Nathaniel Hawthorne

arrière-neveu de limace qui inventa le calcul intégral et rêva de justice. Paris, Flammarion, 1980. In-8, broché. 45 € ÉDITION ORIGINALE. Un des 15 exemplaires sur pur fil du tirage de tête. Envoi autographe signé à Armand Flammarion. Nathaniel HAWTHORNE. L'Enterrement de Roger Malvin. Paris, Flammarion, 1977. In-8, broché. 50 € ÉDITION ORIGINALE. Un des 30 exemplaires sur vélin alfa, seul grand papier. Georges HUGNET. 1961. Paris, chez l’auteur, 1961. In-8, broché. 700 € ÉDITION ORIGINALE

du siècle a été exprimé par Chateaubriand, Alfred de Vigny, Alfred de Musset. Le mal du siècle/Weltschmerz s'est étendu à toute l'Europe (on le retrouve chez les Russes Pouchkine et Lermontov, chez le Polonais Słowacki) et à l'Amérique avec Nathaniel Hawthorne. On retrouve la mélancolie romantique dans la poésie de Giacomo Leopardi sous la forme de la noia et chez Charles Beaudelaire sous celle du spleen, plus liées toutes deux à la mélancolie noire. Mais de cette dépression de l'âme, peuvent émerger

fleur de Coleridge’’, ‘’Le rêve de Coleridge’’, ‘’Le temps et J.W. Dunne’’, ‘’La création et P.H. Gosse’’, ‘’Les alarmes du professeur Américo Castro’’, ‘’Notre pauvre individualisme’’, ‘’Quevedo’’, ‘’Magies partielles du "Quichotte’’", ‘’Nathaniel Hawthorne’’, ‘’Valéry comme symbole’’, ‘’L'énigme d'Edward Fitzgerald’’, ‘’Sur Oscar Wilde’’, ‘’Sur Chesterton’’, ‘’Le premier Wells’’, ‘’Le "Biathanatos’’", ‘’Pascal’’, ‘’La langue analytique de John Wilkins’’, ‘’Les précurseurs de Kafka’’, ‘’Du culte

récusent en subissent la fascination. Certains ont cru que Faulkner « passerait » et en sont pour leurs frais. On ne peut ignorer aujourd'hui les noms de Bellow, de Pynchon ou de Baldwin. Peut-on les comprendre sans évoquer leurs ancêtres, Melville et Hawthorne, Whitman et Mark Twain ? Photographie William Faulkner «Tout dire en une phrase», telle fut l'ambition du romancier américain William Faulkner (1897-1962), dont l'invention stylistique fut saluée en 1949 par le prix Nobel de littérature.  Crédits:

marchează prezenţa, în aşa fel încât să fie lesne de recunoscut, şi, la nevoie, cititorul care nu-i ştie să-i poată omologa, situa, selecta sau respinge. Am vrut să le dau viaţă prin evocarea rapidă a unei opere, printr-un citat1... Zola, Nathaniel Hawthorne, Lawrence Durrell sunt definiţi prin sensibilitatea şi părerile lor... Aici nu vor putea fi însă găsite, ca în manuale, biografia şi lista completă a operelor... N-ar fi prea cinstit ca, din aproximativ şase sute de pagini, trei sute să fie

morning in Concord, Massachusetts. The year was 1844. An aspiring novelist named Nathaniel Hawthorne was sitting in a small clearing in the woods, a particularly peaceful spot known around town as Sleepy Hollow. Deep in concentration, he was attending to every passing impression, turning himself into what Emerson, the leader of Concord’s Transcendentalist movement, had eight years earlier termed a “transparent eyeball.” Hawthorne saw, as he would record in his notebook later that day, how “sunshine

Murders in the Rue Morgue" -- that explore previously hidden levels of human psychology and push the boundaries of fiction toward mystery and fantasy. Meanwhile, in 1837, the young Nathaniel Hawthorne (1804-1864) collected some of his stories as Twice-Told Tales, a volume rich in symbolism and occult incidents. Hawthorne went on to write full-length "romances," quasi-allegorical novels that explore such themes as guilt, pride, and emotional repression in his native New England. His masterpiece, The

Their written alphabet was devised by Sequoyah, a Cherokee Indian also known as George Guess. He is the only known example in history of an illiterate person inventing a written language. Sequoyah (1776–1843) was the son of a Cherokee mother and Nathaniel Guess, a German-born fur trader. He was either born handicapped or injured while young, hence his name Sik-wo-yi, which means “pig’s foot” in Cherokee. He first became interested in creating a Cherokee alphabet in 1809. An accomplished silversmith

grâce à lui je peux emporter une vingtaine de livres. — Et que lisez-vous, ces derniers temps ? — Vous n’allez pas me croire... — Mais si, dites-moi ! Je l’ai vu rougir et baisser les yeux sur ses chaussures de ville impeccablement cirées. — Nathaniel Hawthorne, La Lettre écarlate. Cela m’a surprise, je l’avoue. — Ça, c’est une coïncidence... — Mais c’est vrai ! — Bien sûr... — Je peux vous montrer mon Kindle, si vous ne me croyez pas. — Pas besoin. — Vous devez me trouver bizarre, non ? — Ou juste

ouvert Stephen Crane, La Conquête du courage Eugène Dabit, Un mort tout neuf Joseph von Eichendorff, La Statue de marbre Hanns Heinz Ewers, Tannhäuser crucifié Ricardo Güiraldes, Don Segundo Sombra Thomas Hardy, Le Maire de Casterbridge Nathaniel Hawthorne, L’Expérience du docteur HeideggerE. T. A. Hoffmann, Le Choix d’une fiancée Joris-Karl Huysmans, En ménage Henry James, L’Élève Yasunari Kawabata, Nuée d’oiseaux blancs Rudyard Kipling, Le Perturbateur du trafic Rudyard Kipling, Simples