Nana Un Mythe

revient à une conception épique du roman~: lauteur est une sorte de conscience des peuples, qui doit accentuer, dramatiser les événements, pour leur donner un sens symbolique, en procédant par scènes et tableaux. Dans Les Misérables, Hugo élève jusquau mythe le personnage du forçat Jean Valjean, et deux enfants, Cosette, image de linnocence persécutée, et Gavroche, emblème du courage et de la liberté. Celui-ci meurt sur les barricades et Hugo lui rend hommage à travers un oxymore célèbre~: «~Cette petite

argumenteront que la critique de Zola était globale, s'adressant autant à la bourgeoisie, critiquée durement dans Pot-bouille par | | |exemple, qu'à la classe populaire. Mais les oeuvres principales de Zola, L'Assommoir, Germinal, Nana... ont des prétentions de disséquer la | | |classe populaire. De plus, cette critique de la médiocrité bourgeoise, des hypocrisies de la bourgeoisie, était courante dans les milieux | | |littéraires, artistiques

dieux, le conte est toujours très stylisé, stylisation extrême > contours arrondis, rapport entre mythe et conte : proches à certains égards, ils sont liés à l’oralité, il s’agit d’un récit, ils transmettent aux lecteurs une sagesse ancestrale et universelle, mais différences : le mythe se donne pour vrai quand le conte s’affiche comme une œuvre de fiction, il n’explique pas le monde lui !wesh. Le mythe se donne originaire des temps ancestraux, tandis que le conte est en dehors du temps. Le conte :

fils de Issaga, fils de Ibrahim » (Abraham) [Traoré, 1984, p. 48]. La tradition, rapportée par les marabouts de Djenné et reprise par d’autres, s’appuie donc sur la lignée d’Abraham. Mafir aurait ainsi fondé Djenné bien avant l’époque de Tapama, second mythe qu’entretient Djenné à travers la référence à une vierge bozo emmurée, également considérée comme fondatrice de la ville. Mafir et Tapama sont actuellement deux noms repris comme flambeau de l’identité djennenké. La corporation actuelle des maçons, «

occupé une place de choix dans l'art et la littérature, car leur air énigmatique et captivant enchante les artistes et soulève des questions sur la nature de ce charme irrésistible et pourtant destructeur. Des sirènes et de la Circé d'Homère à la Nana d'Émile Zola, l'image d'une femme capable de susciter des sentiments de crainte a été célébrée à fond, générant des sentiments coexistants de plaisir et d'agonie. Les éléments substantiels du personnage de la femme fatale sont douteux et perplexes

frnds ? centres urbains, et ne peuvent pas rester plus de 72h, même s'ils y travaillent. Cette politique devait permettre un « développement séparé » des diverses communautés du pays, mais l’apartheid s’est résumé à une idéologie raciste, fondée sur le mythe que les Blancs constitueraient le peuple élu et se trouveraient menacés par le métissage et la population noire qui est beaucoup plus nombreuse. Le régime est constitué de plusieurs selons ?, dont les principales consistent à interdire à un employeur

I[modifier] Introduction[modifier] Beauvoir commence son essai par une considération existentialiste : s’il est incontestable que les femmes existent (comme les Juifs ou les Noirs, autres minorités auxquelles les femmes sont parfois comparées), le mythe de l’éternel féminin est en revanche critiquable : aucune femme n’est immuable et son essence est indéfinissable. Le problème est que la femme n’est pas une évidence et l’homme, si. La femme est « l’autre », la négation, celle à qui il manque quelque

composent le cycle son 20 : La fortune des Rougon (1871), La curée (1872), Le ventre de Paris, (1873), La conquete de Plassans (1874) La faute de l’abbé Mouret (1875), Son excellence Eugène Rougon (1876), L’assomoir (1877), Une page d’amour (1878), Nana (1880), Pot-Bouille (1882), Au bonheur des dames (1883), Le joie de vivre (1884) Germinal (1885), L’œuvre (1886) La terre (1887), Le reve (1888), La bete humaine (1890), L’argent (1891), la débacle (1892) Le docteur Pascal (1893). La plupart de

coulisses », « il doit amener par la toile de fond le gd air libre de la vie réelle » (Le Naturalisme au théâtre) -roman=instrument le + adapté à ce rêve de production mimétique -de 1879 à 1888, Zola « transforme » en drame à tableau l'Assomoir, Nana, Pot-Bouille etc... -mise en scène André Antoine->Théâtre Libre=analyse naturaliste=élimination des artifices pr faire accéder à un « naturel », injection de réel brut(voir Les Bouchers de Fernand Icres, 1888+l'Assomoir)->le réel peut aussi faire

des tensions sociales qui peuvent exister entre les voisins de l’immeuble et qui reflètent le jugement moral de Zola sur l’intempérance ouvrière La misère Au chapitre X, Gervaise et Coupeau ont fêté le dernier événement joyeux : la communion de Nana. Puis ils tombent dans la misère et s'installent dan sun appartement sordide au 6ème étage (le coin des pouilleux). Opposition avec leurs débuts au chap. II (maison de la Goutte d'Or). Paradoxalemnt, c'est lorsqu'ils habitent dans les hauteurs qu'ils