Napoléon Bonaparte Et Les Réformes

seigneuriaux. On demande l’égalité juridique en droit, pas de privilège de juridiction. Une contestation de la politique en elle-même. Deux tendances. -tendance modérée, plutôt réformiste, qui ne demande pas l’abolition de la monarchie, mais des réforme importantes, rationalisation du régime monarchique et fin de l’arbitraire. -tendance radicale, fondamentalement révolutionnaire, représenté par Rousseau. Idée du contrat social, selon laquelle pour former une société politique, les individus se mettent

est trop jeune pour gouverner, son grand oncle le duc d'Orléans assure la Régence. Louis XV gouverne lui-même à partir de sa majorité fixée à 14 ans jusqu’à sa mort en 1774, quinze ans avant le début de la Révolution française. Face aux nécessaires réformes du pays, il les lancera tardivement dans le domaine fiscal, de la justice et pour limiter le poids des parlements. Louis XVI accède au trône en 1774, succédant à son grand-père Louis XV. Il sera le dernier roi de la France de l’Ancien Régime : une

de divisions. 1799-1815 le Consulat et l'Empire (album de photos de Napoléon 1er) De 1800 à 1815 Napoléon Bonaparte arrête la Révolution à l'intérieur mais poursuit la guerre à l'extérieur, ce qui lui permet de conquérir toute l'Europe occidentale et de mettre en place un régime administratif très centralisé qui dure jusquà nos jours -les préfets. 1815-1830 La Restauration En 1815 les coalisés européens vainqueurs de Napoléon imposent les frères de Louis XVI. Louis XVIII reconnait l'héritage révolutionnaire

à cinq directeurs. Puis est adoptée, à la suite d’un coup d’état de Napoléon Bonaparte, la constitution du 22 frimaire de l’an VIII (13 décembre 1799). Celle-ci fonde le consulat, régime qui donne le pouvoir exécutif à trois consuls. Ce régime est modifié par un sénatus-consulte du 16 thermidor de l’an X (18 mai 1804) qui établit le premier empire, le premier consul – Napoléon Bonaparte – devenant empereur sous le nom de Napoléon premier.               A la chute de l’empire, en 1804, on revient

fructidor an III) : Début du référendum constituant. 23 septembre (1er vendémiaire an III) : Proclamation de la Constitution. 1799 9 novembre (18 brumaire an VIII) : Coup d’Etat de Napoléon Bonaparte. 10 novembre (19 brumaire an VIII) : Constitution d’un Consulat provisoire (Sieyès, Roger Ducos et Bonaparte). 13 décembre (22 frimaire an VIII) : Constitution de la République française. 24 décembre (3 nivôse an VIII) : Entrée en vigueur de la Constitution. 1800 7 février (18 pluviôse

Louis-Napoléon Bonaparte exprime directement, pour la première fois, sa volonté de reconstituer l’image du pays et de rétablir le pouvoir impérial. Le texte proposé est un extrait d'un discours prononcé le 7 octobre 1852 par Louis-Napoléon Bonaparte en tant que le premier et l’unique président de la Deuxième République Française. C’est un discours public et l’un des éléments fondateurs qui ont annoncé la série de changements qui vont suivre ensuite. Après la prononciation de celui-ci à Bordeaux,

Napoléon III (1808 – 1873) Pendant longtemps, le personnage de Napoléon a été trainé dans la boue par les historiens. On retient souvent son image noire. Aujourd’hui, certains auteurs ont tendance à ne trouver qu’à ce personnage que des vertus. On va éviter ces deux travers en étudiant les deux facettes successives du personnage : le conspirateur et l’homme d’Etat. I- Le conspirateur La jeunesse de Louis Napoléon Bonaparte ne le prédisposait pas au métier de conspirateur.

Napoléon (1769-1821) est un personnage emblématique de la Révolution. Durant cette période, il règne en maître sur la France voire même une partie de l’Europe. On appelle d’ailleurs cette période l’ère Napoléonienne. Mais il est également un personnage ambigu. Dès son arrivée au pouvoir, il revêt un caractère ambivalent. D’un côté il est adulé grâce à ses nombreuses victoires militaires ainsi que son caractère révolutionnaire, Napoléon apporte une stabilité à la France, un gouvernement davantage

Crémieux ; de l’autre côté, on peut compter des démocrates unis autour du journal La Réforme comme Armand Marrast, Louis Blanc et Flocon. Il s’établit alors entre ces deux tendances une opposition, les démocrates souhaitant donner à la République une orientation sociale. Au départ, les républicains sont enthousiastes face aux différentes réformes dans ce que Lamartine qualifie d’«illusion lyrique ». Ces réformes résident principalement dans l’institution du suffrage universel le 2 mars 1848, la liberté

autoritaire, établi par le 1er Consul Napoléon Bonaparte, qui devient Consul à vie en 1802. Le Consulat à duré jusqu’au 18 mai 1804, date de la fin de la Ière République et de la proclamation du Ier Empire. Ier Empire. (18 mai 1804 – 14 avril 1804, puis 20 mars 1815 – 7 juillet 1815) Il s’agit du régime impérial de la France, dirigé par Louis Napoléon Bonaparte, jusqu'à sa première abdication en avril 1814. Puis ce régime s’étale à nouveau, une fois Bonaparte de retour à Paris, du 20 mars 1815