Métro Boulot Dodo

soir, on dine. Des choses simples quoi. ” Vivre sa vie sans se soucier des grimaces”. Que faire quand la grimace s’apelle TCA ? T comme TROUBLE. Je pleure, je saigne. je me dégoute. je me surprends encore, quelque fois, à rever. Metro, boulot, dodo. Manger, criser, pleurer. ” Faites moi un signe” Rien qu’un signe. ” Demain est un autre jour” Dans le pays des TCA, demain est souvent équivoque à aujourd’hui, la semaine passée, et le mois prochain. ” Truie, tu es une grosse truie”

penser, sans but réel et ont un comportement proche de celui d'un robot qui aurait été programmé par quelqu'un d'éxterieur. Les propos de Madame Arendt peuvent nous faire penser à ce fameux états d'ésprit que tant d'Hommes partagent qui est "Métro, boulot, dodo" qui illustre bien ce sujet. En effet les personnes adhèrent à ce mode de vie n'ont plus forcément de réaction spontanée mais plus des automatismes; c'est la routine. Ainsi, si l'on met en rapprochement tout ces diffèrents éléments nous pouvons

également quelque chose de pamphlétaire. A mon avis la chanson de Renaud est intemporelle, car il pourrait la réécrire régulièrement en s’appuyant sur l’actualité. Par ailleurs les habitudes de gens n’ont pas beaucoup changé, entre « métro, boulot, dodo » et « bagnole, télé, loto ou Internet » ils sont toujours aussi troupeau et aussi préoccupé par leur petite vie. Ils omettent souvent de regarder « par-dessus le bord de leur assiette » pour s’occuper des autres et de ce qui ne va pas sur cette

traditionnelles : charbon, sidérurgie, textile. - Certaines régions sont plus favorisées que d'autres. C/La croissance est contestée par les exclus et est à l'origine d'une certaine dégradation du cadre de vie. * Travail à la chaîne, métro boulot dodo. * grands ensembles dans les villes => ghettos * pollution en 1971, le Club de Rome attire attention sur les limites des ressources terrestres /surface cultivable / ressources énergétiques et en matières 1ères. * La société de

ça repart sur des dessins animatiques signés Georges Wolinski jusqu’au milieu des années 1970. Le slogan changera ensuite en Travail, repos et loisir, un Mars aide à vous soutenir pour s'adapter à l'époque souvent décrite avec le triptyque « métro, boulot, dodo ». Au cours des années 1990, le slogan francophone initial est repris mais raccourci en Mars et ça repart. jusqu'en 2002 lorsque le slogan Que du bonheur fait son apparition pour coller aux nouvelles tendances de consommation axées sur le goût

appris qu'il y avait plus à apprendre et à vivre en buvant un café au bistro du coin, en marchant dans les avenue pleines de monde des Champs Élysée ou en étant assis dans le métro... Paris c'est une divinité en mouvement, mais ça, peu de Parisiens s'en aperçoivent. Tu sais, la plupart suit le rythme "métro, boulot, dodo" sans même profiter cinq minutes de ce que Paris offre (mise à part le week-end bien sûr!). Mais paradoxalement, c'est ce rythme répétitif qui donne de l'énergie à cette ville

certainement l’avenir, nous faisons des économies de transport avec le baril de pétrole toujours plus cher, c’est avantageux. C’est aussi un bon moyen de resserrer les tissus familiaux. Certains couples explosent à cause du célèbre rythme : métro, boulot, dodo… Réfléchissez donc à cette forme de travail et si vous êtes prêts, sautez le pas ! « Annexe 4 »

chose. Le symbole de l’armée c’est la caserne, un peu comme une école (ce qui nous met à l’abri de la vie). « La colombe p.190 » Statut social : Chez Brel le mouvement est important. Chez le bourgeois qui toute sa vie ne fait que dodo-métro-boulot, celui qui a un bon boulot et une maison. C’est celui qui a atteint un certain statut social, il a acquis une situation il est donc sur des rails qui le mèneront tout droit jusqu’à la mort. Brel va dénoncer cette classe, celle des riches, ceux qui seront

pas place à autre chose la nuit? N'est-il pas remplacé par... un je ne sais quoi que des mots ne pourraient décrire, ou... au contraire, est-ce notre humanité qui fait enfin surface venant contredire le coté mécanique de nos journées.... ce métro, boulot, dodo dont tout le monde semble parler, et ... que beaucoup de personne essayent néanmoins de fuir, de peur que... leur vie perde tout son sens.... on en revient donc au "train train quotidien", énoncé un peu plus tôt. J'ai conscience de mon existence

de ce non-sens : c'est la certitude de cette monotonie de l'existence et de la mort à venir au bout d'une vie où le temps fait succéder inévitablement chaque jour l'un à l'autre. Pierre Béarn résumera cette monotonie à travers l'expression « Métro, boulot, dodo » qui est une critique d'un quotidien trop constant et sans issue possible chez les Parisiens, que l'on peut étendre à tous les hommes. Borgès émettra la thèse de l'éternel retour, d'un temps circulaire, avec des cycles répétitifs, ce qui balaiera