Narrateur

l’intruse décrypte déjà les petitesses. Enfin, la description de ce microcosme contient en germe, à la manière d’une ouverture musicale, les leitmotive de la Joie de vivre. I - L’arrivée de l’étrangère A. Un regard omniscient 
Comme Balzac, le narrateur naturaliste sait tout du milieu spécifique dans lequel se déroule son roman. Pour lui, la famille Chanteau n’a pas de secrets puisqu’elle constitue la première pierre de la Joie de vivre : Zola, dans le Roman expérimental, évoque ainsi la nécessité

surplombe la salle, rendant cet endroit irrespirable. C'est un bar d'une petite taille, composé d'un comptoir derrière lequel le barman nettoie un verre avec un torchon, de tabourets l'entourant, d'une paire de tables et de chaises. À la gauche du narrateur, une horloge en ébène est plaquée contre le mur. Il y a des moisissures sur le mur et au plafond. Sur le mur du fond, un tableau représente un crâne explosé. Assis sur l'un des tabourets du bar, un gros ivrogne d'une soixantaine d'années aux cheveux

absence de description : a.) Du personnage On ne connaît pas l'identité du narrateur, son nom Pas de description physique, si c'est un journal c'est normal → le lecteur peut s'identifier au narrateur b.) Des lieux On sait juste que la scène se déroule en Algérie (Marengo, Alger) On ne sait pas où vit le narrateur Pas de description du paysage lors du voyage en bus → Le narrateur ne se soucie pas de ce qui l'entoure, est refermé sur lui-même Donc cadre spatio-temporel

Phillipe Grimbert Le livre se divise en quatre parties : un prologue, le 1er récit, le 2e et l'épilogue. Le narrateur est Philippe Grimbert. L'histoire se passe dans les années 1950 . Le narrateur est un jeune garçon mal dans sa peau car chétif à cause d'une malformation qui lui forme un creux dans la poitrine. Son mal être est accentué par le fait que ses parents,Tania et Maxime, sont tout deux des grands sportifs au physique «parfait». Le garçon va s'inventer un frère, plus grand, plus

réactions du narrateur a) confrontation et choc b) le défis Analyse du I/b Un peu plus tard dans l’extrait, le narrateur semble toujours être un peu méprisant de la ville de New-York. En effet, il nous décrit une ville paraissant assez fermée, nous rappelant la description d’une ville forteresse. Ainsi , en utilisant des termes tel que « l’Américaine » ( l.7) , « elle ne se pâmait pas »(l.7), « pas baisante du tout »(l.8), et « elle était debout »(l.8), le narrateur nous fait

A qui écrit le narrateur ? (le narrateur s’adresse à sa fille en lui écrivant une lettre) 3. Qu’est ce qui rend cette scène si pathétique ? (cette scène est pathétique parce qu’on y trouve les plaintes du narrateur, l’évocation des souvenirs de sa fille, l’image de la petite fille sans père et l’image de cette fille qui n’a rien commis et qui sera obligée de vivre triste et détestée) 4. Quels types de phrases emploie-ton ? (pour rendre cette scène pathétique, le narrateur emploie la phrase

prisonniers subissent alors une séance de destruction de la personnalité : on leur enlève leurs vêtements, puis c’est la tonte des cheveux et le rasage, la douche. On leur tatoue un numéro sur le bras. Puis on leur donne une tenue de déporté. Le narrateur décrit ensuite la structure du camp et son règlement. Il évoque les différentes catégories de prisonniers et leur condition de travail. Durant ces 15 premiers jours passés dans le camp de Monowitz, Primo Lévi montre l'horreur et la violence de ce

la parole, le narrateur du premier récit montre déjà le conflit, ou la complémentarité, qui existe entre le témoignage et l’oubli. Nous dégagerons d’abord l’organisation dialectique du récit, ce qui nous amènera ensuite à étudier la remise en question de la parole, et enfin à traiter des vertus de l’oubli. I. Organisation dialectique du récit 1. Un texte réflexif Cet extrait du récit est réflexif : parce qu’il est mise en abyme (récit de la paysanne sujet du récit du narrateur), et parce que

guide de lecture Voix narratives Chronologie reconstituée Faits narratifs Indices dans le texte 1ère partie : Renoncour narrateur Février 1715 Déportation de Manon (trajet de Paris au Havre de Grâce) + 1ère rencontre avec DG « six mois avant mon départ pour l’Espagne » p. 80 Hiver 1716-1717 DG raconte l'histoire de ses malheurs «  il se passa près de 2 ans » p55 DG devient narrateur Analepse juillet 1712 DG rencontre Manon, il tombe instantanément amoureux et propose à Manon (qui a été envoyé par

regard du narrateur transforme cette « ventrée » en une galerie de portraits, de comportements typés et excessifs voire caricaturaux qui métaphorisent une réalité cruelle, celle du passage de la misère à l’excès. La réalité s’animalise et se renverse en une vision monstrueuse qui annonce la mort, la déchéance des personnages. Nous étudierons donc dans un premier temps les figures de l’excès qui caractérisent ce repas monstrueux puis l’animalisation d’une société sur laquelle le narrateur porte un