose qu'à la création d'une section européenne de la Société des Nations, groupant des Membres unis par des liens sensiblement plus étroits. * Les efforts

effet, la CECA le prouve. Les pays du Benelux relancent, Monnet entre en contact avec PH. Spaak qui porte le projet afin de coordonner celui-ci, avec l’aide du ministre néerlandais JW. Beyen et le ministre luxembourgeois J. Bech. Ceux-ci rédigent un mémorandum. En 1955, la conférence de Messine permettra la révision du projet. La conférence de Messine fut organisée pour désigner le successeur de Monnet à la CECA qui sera R. Mayeur par la suite. Ils affirment leur volonté d’aller plus loin dans la communauté