Narcisse Parle

Scène 3 : Le lundi soir, Kevin, Bomber et Sinan jouent à la Playstation dans un divan Kevin assis dans le canapé dit à Bomber et Sinan que Rainer ne l’aime pas car il ne joue pas dans son équipe de water-polo, la scène suivante montre Marco qui parle de l’équipe de water-polo au père de Karo. Ce raccord entre les deux scènes est qualifié d’analogique, dans les deux plans les personnes sont assises dans la même posture. Scène 4 : La mardi si termine sur un gros plan des vêtements de Tim qui brûlent

Manifestant un dévouement aveugle, elle est non seulement nourrice, elle est aussi accoucheuse, étant celle qui veut libérer Phèdre de sa parole à n’importe quel prix, qui veut sauver son honneur d'«une honte certaine» (vers 713). On l’a parfois comparée à Narcisse (dans ‘’Britannicus’’), parce que ses conseils sont immoraux ; mais ils sont toujours réalistes, et, loin de poursuivre, comme celui-ci, une ambition personnelle, de rechercher la vengeance de l’humilié, elle reste la nourrice aimant profondément

individuelle de l'art. Le mythe est pour lui le soubassement permettant au poète d'y insérer des réalisations à portée universelle et abstraite, c'est-à-dire des créations ambitionnant de remonter jusqu'aux sources de l'art. B°) Salomé et Narcisse : modernité des mythes 1°) Salomé Episode de la Bible, présent explicitement dans le seul évangile de Mathieu, le mythe de Salomé connaît une multiplicité de traitements artistiques en amont du mouvement symboliste (comme chez Flaubert)

!! Vous n’avez pas le droit d’utiliser les poèmes lus en classe !!! Fernand Khnopff, I lock my door upon myself (Je referme ma porte sur moi-même), 1891. Titre du poème Justification TexteCette image a une similitude avec ce poème car il parle d’une femme qui a reçu un amour malheureux avec un homme. La femme évoque un amour passionnel qui vire à la souffrance. Cette similitude peut être avec cette image on y voit une femme avec un regard triste, vide assis de maniere pensif.Ce tableau m’exprime

philosophie de Poitiers offre à celui qui veut travailler Lavelle la quasi totalité de son oeuvre. Revenons à la réalité du spiritualisme français : ce qui est sûr, c'est qu'il associe avec constance et subtilité psychologie et métaphysique ; Bergson parle d'une psychologie qui se termine en métaphysique ; Lavelle cite Lachelier, disant que l a méthode de la philosophie consiste à « chercher l'origine de nos connaissances dans un ou plusieurs actes concrets et singuliers par lesquels la pensée se constitue

strophe ★ “tu” “ton” = le poète parle à l’Homme de lui-même ★ "contemples" > “plais” : gradation = cause à conséquence ➫ narcissisme ( ex : v.2+5 ) = mythe de Narcisse = v.6 → danger ★ “plonger” : métaphore = confusion des entités ⤵ ★ v.6 : métaphore + gradation = vue > touché = fusion 👨&🌊 ★ “plonger(...)image” : antithèse { deep / shallow } = complexité relationnelle ★ v.8 : champ lex péj = bruit de la mer

l’hypocrite et permet aussi à Elmire, par un langage à double sens, de régler ses comptes avec son mari, pour la plus grande joie du spectateur. I. L’hypocrite au naturel Molière révèle, ici, le vrai visage de Tartuffe qui se croit en sécurité et parle, désormais, sans masque. A.Le credo de l’hypocrite • Tartuffe aligne 3 vers en forme de maxime (1504-1506) : formules généralisantes (« jamais », emploi constant du verbe être) ; tournures impersonnelles (« on », verbes à l’infinitif)

retrouver l’autre moitié d’elle-même. Je ne peux pas vous parler du miroir sans évoquer la légende de Narcisse qui nous raconte l'histoire d'un jeune homme, tombé amoureux de son reflet en se contemplant dans l'eau. Dépérissant, désespéré de ne pouvoir étreindre l'objet de ses désirs, il finira par se suicider, ainsi, chaque goutte de sang tombée à terre, donna naissance à une fleur, appelée depuis narcisse. Cela m’amène à me poser une question : Si cette image que je regarde dans le miroir est subjective

car pour lui c’est l‘emprisonnement, l’immobilité, la mort. Ligne 42, 45. Il dit que les femmes veulent etre entretenu par la séduction, sans cesse de renouvellement. Il refute aussi l’amour qui est pour lui la fin du plaisir. lIGNE 42 « objet » Il parle de femme comme beauté. 49 les belles, 46-47. La séduction est une conquête. C.P. Il se présente comme un pers. Provocateur, fascinant, séducteur. NE repscte pas la morale judéo-chrétienne. 2 axes Son deuxième argument est plus philosophique

 imprononçables par elles­mêmes,  et auxquelles  les linguistes ramènent la presque totalité des mots sanscrits ou grecs :  paradis  d'une  langue,  comme  les  mouvements  abstraits  de  cette  mécanique que Léonard appelait le paradis des sciences, et comme ces  actions dont parle Valéry, « qui se ralentissent en œuvres distinctes. »  Avec  la  pratique  de  la  langue  et  des  livres  de  philosophie,  qu'un  accident  de  carrière,  aussi  vraisemblable  que  ceux  qui  advinrent  en  effet, aurait pu lui donner, Valéry se transporterait ici dans le monde