Métamorphoses Ovide Résumé

est psychologique, s’est une erreur de jugement sur le biens et le mal qui est une expressions d’une ignorance, capacité de juger et de recevoir des impression. Seul les trois émotions ne sont pas condamnable la joie, volonté et circonspection. Résumé : Qu’est qu’une passion d’un point de vue psychologique ? > un jugement faux Pourquoi condamner les passions ? > elle exprime une ignorance sur le bien et le mal, elle se base sur un opinion. Ce qui est bien est de vivre en accord avec la nature

lyrique ( amour, fuite du temps, beauté, nature )- Gagner l’immortalité grâce à l’Enthousiasme Dieu ( ἑ ν « dans » θ ἑ ϛ « Dieu »)- Pétrarque ( Laure ) / Dante ( La comédie humaine ) → L’enfer – Le Purgatoire – Le Paradis- Auteurs de l’antiquité : Ovide, Tibulle, Orace ( Carpe diem ) → Ronsard - Défense et illustrations de la langue française - Enrichir la langue française création de nouveaux mots, néologismeL’objectif est de faire concurrence au latin Philippe

¤Histoire résumé : Actéon fut changé en cerf car il avait vu de ses yeux mortels les divines courbes de Diane qui se baignait. Les chiens de chasse de ce dernier le tuèrent le prenant non plus pour leur maître mais pour un gibier. ¤Texte intégral : Il fut changé en cerf, et ses chiens de son sang s'abreuvèrent; mais il n'était point coupable : le hasard seul le perdit. Une erreur pouvait-elle donc le rendre criminel ? [143] Le Cithéron était couvert du sang et du carnage des hôtes des forêts

l’enfant voyage sur une charrette ; son voyage l’emmène dans l’espace ; le narrateur essaie de l’avertir des dangers qu’il court ; on ne sait pas ce qu’il est devenu. L’ajout de ces précisions sera valorisé. 2. Voici le résumé d’une autre histoire, racontée par Ovide dans les Métamorphoses au Ier siècle. Quels points communs voyez-vous entre cette histoire et celle de l’enfant du poème ? (2 points) « Phaéton était le fils du Soleil et d’une nymphe de l’Océan. Un de ses compagnons le met au défi de

-> les hommes se comportent comme autant d’Orphées plus avisés que leur modèle antique : « guidant leurs compagnes…et leur évitant… » II/ De la mise en scène d’un mythe à celle de la peste : une réécriture du mythe 1/Le mythe d’Orphée : -résumé ici ds les gdes lignes, sans le pittoresque d’Ovide - une mort prématurée du personnage : il sort vivant des enfers ds le mythe - la variation finale :le dénouement tragique différent du mythe : cet Orphée oranais du XXème siècle meurt de la peste

Le récit commence au milieu de l'action. - L'Odyssée (-720) : retour d'Ulysse, après la victoire grecque. Récit principalement écrit sur un flash-back. → œuvres complexes et intertextuelles.(résumés pages 11-> 19)Hésiode (milieu VIIIè siècle ACN) : poète didactique. - La Thégonie - Les Travaux et les Jours  : on y trouve le mythe des 5 âges du monde : Âge d'or : bonheur

v. 541 et ss. J JUSTIN, Première Apologie, 66, 3-4, trad. L. Pautigny, Paris, Picard, 1904. L à O Les mystères d’Egypte, 3. 11. LUCAIN, Pharsale, 5, 64-236. ODYSSEE, 3, 430-463, trad. V. Bérard, Paris, Les Belles Lettres, PUF, 1972. OVIDE, Métamorphoses 1, 166-180, trad. G. Lafaye, Paris, Les Belles Lettres, PUF, 1999. P Papyrus Berlin 3024. Trad. Par G. LEFEBVRE, Romans et contes égyptiens de l’époque pharaonique, Paris, Maisonneuve, 1949, p. 27-28. PAUSANIAS 9. 31. PAUSANIAS, 7. 22.

personne ne pourra jamais pénétrer sans se perdre et où sera enfermé le Minotaure. Dédale construit alors le célèbre Labyrinthe, dans lequel il sera lui-même enfermé avec son fils Icare pour avoir aidé Pasiphaé à séduire le taureau - selon Ovide (Métamorphoses), Minos n'enferme pas Dédale mais celui-ci, désirant regagner la Grèce, cherche à s'enfuir. C'est alors que prend place l'épisode de l'évasion de Dédale et d'Icare. Les enfants de Minos Minos et Pasiphaé ont de nombreux enfants, notamment

c'est pourquoi son oeuvre est à la fois si enjouée et si amère." FUMAROLI (Marc): "S'il est un lieu où tout le "siècle d'Auguste" vient se résumer, avec toute sa lyre et ses couleurs contrastées, c'est bien dans les Fables, où Virgile, Horace, les élégiaques, retrouvent leur voix sous celle de Phèdre et d'Esope, et où Ovide, qui a chanté tant de métamorphoses d'hommes et d'animaux,revient avec une tout autre séduction alexandrine que chez Benserade ou chez Du Ryer. Lieu d'affleurement de tant de

pédagogique a conditionné la conception même de l’ouvrage, puisque nous avons privilégié pour le cycle d’observation des textes d’un abord relativement aisé. Sont réunis dans ce volume des récits de l’Antiquité à nos jours (depuis Homère – Circé – et Ovide – Médée – jusqu’à Amadou Hampaˆté Baˆ, en passant par Rabelais – la sibylle de Panzoust –, Grimm, Afanassiev, mais aussi E´dith Montelle, Roald Dahl, Pierre Gripari et Bernard Friot), qui livrent un véritable ballet de sorcières à travers les aˆges