Mémorial Shoah

réalité historique des camps. J'ai relu attentivement le numéro de Mémoire Vivante consacré au concours de la résistance et à la déportation 2008-2009 publié par la fondation pour la mémoire de la déportation , www.fmd.asso.fr et le site du mémorial de la Shoah à Paris, www.memorialdelashoah.org. Ces 2 sites m'ont permis de mieux comprendre le mode de fonctionnement des camps : qui y était envoyé ? pour quelles raisons ? les conditions d'enfermement où ? J'ai compris aussi qu'il y avait plusieurs

victimes du génocide juif peuvent donc porter plainte et surtout demander réparation (ceci concerne surtout la restitution des biens confisqués pendant la guerre). Les biens qui n’ont pas pu être restitués servent aujourd’hui à financer le Mémorial de la Shoah (Paris) qui perpétue le souvenir des victimes juives. conclusion Les mémoires de la Seconde Guerre mondiale ont oscillé entre l’oubli (jusqu’à la fin des années 1960) et la volonté – lente et douloureuse – de se souvenir à partir des

politiq nazie d’extermination se radicalise. Les Einsatzgruppen* suivent l’avancée des troupes alldes et sont chargés d’exterminer (= la « Shoah par balles » = titre d’1 doc) en les fusillant tous ceux qui sont considérés comme des ennemis raciaux ou politiques (Soviétiq, Juifs, Tziganes, handicapés mentaux), soit + d’1 million de personnes entre 1941 et 1943. La Shoah** ≠l’objet d’1 plan longuement mûri à l’avance = résulte des opérations meurtrières engagées

l’identité juive, la singularité absolue de la Shoah et revendique sa place dans la société. + Associations juives des fils et filles de déportés de France fondée par Beate et S. Klarsfeld va se mobiliser pour jugés des responsables français et allemands (Barbie, Papon, Touvier) dans les années 80-90. Dans les années 80 -90 libérer la paroles des survivants : lutte contre le négationnisme doc. 3 p. 273 ; procès ; mémoriaux ; projection de film dont Shoah de Lanzmann ; intervention de témoins dans les

Europe, celle-ci étant indispensable aux nazis pour réaliser leur objectif de créer une race supérieure en éliminant les peuples considérés comme « inférieurs ». Problématique : Quels rôles la Seconde Guerre Mondiale a joué dans la mise en place de la Shoah et de la « solution finale » par le régime nazi entre 1939 et 1945 ? Plan : I) Début de la Seconde Guerre Mondiale et radicalisation de la politique nazie 1) L’Idéologie radicale nazie 2) La Seconde Guerre Mondiale : une sorte de diversion 3)

diaspora se mobilise en commémoration du génocide, et en France le réveil des mémoires qui rompt le silence -a partir de 64 aucun crime n'est mis de côté S.Klarsfeld fils de déporté veut faire jugé les responsable de génocide, publie en 78 un ouvrage "mémorial de déporté juifs de France" et cree une association en 79 -Klaus Barbie, René bousquet, Paul touvier, Maurice papon 2. Les hommes politique et l'histoire de la France des années noires -image moins glorieuse de la France occuper dans

Travail personnel Littérature  des   survivants  de  la  Shoah  :   dire  l’indicible   Analyse  interdisciplinaire  de  quatre  témoignages  de  rescapés   Auteurs Alan Friis-Lund & Jérôme Bays POÈME PLACÉ EN EXERGUE DE SI C'EST UN HOMME Vous qui vivez en toute quiétude Bien au chaud dans vos maisons, Vous qui trouvez le soir en rentrant La table mise et des visages amis, Considérez si c'est un homme Que celui qui peine dans la

victimes du génocide juif peuvent donc porter plainte et surtout demander réparation (ceci concerne surtout la restitution des biens confisqués pendant la guerre). Les biens qui n’ont pas pu être restitués servent aujourd’hui à financer le Mémorial de la Shoah (Paris) qui perpétue le souvenir des victimes juives. [Résumé] Les mémoires de la Seconde Guerre mondiale ont oscillé entre l’oubli (jusqu’à la fin des années 1960) et la volonté – lente et douloureuse – de se souvenir à partir des années

d'une pince métallique qui attrape des vêtements, les relève et les relâche inlassablement : ce processus est répété à l'infini dans un grincement désagréable. Ces tas de vêtements ne sont pas sans rappeler les images désormais bien connues de la Shoah, sur lesquelles on distingue des tas de chaussures ou d'effets personnels retirés aux personnes déportées lors de leur arrivée dans les camps. La chute des vêtements soulevés par la grue fait penser à des corps sans vie. Selon Boltanski lui-même, la

périodes récentes lorsque certains témoins, encore vivants, peuvent fournir des sources orales aux historiens. Parfois, l’apparition de débats mémoriels stimule la recherche historique, comme sur les questions dites « sensibles » : l’histoire de la Shoah, de la colonisation ou des traites et de l’esclavage. La méthode historique permet de mettre à distance le caractère des enjeux. L’historien Alainn Dewerpe a entrepris par exemple un vaste travail historique sur le massacre de Charonne alors que sa