Ménalque Phédon

Texte argumentatif 1 Travail de philosophie La Grèce est le berceau de la pensée occidental. Les philosophes grecques se questionnaient sur plusieurs aspects par rapport à leur environnement par exemple, la politique, la religion, les éléments et même les maths. Cependant, après la mort de Socrate, Platon se questionna sur la démocratie et commença à formuler sa propre idée de ce qu’est une saine gouvernance. Avec son œuvre, La République, Platon détruit la démocratie populaire et rêve à un

parmi les animaux, l'homme se sait mortel: cruelle certitude qui limite son horizon et l'oblige à composer avec sa propre disparition, comme avec celle des êtres auxquels il est attaché. Pour Platon, la mort est un «beau risque à courir». Dans le Phédon, Socrate définit la mort comme la séparation de l'âme et du corps; délivrée de sa prison charnelle, l'âme immortelle peut librement regagner le ciel des Idées, patrie du philosophe. Épicure tient la mort pour un non-événement, puisque jamais nous

Apologie de Socrate – Platon Construction des dialogues En 2 parties : 1er discours : Plaidoirie de Socrate (Introduction (Réfute les anciennes accusations (Réfute les accusations actuelles (Justification 2e discours : Evaluation de la peine (Commentaire de la sentence (Demande d’une récompense (Acceptation d’une amende 3e discours : S’adresse aux jurés (À ceux qui l’ont condamné (À ceux qui l’ont épargné Socrate était-il athée ? Socrate ne défend pas la religion, mais il défend

parmi les animaux, l'homme se sait mortel: cruelle certitude qui limite son horizon et l'oblige à composer avec sa propre disparition, comme avec celle des êtres auxquels il est attaché. Pour Platon, la mort est un «beau risque à courir». Dans le Phédon, Socrate définit la mort comme la séparation de l'âme et du corps; délivrée de sa prison charnelle, l'âme immortelle peut librement regagner le ciel des Idées, patrie du philosophe. Épicure tient la mort pour un non-événement, puisque jamais nous

telles que La République ou La Timée par exemple, nous parle de la musique et de ce qu’elle représente pour l’être humain. 2°) Platon et sa conception de la musique : b) Platon et sa conception de la musique Bien que dans le Phédon, Platon rejette la conception métaphysique de l’âme-harmonie, il accepte dans La République la conception psychologique de la structure musicale de l’âme. En effet, pour lui, les sons envahissent les trois parties de l’âme humaine. Il érigea ainsi

parmi les animaux, l'homme se sait mortel: cruelle certitude qui limite son horizon et l'oblige à composer avec sa propre disparition, comme avec celle des êtres auxquels il est attaché. Pour Platon, la mort est un «beau risque à courir». Dans le Phédon, Socrate définit la mort comme la séparation de l'âme et du corps; délivrée de sa prison charnelle, l'âme immortelle peut librement regagner le ciel des Idées, patrie du philosophe. Épicure tient la mort pour un non-événement, puisque jamais nous

allégorique (c’est-à-dire métaphorique) du propos. Socrate dit à Glaucon : « Représente-toi de la façon que voici l'état de notre nature relativement à l'instruction et à l'ignorance ».  Néanmoins on découvre, dans d'autres dialogues, notamment dans le Phédon, que Socrate considère le monde sensible comme la prison de l'âme. Quant au monde intelligible, auquel peuvent accéder ces mêmes âmes par la philosophie, il est la seule réalité authentique pour lui. L'allégorie de la caverne est pour Platon plus

place Platon occupait parmi les disciples de Socrate. Ces incertitudes sont d'autant plus remarquables que tous les dialogues de Platon, sauf Les Lois, mettent en scène Socrate, quoiqu'en ne lui donnant pas toujours le premier rôle. Quand, dans le Phédon[p. 40], Platon fait la liste des proches de Socrate ayant assisté à sa mort, il souligne sa propre absence par cette remarque : « Platon, je crois, était malade. » On ne saurait mieux faire sentir l'incertitude des relations entre Socrate et Platon

La philosophie, comme toute chose a un créateur. Selon Platon, le père de la philosophie serait Socrate. Platon est l’un des disciples de ce dernier et dans son livre L’Apologie de Socrate il fait la défense de Socrate dans son procès. Le jugement final des juges a été de mettre à mort le philosophe. Par contre cette nouvelle ne fait pas l’unanimité, puisque les tyrans et les disciples du mis à mort n’appuyaient pas cette décision. Donc, était-il juste de condamner Socrate? Dans le texte suivant

« Le philosophe moderne est souvent un fonctionnaire, toujours un écrivain, et la liberté qui lui est laissée dans ses livres admet une contrepartie : ce qu'il dit entre d'emblée dans l'univers académique où les options de la vie sont amorties et les occasions de la pensée voilées. Sans les livres, une certaine agilité de la communication aurait été impossible, et il n'y a rien à dire conter eux. Mais ils ne sont enfin que des paroles plus cohérentes. Or, la philosophie mise en livres a cessé d'interpeller