Métro Boulot Dodo

L’ART URBAIN C’EST…… La ville est devenu un vaste réseau de déplacement. Métro. Boulot. Dodo. Les enseignes commerçantes se sont accaparées le capital espace de la ville (boutique, centre commercial, publicité…). Les lieux et moments de rassemblement sur la voie publique (parcs, aires de jeux, festivals…) ne suffisent plus. Ils faut offrir une nouvelle expérience sensible originale aux citadins ! La solution se trouve peut être dans l’art urbain, un domaine de création fondé par des interventions

Introduction «Le métro-boulot-dodo» est rendu pour certains un quotidien insurmontable qui doit être brisé par quelque chose qui sort du commun, ou expérience du sacré ou sacré sauvage. En effet, les sensations fortes sont de plus en plus en vogue dans notre société : tous recherchent maintenant des façons de se détacher du profane. Pour certains, ce sera des voyages, pour d’autres vivre des sensations fortes tels des montagnes russes. Cette réalité est aussi présente et témoignée dans les films

l'affiche. Les différents tableaux du spectacle devant reprenant beaucoup d'aspects du Paris 1900, [à savoir le métro (boulot dodo), le Moulin Rouge, les serveurs de Paris, les petits rats de l'Opéra, c'est pourquoi, j'ai choisi de m'inspirer de la période de la fin XIXème siècle] (Affiches de Toulouse-Lautrec bien évidemment, tableaux de danseuses de Degas mais aussi Art Nouveau (Ferroneries du métro par Guimard, affiches de Mucha). L'objectif n'était bien sûr pas de copier ces différents artistes mais

quotidiens. On aime imaginer une cabane dans les bois, une rivière pour seul point d’eau, une communion avec la nature etc… Tu peux insister sur le fait qu’on idéalise souvent ce mode de vie, qui nous parait parfait car cela nous éloignerait du métro-boulot-dodo etc. B) L’homme comme acteur de changements. - Cette partie va être consacrée aux théories individualistes. Le principal auteur individualiste est Max Weber. Il considère l’homme comme un être actif, qui faconne la société à son image. Il

milieu des autres dans cette société de consommation qu'est la nôtre, et qui grâce aux services sociaux ou à des organisations comme les restaurants du cœur, peuvent s'en sortir. Un seul cliché correspond assez bien à nos villes actuelles : "métro, boulot, dodo". Et la ville, n'a-t-elle pas aussi poussé les gens à l'exode rural lors de la Révolution Industrielle ? Tant de personnes ont quitté leur campagne pour venir s'entasser à la ville, ne les a-t-elle pas trompées en leur promettant du travail

multiplication de mots voisins (exemple : l'os est brisé, fracturé, disloqué) - Allégorie : suite d'éléments narratifs ou descriptifs correspondant à une série de détails dans un but de sensibilisation (exemple : chaque jour, c'est la même histoire : métro, boulot, dodo) - Allitérations : répétition de consonnes initiales ayant une même sonorité dans des mots rapprochés (exemple : ces serpents sifflent sans cesse) - Antonomase : désignation d'un être ou d'une chose par un autre nom (exemple : la douce épouse)

de compétition. A partir du moment où nous nous rendons compte du pouvoir de l’argent nous en voulons toujours plus. Et cela à n’importe quel prix, certains serait même prêt à tuer. De plus notre société est stressée par ce qu’on appelle le boulot-métro-dodo. Dans ce cas-ci prenons un stéréotype mais qui est bien plus vrai que nous le pensons. Un proverbe africain dit : « Vous les européens vous avez l’heure, mais nous les africains nous avons le temps ». C’est bien vrai, sans aucun stress la vie

se perdant dans la foule. Leurs visages éphémères ne me rendent plus que pensif. A vrai dire, je n'aime pas cette ville , ni ces gens, ni cette vie. La mienne est à l'opposé de la leur ; je la vis au jour le jour. Mon quotidien est loin du métro-boulot-dodo de la plupart d'entre eux. Je passe mon temps enfermé dans mon appartement ; loin de cette population si sociable et basée sur le don de soi et les apparences. Je ne cherche d'ailleurs personne pour partager ma solitude, dégoûté de la nature

dans lequel je vis, me nie. Cette impression provoque donc un malaise ( = la Nausée ). Quant à Camus, la prise de conscience de l'absurdité de la vie à lieue en cinq étapes. Premièrement, on se questionne sur l'intérêt de notre routine ( métro, boulot, dodo ) Pourquoi faisons nous cela ? Suite à ceci, vient soit le rétablissement, soit le suicide, avec entre une phase de remise en question. Troisièmement, l'homme va se situer par rapport au temps. Avons nous bien profiter de notre vie ? Quatrièmement

population des grands centres urbains entre les lieux de domiciles et les lieux de travail ou de scolarité puis inversement le soir. Ceux sont les navettes quotidienne domicile-travail et c’est ce que nous appelons métro-boulot-dodo. Certains d’entre eux répètent également ces déplacements tous les midis. Elle concerne une grande partie de la population active avec une grande variété des modes de transports, des distances et des durées de ces mobilités