Narrateur

ne se présente pas et le narrateur a des difficultés à voir l'inconnu. => « quelqu'un » (l. 3) + question : « C'est toi Augustin ? » (l. 5) à laquelle il ne répond pas => il reste dans l'obscurité (l. 5 « obscure »), « nuit tombante » Augustin se montre insaisissable/ indomptable/ sauvage dés le début. L'individu est étrange en lui-même : il ressemble à un paysan/à un écolier (cf. comparaisons l. 8 et 26) mais n'agit pas comme les autres. Le narrateur n'a pas de représentation

l’apport de la narratologie, il importe de saisir la distinction entre trois entités fondamentales : l’histoire, le récit et la narration. Globalement, l’histoire correspond à une suite d’événements et d’actions, racontée par quelqu’un, c’est-à-dire le narrateur, et dont la représentation finale engendre un récit. De fait, la narratologie est une discipline qui étudie les mécanismes internes d’un récit, lui-même constitué d’une histoire narrée. L’étude du discours du récit vise à dégager les principes communs

déstabilisé - Adresse au lecteur Le texte commence par un dialogue fictif entre le narrateur et le lecteur. Le dialogue semble s’être instauré avant le début du roman. Pourtant, le pronom personnel nominal « vous » permet à tout lecteur réel de s’identifier immédiatement au lecteur fictif et de ressentir d’autant plus vivement la familiarité (« que vous importe ? ») et la désinvolture avec laquelle le narrateur s’exprime. - Rupture du pacte de lecture Le texte débute par ailleurs par

d’Ille) Personnages principaux Le narrateur La marquise Aldobrandi Don Ottavio L’abbé Négroni Mme de Strahlenheim La concierge La sœur de Vanozzi Résumé             Départ pour Rome. Un portrait mystérieux qui représenterait la marquise Aldobrandi ?             Arrivée chez la marquise. Examen des portraits. Le même que chez son père : Madame Lucrèce.             La marquise est devenue dévote.             L’abbé a confondu le narrateur avec Don Ottavio.             Il fait

Le narrateur désigne la voix qui raconte l'histoire. Elle appartient à la fiction. On ne doit donc pas confondre le narrateur avec l'auteur, qui est une personne réelle. ϖ Le narrateur présent dans l'histoire Celui qui raconte peut être un personnage de l'histoire. Le récit est à la première personne. (Butor) - Il peut jouer à en être le héros (Céline). II peut n'avoir qu'une importance secondaire, lorsqu'il se présente comme un témoin ou comme une sorte d'enquêteur sur les faits qui constituent

d’un soldat nommé Philippe Giraud, parti en service militaire pendant la guerre d’Algérie. Il énonce aussi le point de vue sur la mort et la guerre du narrateur, sa réaction spontanée face à l’ennemi qui lui tire dessus. 2/ Qui est le narrateur ? Justifiez votre réponse. Le narrateur est Gérard, comme l’indique le paratexte “Gérard, le narrateur [...]” 3/ Quel est le temps dominant ? Donner sa valeur. Le temps dominant du récit est le présent de l’indicatif. Sa valeur est celle de l’énonciation

troublante, Manon. Dans cet extrait, le narrateur fait un portrait allusif de Manon. En effet, le narrateur nous donne très peu d’informations sur le physique de celle-ci, nous savons juste qu’elle est jeune « fort jeune » (l.7), qu’elle a un percepteur « homme d’un certain âge » (l.8) donc qu’elle est issue d’un milieu aisé. Seul la périphrase « la belle inconnue » et « si charmante » sont les seules expressions qui qualifient physiquement Manon Lescaut. Si le narrateur ne faut qu’un portrait allusif du

principal ; puis, dans une seconde partie, la critique sous-jacente de la condamnation à mort. I La déchéance du personnage principalA/ Structure du texte D’Autrefois à Maintenant : une progression chronologique pour cet incipit, même si le passé du narrateur est vite balayé pour que le texte puisse se focaliser plus précisément sur le présent de la condamnation à mort. On étudiera le jeu des temps : uniquement au passé dans le paragraphe commençant par « Autrefois », et ensuite des présents. On constate

alors qualifiée de « tas de chiffon » par le narrateur à plusieurs reprises. La vieille dame, depuis son plus jeune âge, collectionne des objets ayant appartenu aux défunts du village. Afin de recueillir ces objets, elle n'hésite pas à les voler, ce qui montre qu’elle est très enthousiaste et attachée par le projet de ce fameux Musée du Silence, qui constitue toute l’histoire. → Analyse du genre : Le Musée du Silence est un récit car le narrateur est un personnage encré dans l’histoire, on

développent. Or, ici les thèmes des Lumières sont présentés à contre courant, détournés. L’incipit est un des multiples exemples de cette vision originale sur le siècle des Lumières. Il est constitué de deux paragraphes distincts dans lesquels le narrateur présente le personnage principal puis dresse un tableau plus détaillé, répugnant de l’époque marqué par la puanteur. Cette obsession de la puanteur crée un contraste avec le titre du roman Le Parfum qui évoque plutôt une odeur sophistiquée et agréable