Narcisse Parle

déchirés comme des grèves, En vous se mire mon orgueil ; Vos vastes nuages en deuil Sont les corbillards de mes rêves, Et vos lueurs sont le reflet De l'Enfer où mon cœur se plaît. Auto-délectation de ce que le poète nomme l'Ironie, cette mégère dont parle l'Héautontimoroumênos : Je suis le sinistre miroir Où la mégère se regarde. Ici, comme dans l'Irrémédiable, l'inversion est consom mée poète s'identifie avec le miroir, en un tête-à-tête : le diabolique d'où il ne sortira plus : Tête-à-tête sombre

Crée par Cyrano de Bergerac et sa vision théatrale du monde. I)Tableau mouvant 1)saisir la nature dans son essence drangeante. Dès le debut du texte l'auteur évoque la nature dans sa lettre:" Le ventre couché sur le gazon d'une rivière...Narcisse" Narcisse est une référence au fils du dieu du fleuve. Dans le texte l'auteur fait beaucoup allusision à celle-ci et il est fasciné par sa métamoprhose constante. Il l'a voit sous un regard baroque: "je m'imagine que la nuit ayant norci toutes les choses

façon dont on les présente aux travers d’un reportage par exemple, ou la manière dont elles sont tournés, on peut faire croire ce que l’on souhaite, si ce que l’on souhaite faire croire n’est pas visible. Les journalistes sur leur reportage (ici on parle de reportage de guerre essentiellement) se doivent de montrer des images illustrant le mieux possible leurs propos et le thème de leur reportage. Néanmoins, plusieurs dilemmes se dressent devant eux, quant à la sensibilité personnes face aux images

vis de leur mère. On peut aussi voir des équivalences avec d'autres figures de la mythologie, comme avec Narcisse et Icare. Narcisse : La version la plus connue est celle que l'on retrouve dans Les métamorphoses d'Ovide. A sa naissance, le devin Tirésias à qui l'on demande si l'enfant atteindrait une longue vieillesse, répond : « Il l'atteindra s'il ne se connaît pas ». Narcisse se révèle être, en grandissant, d'une beauté exceptionnelle mais d'un caractère très fier : il repousse la nymphe

pouvoir au profit de Néron, né d’un premier mariage. Agrippine, inquiète de voir s’affaiblir la tutelle qu’elle exerce sur son fils, informe Britannicus du sort de Junie et lui propose son soutien contre Néron. Britannicus accepte, encouragé par Narcisse, son gouverneur, qui est en vérité un traître à la solde de Néron. Acte II (8 scènes) - Néron projette de répudier sa femme Octavie pour épouser Junie. Celle-ci, malgré les galanteries de Néron, refuse sa main. Néron l’oblige à rompre avec son

inaugure une quête d’adéquation, de fusion avec l’objet vu au miroir. Dans la contemplation au miroir, s’exacerbe le désir d’une unité réalisée, avec l’être désiré ou de l’homme avec Dieu, dans la béatitude d’une vision directe et sans médiation. Narcisse rêve ainsi d’embrasser son reflet, le héros de cueillir la rose et le pèlerin du Pèlerinage de Vie humaine de gagner la Jérusalem céleste. Quête de la dame ou de Dieu 8 : le miroir 6 Évrard de Conty, op. cit., p. 702-703. 7 Pluriel, Hachette

sur Sibyl (et réciproquement). Thèmes de la vanité, de l'hypocrisie et de la prétention illustrés par le personnage de Dorian Grey. Portrait d'un homme obsédé par sa propre image, un martyr grec sacrifié à la jeunesse et la beauté → Adonis, Narcisse. Un vœux insensé qui se réalise. Vie de débauche associé à l'homosexualité (vision de la société?). Dorian Gray découvre la réalisation de son vœux : Sibyl Vane est le déclencheur par son suicide. Symbolique de la salle de jeu d'enfant → il vieillit

partout, à toute heure, en tout lieu ; je vous ai dit de m'interroger ; mais par où commencer, je n'en sais rien, je m'y perds ; il y a tant de choses, j'en ai tant vu, tant remarqué de toutes les espèces, que cela me brouille. Madame se tait, Madame parle ; elle regarde, elle est triste, elle est gaie : silence, discours, regards, tristesse et joie, c'est tout un, il n'y a que la couleur de différente ; c'est vanité muette contente ou fâchée ; c'est coquetterie babillarde, jalouse ou curieuse ; c'est

Néron cesse de se contraindre », v. 11). Au fil de la pièce, il se libère de sa mère (« Mais Rome veut un maître, et non une maîtresse », v. 1239) et de ses gouverneurs : Sénèque est absent, les conseils de Burrhus négligés, au profit de ceux de Narcisse, que Néron s’est lui-même choisi. C’est alors que le personnage révèle son vrai visage. Celui qui vient de faire preuve de « trois ans de vertu » (v. 462), se révèle d’une extrême perversité (« Mais je mettrai ma joie à le désespérer. / Je me fais

ne peut plus rien faire. Britannicus se confie à Narcisse, autre gouverneur de Néron, qui lui semble dévoué. Néron, sûr de lui, entend ne pas se soumettre aux caprices de sa mère. Il ordonne l'exil de Pallas, car celui-ci lui nuit à travers Agrippine et Britannicus. Il se confie à un Narcisse que l'on découvre traître à Britannicus, et lui avoue idolâtrer Junie. Il craint encore sa mère, et semble vouloir ne pas se révéler au grand jour. Narcisse lui conseille d'oublier complètement sa fidélité