Nanofiltration

osmose Ensuite, un second filtre de l'ordre de 2 à 100 nanomètres (ultra-filtration) est utilisé pour éliminer les éventuels colloïdes* ou macromolécules organiques. Enfin, le filtrat doit passer de nouveau à travers un film de 1 à 2 nanomètres (nanofiltration) de diamètre, ceci afin d'éliminer les ions multivalents* ainsi que les composés organiques. * colloïdes : mélange homogène de liquide et petites particules allant de 2 à 200 nanomètres ne se diffusant pas à travers des membranes semi-perméables

Développement Durable ‘‘L • Projets réalisés depuis 1993 • Remplacement de l’électrolyse à mercure par la technologie à membrane. • Incinération des rejets gazliquides. • Remplacement du fuel par l’Hydrogène. • Élimination des sulfates par nanofiltration. • Recyclage de l’eau. es efforts de la SNEP en matière de développement durable ont été récompensés en 2004 par l’obtention du Premier Prix de l’Environnement de Mohammedia. • Economie d’énergie et optimisation du recours aux ressources

reposent également sur une séparation physique, mais au travers d’une membrane. Elles constituent une barrière très efficace à de nombreux polluants et bactéries. Les différentes techniques utilisées sont l’osmose inverse, l’électrodéionisation, la nanofiltration et l’ultrafiltration. Dans le cas de l’osmose inverse, une pression est appliquée à l’eau affluente, poussant au travers d’une membrane l’eau pure, débarrassée des particules inorganiques, des bactéries, des pyrogènes et de certains ions et composés

revêtements et à des matériaux d’emballage pour mettre au point de nouvelles surfaces et de nouveaux matériaux en contact avec des aliments, et des nano(bio)senseurs pour les emballages «intelligents»; • où des nanomatériaux ont été utilisés lors de la nanofiltration pour retirer les composants indésirables des denrées alimentaires; • où des applications de nanomatériaux manufacturés ont été proposées pour des pesticides, des médicaments vétérinaires et d’autres produits agrochimiques afin d’améliorer les systèmes

font répondre aux paramètres de potabilité. Il existe principalement deux voies d’opération : – la première, la plus répandue, utilise des traitements chimiques ; – la deuxième, qui tend à se développer, repose sur les technologies récentes de nanofiltration. Toutes les usines n’introduisent pas le même traitement car celui-ci dépend de la qualité de l’eau brute captée. • Un traitement complet de l’eau brute comprend en général trois grandes étapes : – Un prétraitement pour éliminer les gros déchets

comme les produits pharmaceutiques notamment les antibiotiques et cosmétiques, les plastifiants. Les procédés classiques de traitement de l’eau permettent de traiter en partie ces polluants émergents : - les procédés membranaires : ultra et nanofiltration. Certains procédés combinent mécanisme physique de rétention des polluants et biologique de dégradation par voie aérobie (réaction d’oxydation exothermique des composés en présence d’oxygène et de micro-organismes conduisant à la formation

est   filtré,   puis   purifié.   Ce   procédé   de   purification   comprend   plusieurs   étapes   (différentes   chromatographies,   inactivation   virale,   ultra   diafiltration   et   nanofiltration).   Enfin,   le   procédé   de   fabrication   se   termine   par  le  remplissage  aseptique  des  flacons  [71].     3.   Indication  et  place  dans  la  stratégie

physico-chimiques A. Ultrafiltration/Filtration L’ultrafiltration est un procédé de séparation physique utilisant une membrane. Elle s'applique à la séparation des particules de 0.005 à 0.1µm. Cependant, pour les particules les plus petites, on utilise la nanofiltration. On obtient une phase liquide contenant les polluants dissous d’une part et une phase pâteuse contenant les phases solides. B. Ozonation L’ozonation consiste à l'utilisation de l'ozone, O3 comme produit d’oxydation qui permet la destruction d'un

l’Institut Technologique Technion situé à Haïfa et de l’Université Al-Quds située près de Jérusalem. Son but est d’évaluer l’efficacité des traitements biologiques et des procédés d’adsorption et de filtration membranaire (osmose inverse/ nanofiltration) pour éliminer les ingrédients pharmaceutiques actifs (IPA) des effluents d’origine domestique et industrielle. Les premiers résultats rapportés par les équipes sont prometteurs, à tel point qu’ils sont susceptibles de contribuer à l’amélioration

1997, des essais sont effectués avec la collaboration de l'Institut de Technologie Chimique de Prague. Des membranes céramiques de surface 0,2 x 2 m2 avec un seuil de coupure allant de 0,2 à 5 µm pour la microfiltration et de 20 à 100nm pour la nanofiltration ont été utilisées. Le jus brut a été préalablement filtré à 0,2mm, en vue d'éliminer les pulpes, puis refiltré avec un seuil de coupure de 20nm. Le débit du perméat diminuait progressivement avec la durée d'ultrafiltration. Une diminution significative